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Le choc des titans : Instagram Direct Vs Snapchat

Après s’être vu refuser son offre de rachat par le fantôme du web,  Facebook revient à la charge. Avide de pouvoir, le leader des réseaux sociaux entre dans l’arène en lançant une nouvelle fonction sur sa filiale Instagram, similaire à celle proposée par l’ingénieuse application Snapchat. Comme une odeur de vengeance dans l’air …   Dénommée  «Instagram Direct », cette application permet de partager une photo ou une courte vidéo en privé avec un seul ou quelques abonnés (un groupe de 15 personnes au maximum), conjointement et instantanément. Avec plus de 150 millions d’utilisateurs actifs par mois, 55 millions de photos postées et 16 milliards de photos partagées sur « Instagram Direct », Instagram est une vraie machine de...

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Tour d’horizon des faits marquants en 2013

Si vous avez ratez quelques articles sur les évènements qui ont mouvementé l’année 2013, pas de panique. La nouvelle année est propice aux longues rétrospectives. L’occasion pour nous de vous dévoiler un extrait concentré des faits marquants, au cours de l’année qui vient de s’écouler. Au menu : fine couche des nouveautés chez les géants d’internet, amplifiée par quelques évolutions croustillantes des réseaux sociaux, accompagnée évidemment par le must de l’actualité web. Apple: -        La marque à la pomme a dépoussiéré ses systèmes d’exploitation, pour lancer iOS 7. Ce dernier intègre de nombreuses nouveautés entièrement gratuites, sur un flat design fonctionnel. -        Avec la montée en puissance de la filière de robotique, Apple en a profité pour investir près de 10,5 milliards de dollars dans des robots industriels, pour robotiser ses lignes d’assemblage. -        Apple a racheté le spécialiste d’analyse de données des réseaux sociaux, Topsy. -        Lancement de l’iPhone 5S et l’iPhone 5C qui ont révolutionné le monde des smartphones. Microsoft : -        Afin d’effacer les bavures de l’OS hybride, Microsoft a opté pour une mise à jour complète du système d’exploitation Windows 8. Malgré une refonte totale du design pour optimiser son utilisation et maximiser la personnalisation, les habitués à Windows 7 ont encore du mal à s’adapter. -        L’emblématique service de messagerie de Microsoft, a cédé sa place à Skype. C’est avec nostalgie que des millions d’internautes ont fait leur adieu à MSN. -        Après avoir raté le virage des Smartphones, Nokia a été rachetée par Microsoft  à 5,4 milliards de dollars. -        Le symbole aux quatre carreaux a innové sur le plan médico-technologique, en lançant un quatrième objet connecté, le soutien-gorge Smart Bra. Google : -       Au grand dam de certains internautes, l’anonymat dans les commentaires sur Youtube n’est plus possible. Sourd à leurs cris, Google a décidé malgré tout d’intègrer les commentaires de Google+ sur Youtube -        Google a investi dans la robotique en rachetant 8 startups dont le géant de la robotique militaire, Boston Dynamics.   -        Le grand vainqueur du tournoi Darpa Robotics Challenge n’est autre que le robot HRP-2 de SCHAFT Inc, racheté aussi par Google. -        Google a entrepris une refonte drastique de l’identité graphique de Google+,  au niveau des profils et des pages. -        Bien que son service  soit utilisé par des professionnels du web, Google a décidé de mettre fin à son agrégateur de flux RSS, Google Reader. -        Bénéficiant d’un co-branding avec le géant Nestlé, Google a lancé Android Kit Kat pour marquer le lancement de son nouveau Smartphone, Nexus 5.    -        Tel un conte de fée dans un cadre idyllique que Google a fini par publier ses résultats, pour l’année 2013. Chevauchant sur une forte hausse, la firme américaine est à présent fière de brandir son chiffre d’affaires de 15 milliards de dollars pour un bénéfice net de 3 milliards. Yahoo :...

