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Walmart sur les pas d’Amazon

Il est clair qu’en termes de taille comme de recette, Walmart est LE leader de distribution au Monde sauf qu’il a quand même raté son envole sur le web. Surfant sur la vague du e-commerce, Walmart reste à la traine par rapport à Amazon puisque ce dernier a un chiffre d’affaire en e-commerce 7 fois plus grand que celui de Walmart ! Ainsi,  Walmart a mobilisé 1500 personnes regroupées sur deux projets (Walmart Labs & Walmart Global E-commerce) telle une startup dans le but de battre le géant mondial d’e-commerce sur son propre terrain et se réorienter vers un nouveau réseau de distribution. Même si les objectifs des deux géants de distribution paraissent semblables, chacun a son propre créneau d’attaque : Amazon se focalise sur la satisfaction client alors que Walmart a pour but de devancer Amazon en lançant son site d’e-commerce (accompagné d’une bonne gestion de sa e-réputation sur les réseaux sociaux) avec un objectif d’ici la fin de l’année : réaliser une recette de 9 milliards de dollars qui est équivaut à 2% de ses ventes totales. La concurrence entre ces deux titans se fait en on-line au niveau des produits alimentaires avec Amazon Fresh pour Amazon et Brick&Mortar ou encore Walmart To Go pour Walmart. En off-line, avec la décision qu’a pris le géant américain de grande distribution en arrêtant la commercialisation de la tablette Kindle. Cette dernière représente une plateforme d’achat intégrée au magasin en ligne d’Amazon et ceci afin d’éviter de contribuer indirectement à la croissance de son rival. C’est donc dans une optique de success story que la division chargée de la digitalisation de Walmart a commencé à réécrire son histoire en rachetant d’autres startups innovantes telles que Torbit ou OneOps qui lui permettront de développer sa capacité à archiver les données et à maximiser la vitesse du site. Après la livraison rapide suite à une commande en ligne et la mutation virtuelle des supermarchés, un des leviers de l’enseigne est d’introduire le concept « Click and Pick Up » ou « research online, purchase off line » (existant déjà chez Tesco) qui comme son nom l’indique, consiste à réserver en ligne ses produits avant de les récupérer sur place. Plus du quart des clients de Walmart ne possèdent par de carte bancaire pour payer en ligne et doivent donc payer en espèces au magasin. Compte tenu de la taille de Walmart, il est délicat d’imaginer quel sera le résultat car il repose essentiellement sur les défis à réaliser par les 1500 personnes réunies sur le projet...

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Les 20 Something : une nouvelle cible à séduire par les marques !

Elle est jeune, active, autonome, accroc aux nouvelles technologies et ultra-connectée.. Les 20 something est la catégorie de personnes se situant entre 20 et 30 ans. Grands ou petits budgets, il s’agit d’une population qui suit les tendances et est prête à débourser une somme importante pour acheter le Smartophne dernier cri, pour refaire sa garde-robe ou tout simplement se payer des sorties extravagantes ! Elle vit dans l’instant présent et aime profiter de la vie, elle a été choyée dans son enfance et n’accepte aucune source de frustration.  Célibataire, en couple, avec ou sans enfants, elle fait partie du plus grand challenge des entreprises : communiquer et vendre plus. Voici en quelques lignes les principales raisons qui font que cette cible soit devenue une priorité pour les marques. C’est la période où l’on a définitivement quitté le nid familial pour devenir plus responsable et indépendant. Ce qui signifie que la décision d’achat se fait de manière plus individuelle, spécialement lorsqu’on a décroché son premier travail. Cette cible achète énormément, place le divertissement et confort de vie en premier lieu et est à l’affut des nouvelles offres et expériences inédites. Les marques s’intéressent donc de plus près à ces nouveaux adultes et cherche à les séduire à travers plusieurs actions de communication pensés et adaptés à eux. D’abord, il y a les marques qui symbolisent leurs prises d’indépendance, car elles sont synonymes de leur émancipation de leur libre arbitre.  Ensuite, les marques de leur premier salaire qui s’inscrivent dans le registre du plaisir. Et souvent ce sont des marques premium et de luxe qu’ils ne pouvaient se payer en étant encore des étudiants. Les marques de l’installation en couple, à savoir les marques nationales ou encore les MDD. Les marques de l’arrivée d’un enfant. Les jeunes parents veulent le meilleur, le bio et choisissent des valeurs sûres qui rassurent. Les entreprises cherchent donc à capter leur attention aujourd’hui dans une dynamique de croissance dans l’avenir. Les éduquer et les fidéliser à la marque est un enjeu important dans la mesure où cela permet de construire une génération d’acheteurs longtermistes. Ceci dit, même en ayant des priorités, cette cible sait débloquer le budget nécessaire en dépit du revenu moyen. Il s’agit d’une catégorie de personnes qui suivent énormément leurs envies, leurs coups de cœurs, adorent le design, le luxe, la haute technologie.. Ils restent attachés aux marques de leur première jeunesse. Les marques ont tout intérêt à maintenir le lien et leur proposer des offres qui font que les mêmes besoins soient présents à la sortie d’un nouveau modèle ou d’une dernière collection de produits. Car une fois qu’ils ont fait leur choix, ont été éduqués et accompagnés, ils restent fidèles à la marque. Une autre raison de les suivre : ils se font entendre ! En famille ou entre amis, le choix repose sur...

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L’entrepreneuriat : Les 5 situations qui ne feront pas de vous un entrepreneur

La phase de réflexions est une grande étape pour devenir entrepreneur, cependant, ce n’est pas suffisant. Beaucoup de volonté et de motivation font la transformation d’idées innovantes en actions afin de développer son business et se lancer une fois pour toute. Aujourd’hui, plusieurs situations peuvent entraver la concrétisation d’idées. Afin de vous donner l’envie d’entreprendre, nous lèverons le rideau sur le perpétuel discours de ceux qui ont peur de se lancer puis nous présenterons en vidéo différents entrepreneurs ayant pour point commun une idée innovante derrière leur succès.   1.     « Ma situation financière ne me permet pas d’entreprendre … » Une nouvelle idée ne consiste pas seulement à avoir un concept innovant, mais à introduire un concept nouveau dans un ordre établi de manière à le traduire en différentes actions. Beaucoup de personnes persistent à penser que pour entreprendre, il faut un fond d’investissement alors qu’il ne s’agit pas de la seule clé de succès. En effet, il faut être soi même convaincu de la force de son idée et savoir la transmettre aux autres.  Plusieurs sources d’inspirations sont préconisées : Observez et pensez aux soucis de la vie quotidienne (personnels ou professionnels) afin de réfléchir aux solutions, ciblez une certaine catégorie et définissez ses besoins futurs et présents, cherchez ce qui existe dans d’autres pays mais pas dans le votre.  Enfin, pensez « cible » avant de penser au produit/service ou à l’activité où vous souhaitez entreprendre car en fin de compte c’est bien la même cible qui vous aidera à développer votre projet.  Sachez que ceci ne veut pas dire qu’il suffit seulement d’avoir une « bonne » idée pour se lancer puisqu’elle doit être lancée au bon moment, au bon endroit et auprès des bonnes personnes. Le tout couronné d’un plan d’affaire qui vous permettra de retrouver une logique et un modèle à suivre. Maintenant que vous êtes certains de votre idée, assurez-vous que sa mise en Å“uvre nécessite réellement un financement avant de chercher les moyens pour lancer votre projet puisqu’une contribution active (financière ou pas) de votre entourage pourrait suffire. La seconde source de financement est de s’associer à quelqu’un de votre réseau professionnel qui investira dans votre projet. Enfin, s’il n’est pas possible de faire autrement, faites appel à un financement bancaire en prenant garde à la partie financière de votre projet qui doit être bien étudiée, afin de rassurer votre banquier sur votre capacité à payer les intérêts et à rembourser votre prêt dans les délais accordés. 2.      « Je n’arriverai jamais à garantir mon existence entre ces nombreux entrepreneurs… » Il s’agit de points noirs qui encombrent votre vue et vous empêchent d’avancer. Pour se frayer un chemin dans le monde du business, êtres entourés de plusieurs entrepreneurs est un atout. C’est important d’évoluer dans un éco-système à fort potentiel ou les idées et actions sont discutées. c’est d’autant...

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Brand content, la To do List !