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Comment améliorer la visibilité des bannières web ?

Si les interstitiels, les habillages, les publicités vidéo envahissent le web, il est temps pour vous de revoir votre publicité. Il ne s’agit pas d’innover ou de révolutionner le branding digital world, mais de réfléchir tout simplement à la meilleure manière de placer votre bannière. Alors, comment positionner votre bannière pour améliorer sa visibilité ? Pourquoi vos publicités web ne sont-elles pas visibles ? Si pour certains d’entre vous, l’optimisation de placement de bannières suffit pour que la publicité soit plus visible, d’autres y donneront une toute autre considération.  Il fut un temps où la création d’une bannière 468×60 et le repérage de sites à trafic élevé suffisaient. Le web a bien évidemment muté depuis ! D’après les dernières données d’Infectious Media, 54% des bannières web ne seraient pas vues alors que les annonceurs ne paient que pour les publicités vues. Parmi les raisons responsables des publicités non vues : -        La bannière est hors du champ de vision et l’internaute ne scrolle pas  -        Les bannières ne se charge pas (problème du navigateur, de connexion) -        Les Plug-Ins ne sont pas pris en charge sur le navigateur de l’internaute -        Les pratiques frauduleuses -        Les systèmes antipub -        Les changements d’onglets de navigation -        Les robots non frauduleux Comment améliorer la visibilité de vos bannières ? Pour y remédier, l’habillage demeure sans surprise le meilleur format en termes de visibilité et de qualité d’exposition publicitaire. Toutefois, vous pouvez vous baser sur les éléments suivants pour choisir le format publicitaire, correspondant le mieux à votre créa et votre objectif : -        Skyscraper : A privilégier pour des messages courts (Bon taux de visibilité pour une durée moyenne) -        Pavé : A privilégier pour les vidéos et messages longs (Taux de visibilité moyen pour une très bonne durée) -        Magazine : A privilégier pour des grandes créa portantes de messages forts (Taux de visibilité moyen pour une bonne durée) -        Habillage : A privilégier pour des opérations spéciales Infectious Media vous propose aussi plusieurs solutions :     Qui dit taux de clics, dit visibilité : NON ! Evidemment, la performance d’une campagne publicitaire ne se mesure pas au nombre de clics cumulé. En effet, les publicités les plus visibles ne sont pas forcément celles les plus cliquées. D’autres paramètres rentrent en jeu comme la durée de visibilité des pages, les jours de semaine où apparait la publicité (Le taux de clics en weekend est plus supérieur que le reste de la semaine), la durée d’exposition de l’internaute à la bannière ou encore la fréquence d’apparition de la publicité.  Après avoir passé en revue le comment du pourquoi autour de la visibilité des bannières web, nous vous proposons de mettre en exergue ces conseils, pour revenir d’ici quelques jours et nous montrer le résultat ! A vos...

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Quand Bitstrips s’invite chez les marques !