Le contenu de la marque: on en parle ! Il s’agit d’un terme qui se répète souvent dans le jargon marketing d’aujourd’hui, et est souvent vu comme LA recette marketing. En effet, en tête des priorités des professionnels, il est important de nourrir des réflexions autour de sa marque et de produire un contenu riche et innovant ! Comment y parvenir ? Nous avons dégoté pour vous une To Do liste brève et concise sur les bonnes pratiques à suivre pour avoir les meilleurs réflexes quand au contenu marque à produire. Avant de vous présenter le content de la liste, il est bon de garder à l’esprit que le brand content présente quelques limites liées à : Type d’entreprise : Etre un distributeur de cosmétiques ou un chocolatier vous permet de proposer un contenu plus alléchant qu’un autre, Budget consacré : Même si dans votre esprit, le content marketing est surtout lié aux idées comprises dans le plan à produire, il demande un budget important en gestion de projet, de suivi en terme de temps et d’actions à entreprendre. Brainstorming et créativité sont nécessaires pour alimenter son contenu marque, Popularité du thème : Ne vous étonnez pas si votre contenu est englouti, avec un concept fortement discuté ou repris par d’autres marques, Cible à distinguer : Avec la viralité prépondérante sur les réseaux sociaux, un concept lancé doit vivre et faire le buzz s’il est communiqué à la bonne cible, ce qui est un challenge en soit pour la marque. Afin de dépasser cela, suivez notre To Do List en content marketing : Ayez un concept clair, original et qui fait le buzz !!!   Ce qui vous plait, ne plaira pas forcément à tout le monde : prenez les avis de l’équipe et testez le concept en avant-première avant son lancement. Prévoyez plusieurs séances de brainstorming, et rassemblez un maximum d’idées à discuter avant leur présentation. Cherchez les meilleures sources et benchmarks afin d’appuyer vos arguments. Favorisez le brand content de niche afin de mettre en avant votre marque et produits Intégrez les différents aspects du contenu dans l’approche globale de l’entreprise Allez sur un contenu ludique, divertissant, pratique, informatif et utile. Engendrez un effet d’entrainement et de marque communicative Interpellez votre audience, via un teasing ou du storytelling Suivez les histoires et tendances en matière de brand content pour rester en phase avec les pratiques du marché Adaptez votre langage et ton de prise de parole au public visé Améliorez l’expérience produit pour en faire un contenu intéressant  Faites de votre cible, l’acteur principal de votre histoire afin qu’il se reconnaisse au mieux dans votre concept. Cette petite To Do List n’est point exhaustive, il faut l’alimenter et la mettre à jour, en s’inspirant des case studies et best practices sur le marché afin de valoriser sa...

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Lancer sa startup : les marchés pour entreprendre.

La création d’entreprise est une aventure passionnante et enrichissante. Elle est aussi complexe et nécessite notamment de bien choisir le marché visé afin d’optimiser ses chances de réussite. Voici quelques astuces qui permettent de mieux choisir son marché. 1.    Un marché qui vous passionne :  Il est recommandé de choisir un domaine qui vous passionne et qui ne vous fera plus compter vos heures de travail afin d’être le plus efficace possible. En étant passionné par votre métier, vous allez être proactif, innover sans nécessairement vous inspirer de vos concurrents. Vous allez davantage rechercher de nouvelles réponses aux problématiques qui se présentent à vous. La passion est l’un des éléments clés pour assurer un investissement optimal et maintenir votre détermination face aux difficultés rencontrées. 2.    Un marché que vous maitrisez : Vous allez probablement vous confronter à des concurrents qui comprennent le besoin client et les solutions à apporter. Pour faciliter votre arrivée sur un marché, assurez-vous d’avoir une bonne compréhension des composantes de votre marché : le type de marché, ses concurrents, les besoins clients, le niveau de croissance et les perspectives de développement. 3.    Un marché attractif : Le marché sur lequel vous souhaitez vous lancer doit être porteur et attractif ! Il doit être en croissance et propice à accueillir un nouvel acteur apportant une nouvelle offre. Evitez d’arriver sur un marché avec une intensité concurrentielle très forte si vous n’avez pas de produits ou services réellement innovants, pouvant vous permettre de vous développer. 4.    Cherchez à vous spécialiser : Il est difficile de se lancer dans plusieurs domaines différents et s’attaquer à plusieurs concurrents. Votre temps sera divisé par le nombre de vos différentes activités. De nombreux entrepreneurs ont pleins d’idées et se lancent dans plusieurs activités qu’ils développent partiellement chacune. En réduisant le nombre d’activités développé, ils pourraient assurer beaucoup plus la réussite de leurs projets. Concentrez-vous donc sur la définition d’une stratégie claire. 5.    Faîtes de la veille active La veille permet de surveiller l’évolution d’un marché : les nouvelles tendances de consommation, les nouveaux acteurs, les perspectives d’évolution, etc. Profitez des nombreux médias comme les blogs, la presse spécialisée et la télévision pour vous tenir informé. Il existe des magazines spécialisés et dédiés aux nouvelles idées de business à travers le monde. La veille vous aidera à déceler une opportunité à saisir dans laquelle vous souhaiteriez vous...

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10 Top et Flop d’idées entrepreneuriales

Plus qu’un statut de personne active, l’entrepreneur est un métier à part entière avec ses success stories et ses failures. Avant de démarrer l’aventure, le porteur de projet est conscient que le risque est là, que son business peut évoluer et devenir un modèle dans le monde du business, ou devenir un fiasco total. Il est donc amené à faire face à des aventures marquées par des hauts et des bas, dans le but de mener à bien son projet. Les réseaux sociaux, high tech ou encore dans l’e-commerce, autant d’opportunités qui ont poussé de nombreuses personnes à se spécialiser. Aujourd’hui, nous vous proposons une revue des Top et Flop des projets ayant fortement réussi… ou échoué.        I.         Le Top des success stories en entreprenariat : Talentueux, créatif et audacieux, chacun de ces as de l’entreprenariat a développé une démarche particulière afin de réussir. Loin de Mark, de Jeff ou de Bill, ces entrepreneurs nous ont marqué par leurs ambitions et leurs idées !  – Les frères Samwer ou les clones du web : Oliver, Marc et Alexander Samwer sont trois frères allemands experts dans le copiage de sites américains : même concept, même police, même couleur et même design. L’aventure a commencé en 1999 lorsqu’ils ont produit le clone du site eBay, le site Alando racheté 4 mois plus tard, pour une somme de 43 millions de dollars. Depuis ce coup de poker, ils ont créé leur entreprise «Rocket  Internet» présente dans plus de 20 pays et qui emploie 20 000 personnes, dans un esprit de startup.  La créativité reste apparemment leur talon d’Achille puisqu’ils prônent « l’apprentissage » plutôt que l’innovation. En effet, leur modèle de réussite consiste à repérer une startup américaine qui commence à grandir, la copier ensuite du concept jusqu’à la charte graphique, puis lancer simultanément leur site dans différents pays.  Et ça marche ! Sites de Rocket Internet Sites originaux Transaction Bamarang Fab Alando E-bay Quatre mois plus tard, le site d’enchères américain rachète son clone allemand pour 43 millions de dollars. Zalando Zappos Citydeal Groupon En 2010, le site CityDeal a été racheté par son initiateur américain, le site d’achat groupé Groupon avec une somme supérieur à 100 millions de dollards. Lazada (Asie du Sud Est) – Mizado (Moyen Orient) Amazon Pinspire Pinterest Edarling Eharmony Glossybox Birchbox – Evan Spiegel, l’homme qui a dit NON à Facebook ! A 23 ans, cet ancien étudiant de l’Université Stanford qui vit chez son père, n’a pas hésité à envoyer balader Facebook et même Google qui voulaient acheter son application Snapshot. Cette dernière permet d’envoyer des SMS, des vidéos, des photos, qui s’auto-détruisent instantanément après leur envoi. Tout a commencé en 2009 dans une fraternité, lorsque Spiegel a rencontré Bobby Murphy pour fonder « Futur Freshman », une sorte de guide d’orientation pour l’université. Le scandale Anthony Weiner les a inspiré en 2011 pour créer Snapchat. La...

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Conférence 19/12 : Créer une Ecole privée de l’Internet. Quand la Belgique s’y mettra-t-elle ?