Créé en 2008, ce n’est que depuis quelques mois que la sphère digitale a été ensevelie  par l’ouragan Bitstrips. Cette dernière est une application, qui vous permet de raconter votre vie en bande dessinée, dans un esprit décalé. Comme les réseaux sociaux, Bitstrips est animé par le duo curiosité-égo qui vous pousse à partager régulièrement les moindres bribes de votre vie.   Ayant compris le véritable enjeu qui se cache derrière cette application,  certaines marques songent déjà à l’utiliser pour communiquer sur les réseaux sociaux … Reste à savoir, comment elles s’y prendront ?! Bitstrips, une question d’engagement … Si les posts images ont une viralité plus élevée que celle des statuts et des liens partagés, Bitstrips étant une image BD accompagnée d’un texte, représente la viralité en soi. Dans un cadre commun à votre quotidien, prenez quelques avatars, incorporez y des émoticônes pour qu’ils prennent vie, saupoudrez les par une légende ou des bulles de dialogue pour agrémenter la situation (ne négligez pas le BA-BA du CM : point d’exclamation, phrase courte et simple, dénuée de fautes d’orthographe), mixez le tout … vous avez réussi à concocter pour votre marque, la recette idéale pour un engagement sans faille ! Le nouveau storytelling vient de naître ! Fun, jeune et sympa, cette application représente un moyen efficace pour titiller l’intérêt de vos fans. Evidemment, l’histoire que vous essayez de raconter doit être compréhensible (langue, jargon, ton …) et claire, afin que votre cible s’y reconnaisse. Que ce soit pour retracer l’histoire de votre marque, montrer les différentes situations d’utilisation de votre produit/service ou bondir sur un évènement en relation ou non avec votre marque, il existe moult usages à Bitstrips, à vous de choisir celui qui vous conviendra le mieux … Un nouvel outil à l’arche des marques : TF1 fait partie des marques ayant réellement cru à l’application, jusqu’à en faire un nouveau moyen de communication. A la finale de Danse avec les Stars 4,  la chaîne télévisée a proposé à ses fans de soutenir leur couple préféré en créant des vignettes Bitstrips. Les plus créatifs d’entre eux ont reçu une vignette dédicacée par la star.  Nrj12 a aussi surfé sur la vague, pour illustrer les grands moments de l’émission « Allô Nabilla » lors du 3ème épisode. La vignette a été partagée sur le compte Twitter mais également sur le compte Instagram de Nabilla.   A son tour, le Crédit Agricole n’a pas hésité à démocratiser son community management, en se mettant à Bitstrips.  La dernière à avoir cédé à la tentation Bitstrips est l’équipe CM du candidat à la ville Pau pour 2014, Yves Urieta. Une autre manière de faire entendre sa voix sur les réseaux sociaux !  Bitstrips a bouleversé le discours marketing des marques sur la toile et a inventé une nième manière de communiquer entre amis. Mais d’après vous, est-ce que Bitstrips est une simple...

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Monoprix, génie du packaging !

Ces dernières années, nous sommes passés du marketing de masse au marketing One-to-One. C’est dans cette optique que la personnalisation apparaît comme LA tendance à suivre. Elle vous permet de penser « individu» avant « consommateur », de tisser une relation particulière avec celui-ci et de gagner sa confiance et le fidéliser. Après Coca-Cola, M&MS et Nutella, c’est au tour de Monoprix de se mettre à la personnalisation du packaging en marque propre.  Subséquemment à la vague de packaging portant sur les jeux de mots (opération signée Havas City) de l’automne dernier, Monoprix remet le paquet pour clôturer l’année en beauté.   Audacieuse, la chaine alimentaire française a lancé une campagne de communication, déclinée en application Facebook nommée «Les messages en boite». Cette dernière permet aux fans de personnaliser leurs packagings sur des produits prédéfinis, accompagnés de messages teintés d’humour et ajustés aux thèmes proposés (Anniversaire, nouvel an, mots-doux, naissance, réussite), à envoyer en guise de cartes de vÅ“ux.   La création d’emballage personnalisable prend 3 minutes et permet d’introduire son message et le partager avec les personnes de son choix. -  Cliquez sur l’application « Les messages en boite », sur la page Facebook de l’enseigne  – Sélectionnez votre emballage – Personnalisez le background – Ecrivez le prénom de la personne à qui vous souhaitez offrir le produit  Et le tour est joué ! Une « trame » toute prête aux fans mais qui a tout de même permis à Monoprix de booster son image. Cette censure créative apparait comme un obstacle aux débordements rencontrés l’année dernière, qui lui ont valu d’être à deux doigts d’un bad buzz. D’après-vous, quel sera le prochain coup de génie de...