A l’instar de la France, la Belgique ne dispose pas vraiment d’école pour préparer ses étudiants aux métiers actuels du web et/ou en tous cas pas à la vitesse à laquelle les technologies évoluent. En réponse ce manque,  Technofutur TIC propose d’ouvrir le débat lors d’une conférence non-conformiste, le 19 décembre 2013 dès 18h. Créer une Ecole privée de l’Internet. Quand la Belgique s’y mettra-t-elle ? Qui ne connaît les Ecoles françaises de l’Internet, lancées en mode « privé » par les stars du Web : EEMI, 42, Sup Internet,… Elles font le buzz et portent des promesses fortes, tant auprès des étudiants que des entreprises… Programme de la conférence 18.00 Round 1 – Ouverture : quelles écoles pour quels besoins ? Brice Le Blévennec, Fondateur d’Emakina qu’il ne faut plus présenter. Olivier De Wasseige, CEO de Defimedia, Président du CA d’Internet Attitude, Vice-Président de l’Union wallonne des Entreprises (sous réserve) Pierre Lelong, Technofutur TIC 18.20 Round 2 – Les Ecoles françaises de l’Internet, mode d’emploi Présentation des Ecoles françaises. En ce compris le modèle pédagogique, les modes de sélection, les business models et droits d’inscription, la reconnaissance ou non des titres, les facteurs de succès, les relations avec le monde professionnel et les embauches en sortie de formation, les différences avec l’enseignement public et l’écho des pouvoirs publics. Avec la participation de : Benoît Lachamp, directeur de SUP Internet (Paris) Jean-Luc Synave, fondateur d’On Prend Un Café, initiateur de formations supérieures en e-commerce, chargé de cours ou de formation en France, Belgique et en Afrique. Pascal Poty, Responsable du Pôle Veille Technologique et Juridique à l’AWT, chargé de cours ou de formation en France et en Belgique 19.00 Round 3 – Interlude : études récentes Trois études pour approfondir la question : Etude d’opportunité de la création d’un institut de formation en régions Nord-Pas-de-Calais et Wallonie (novembre 2013, Deloitte France) Compétence numérique pour tous, quels référentiels pour quelles pratiques, quelle(s) compétence(s), quelle employabilité ? (décembre 2013) Former à des métiers émergents. Quelle pédagogie ? (décembre 2013) 19.10 Round 4 – Table ronde et débat critique sur la transposabilité Mise en perspective, débat et questions de la salle avec les intervenants accompagnés notamment de : Laurence Coffernils, maître assistante à HEPH Condorcet, initiatrice du Bachelor en Ecriture Multimédia Eric Lardinois, expert en management de la créativité chez ID Solution, chargé de cours et de formation en France, Belgique et Suisse. Des représentants de plusieurs Hautes Ecoles (en cours de sollicitation) : HEAJ, Ephec, CAD 20.00 Cocktail dinatoire et networking Inscrivez-vous et participez à cette conférence gratuite...

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Snapchat, l’application qui a fait trembler Facebook

A la fois innovante et branchée, Snapchat est une application qui permet à son utilisateur d’envoyer des messages et images mais qui disparaissent aussitôt qu’ils ont été envoyés, empêchant ainsi leurs récepteurs de les partager en ligne. Facebook – Snapchat : Un refus d’achat expliqué ! Cette absence de traçabilité expliquerait fortement la somme de 3 milliards de dollars proposée par Facebook pour le rachat de cette application, dont le porteur d’idée Evan Spiegel a refusé la cession. Cette décision reste compréhensive puisqu’au-delà de l’aspect évolutif de l’application, elle cible les jeunes et a tout le potentiel pour réussir.   Spiegel, ce nouveau visionnaire …   Du haut de ses 23 ans, cet ancien étudiant de l’Université Stanford a commencé son aventure aux côtés de Bobby Murphy – Chef de la technologie et cofondateur de Snapchat – après avoir abandonné ses études, le temps de se concentrer sur la création de Snapchat. Ce projet a coûté 70 millions de dollars de financement en capital de risque reçus par son entreprise pour continuer à la développer. À l’allure d’une startup naissante, il a ouvert son entreprise en 2012 avec 20 employés et ne goûte pas encore aux fruits de ses efforts.       Toutefois, Mr. Spiegel a bien raison d’attendre l’année prochaine pour une offre plus élevée vue la vitesse de croisière dont jouit l’entreprise. Qui fera donc une proposition plus alléchante pour l’acquisition de Snapchat ?...