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MisterGoodDeal, le pari perdu de M6

Dans une vision de rachat total, MisterGoodDeal s’est vu cédé par M6 au 3ème européen de la distribution d’électroménager et d’électronique en ligne, Darty. Selon le communiqué, la négociation autour du pionnier du e-commerce français comprend les instances sociales et l’accord des autorités de la concurrence. Aux dernières nouvelles, le site de vente en ligne a plus de 170 salariés et a déclaré avoir 128,1 millions d’euros en 2012. Cependant, ses pertes sont estimées à plusieurs millions d’euros. Pourquoi M6 Groupe a décidé de s’en séparer ? Dépenses faramineuses,  e-shoppers  infidèles,  pertes au niveau de logistique, le gouffre ne cesse de se creuser. Toutefois, certains acteurs comme le géant américain Amazon s’en sortent plutôt bien. Ce dernier n’a pas hésité à adopter une politique d’expansion, malgré une perte de 41 millions de dollars. Conjoncture économique difficile ou réel besoin de s’en débarrasser, MisterGoodDeal aurait été vendu à UN euro symbolique. Cette décision a permis à M6 d’éponger la perte et de sortir gagnant de la négociation.    Le pôle de vente à distance axé sur les activités de télé-achat et certains sites est toujours présent. Est-ce que M6 lancera un autre pari en créant une copie de...

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Facebook serait-il sourd aux cris des « Haters » ?

Si le bouton « Dislike » reste le plus demandé par les utilisateurs, il ne sera pas aussitôt créé. Jugé trop négatif, il ne représente pas pour l’instant un objectif en tête de mirs selon les ingénieurs de Facebook. Toutefois, le leader des réseaux sociaux planche sur un nouveau bouton qui va surprendre plus d’un. Lequel ? Un peu de paix dans ce monde de brutes ! Avec les derniers évènements tragiques (Mort de Nelson Mandela, de Paul Walker ou encore l’Ouragan Haiyan), aimer une photo, un statut ou un lien mettant en scène le malheur des autres, serait un signe de mépris. Ainsi, une nouvelle alternative au «Dislike », plus adéquate aux statuts tristes ou embarrassants sur Facebook verra bientôt le jour. La firme au pouce bleu envisagerait d’introduire un nouveau bouton, « Je compatis ». Soit tu aimes, soit tu compatis ! Telle une boite à idées géante, la firme de Palo Alto a réfléchi à organiser un hackathon qui lui permettra d’insuffler un vent de créativité et aboutir à des futures applications plus innovantes. C’est suite à ce type d’évènement que le nouveau bouton a été créé. Dans le monde de Bisounours, tous les boutons sont en adéquations avec vos sentiments, il ne suffit que de cliquer. Ce n’est pas le cas sur Facebook. Le mode opératoire des boutons sur le réseau social est bien simple : « Si une personne publie sur son profil Facebook, un statut EN PRECISANT qu’elle est de mauvaise humeur ou triste, le bouton «Like» disparaît au profil de « Je compatis ». La politique de l’autruche adoptée jusqu’à maintenant, pour éviter d’intégrer le bouton «Dislike», montre un certain manque d’honnêteté de la part de Facebook. Afin d’éviter tout hécatombe, vos propos sont analysés mot à mot jusqu’au point de supprimer les commentaires à caractère raciale ou injurieux. Mais est-ce une raison pour vous empêcher de vous exprimer et de clamer haut et fort  votre désarroi ?...

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Avec la Smart Bra, ça va dégrafer !