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Devenez chargé de marketing online en 6 mois

Vous êtes demandeur d’emploi et êtes intéressé par le monde du web et du marketing ? Vous cherchez une formation qui va vous remettre sur le chemin de l’emploi ? Technofutur TIC recherche de futurs professionnels du e-marketing, prêts à s’investir en formation lourdement durant 6 mois de janvier à juillet 2014. Si vous souhaitez dépasser vos limites, la porte vous est grand ouverte. FORMATION QUALIFIANTE « CHARGÉ DE MARKETING ONLINE«  PROFIL DE LA FONCTION Le but est de former des professionnels capables de gérer le marketing interactif de sociétés commerciales ou d’organisations privées. Soit des coordinateurs de la présence et de la politique marketing en ligne de structures ayant besoin de développer des relations et affaires (e-commerce, lead nurtering,…). Au terme de la formation, ils devront être capables : De comprendre la stratégie globale et opérationnelle d’une entreprise De structurer et modéliser une stratégie marketing, après prise en compte des contraintes internes et externes De valider cette stratégie dans une approche de ROI, KPI, performance De concevoir, planifier et budgétiser un marketing mix efficace, centré sur l’optimisation des conversions De gérer les partenariats externes avec des agences spécialisées D’animer la relation avec les clients et prospects : promotions, emailing,… De fédérer les internautes sur les médias sociaux et communautaires De suivre la mise en Å“uvre des campagnes marketing D’actionner eux-mêmes les principaux leviers d’acquisition (ex. SEO) De monitorer les résultats des actions web entreprises et eds données de vente (analytics) Autres dénominations ou fonctions assimilables : web marketer, responsable du marketing interactif, digital marketer. Les candidats formés seront amenés à exercer d’abord des fonctions opérationnelles et tactiques, le temps de faire leurs preuves et se voir reconnaître des responsabilités stratégiques, de gestion de projet ou financières, après des délais de quelques mois, pour les plus motivés. CE PARCOURS EST OUVERT AUX DEMANDEURS D’EMPLOI DE WALLONIE, DE BRUXELLES ET DE FLANDRE: Il s’étale de janvier 2014 à juillet 2014 (110 jours). Il s’effectue sous le régime du contrat de formation F70bis. Le parcours est ouvert à un groupe de 14 stagiaires. La date limite de candidature est fixée au 20 décembre 2013. La sélection sera réalisée sur base d’interviews individuelles et de tests. ORGANISATION DE LA FORMATION La formation est prise en charge par des professionnels, tous des praticiens experts dans leur domaine et choisis pour leur expérience concrète, vécue et enrichie au contact permanent des réalités quotidiennes du milieu professionnel. Après environ 6 semaines d’homogénéisation et de mise à niveau du groupe, notamment sur le plan technique, la phase principale débutera. Vous connaissez les nouvelles Ecoles de l’Internet en France ? La pédagogie sera axée sur la résolution de problèmes, le sens de l’initiative, l’esprit d’efficacité. A cette fin, trois à quatre business cases réels de PME belges serviront de support et de fil conducteur à la formation. Les...

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Quelle est l’heure optimale pour envoyer ses newsletters ?

S’adapter à son public, personnaliser ses communications,  capter l’attention immédiatement… Il faut tenir en compte  de nombreux  éléments  pour réussir une campagne e-mailing. Toutefois, il reste un point clé à ne pas négliger : l’heure d’envoi des e-mails. Cela peut en effet avoir un impact déterminant sur le succès ou l’échec d’une campagne emailing. Pour s’y retrouver, la société Pure360 a réalisé une étude analysant  les taux d’ouverture de 40 000 campagnes e-mailing en fonction de différents secteurs. En voici les principales conclusions : Contrairement à une idée reçue, envoyer ses e-mails la nuit dans l’espoir qu’ils se retrouvent parmi les premiers à être lus par le destinataire serait infructueux : seulement 4% des e-mails envoyés entre minuit et 7h du matin sont ouverts. Le moment optimal pour envoyer une campagne emailing se situe entre 17h et 18h lorsque les personnes finissent leur journée de travail ! Environ un quart (26%) des campagnes envoyées durant cette période est ouvert – soit 9% de plus que la moyenne, toutefois il y a des différences en fonction du secteur d’activité concerné: L’automne est la période de l’année la plus propice pour envoyer ses e-mails, surtout dans le secteur du loisir. Enfin, la personnalisation est essentielle : il faut toujours adapter ses campagnes à son public en analysant les comportements individuels de ses destinataires. L’étude de Pure360 (téléchargeable ici) se base sur 40 000 campagnes e-mailing, soit 900 millions d’e-mails envoyés en 2012 par 150 entreprises issues de différents secteurs (tourisme, secteur public, mode, agro-alimentaire, transports…). Parmi les entreprises faisant partie de l’échantillon il y a notamment L’Oréal, la compagnie aérienne Flybe, le magazine Cosmopolitan, la marque de boissons Innocent Drinks ou encore la marque de GPS Garmin....

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