Soucieux de vous offrir des produits adaptés à votre quotidien, le département R&D de Microsoft ne cesse d’innover. Après les montres High Tech, les lunettes intelligentes et chaussettes pour bébé, le symbole aux quatre carreaux vous propose son quatrième objet connecté, le soutien-gorge Smart Bra. Dans une dimension médicale et éducative, la firme américaine cherche à développer des appareils ayant la capacité de reconnaître, de synthétiser et de modéliser vos émotions. Utile ou inutile ? Evidemment, ce n’est pas LE premier soutien-gorge intelligent puisqu’il y’a celui qui détecte le cancer du sein et celui qui tweet. A son tour, Microsoft a jeté son dévolu sur les deux bonnets.  Souhaitant déterminer et contrôler l’humeur des femmes, surveiller différents paramètres physiques de l’utilisatrice à l’aide des capteurs, cette lingerie féminine représente le vêtement idéal, car il permet de mesurer précisément la fréquence cardiaque.   D’après la directrice de recherche de Microsoft, Mary Czerwinski : « Ce prototype aidera à changer les comportements qui nous semblent automatiques ou hors de contrôle … Le soutien-gorge rendra les personnes conscientes de leurs attitudes mal adaptées ». Ce petit bijou récoltera donc le rythme cardiaque, conductivité de la peau ainsi que ses mouvements.  Ensuite, ces données  seront étudiées avec des informations fournies au préalable, sur une période où le sujet a eu des comportements boulimiques dus au stress, appelés aussi boulimies émotionnelles. Dès que le seuil critique est atteint, le sous-vêtement envoie un signal au Smartphone de l’utilisatrice pour la prévenir d’équilibrer son alimentation. Evidemment, chaque objet connecté est rechargeable, le soutien-gorge a devra être retiré afin d’être rechargé toutes les trois à quatre heures.  Et les hommes ? Certes, le sous-vêtement masculin est trop loin du cœur pour mesurer son rythme et fournir ainsi des données fiables. Le prochain défi lancé par les cherches de Microsoft, est de créer un système confortable, doté d’une batterie qui tiendra plus longtemps et qui sera utilisable à la fois par les femmes et les hommes.  A votre avis, quel vêtement ou objet porté par les deux sexes est assez proche du cœur pour évaluer leurs stress ?...

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Le m-commerce, ce nouvel eldorado des marques

Tous les regards sont rivés sur le troisième écran en matière de shopping en ligne, le mobile. Communément appelé le m-commerce, il séduit les mobinautes autant que les marques. Très tendance, le commerce sur mobile a explosé ces derniers mois avec l’apparition de la 4G, la multiplication du nombre de Smartphones et la démocratisation du commerce digital.   Conscients de l’enjeu majeur qui se cache derrière ce support, les marques ont commencé à décliner leurs offres afin de mieux s’adapter aux attentes de leurs clientèles surconnectées. Bien que le chiffre d’affaire[1] du m-commerce ait augmenté de 120% durant le premier semestre 2013, pourra-t-il trouver une place au côté du e-commerce ? Quelles sont les possibilités de vente sur mobile ? Comment les marques pourront-elles faire face à des shoppers de plus en plus exigeants ? Le m-commerce, une vente à deux voies ! Debout sur le socle du commerce digital, les commerçants  se demandent sur la manière de décliner leurs boutiques sur mobile. Il existe deux voies :   -        Mettre en place des sites mobiles dotés d’une navigation optimisée permettant d’offrir aux mobinautes, une expérience unique et complète ; -        Lancer des applications mobiles à installer sur les Smartphones afin d’interagir en continue avec les mobinautes. M-brands Vs M-shoppers : Pressé et exigeant à la fois, le m-shopper veut commander tout et maintenant. Sur sa tablette ou son Smartphone, il réduit la durée qu’il passe à naviguer sur le site mobile ou l’application, parce que ni sa disponibilité ni le confort visuel ne lui permettent d’optimiser son acte d’achat. Soucieuses de rassurer l’utilisateur, les entreprises comme Mastercard et Visa ont annoncé leurs solutions de paiement sur mobile, afin de répondre aux attentes du mobinaute en matière de sécurité.   Derrière son petit écran, le m-shopper laisse des empreintes digitales (localisation, coordonnés ….) derrière chacune de ses actions. Les marques n’hésitent pas à s’emparer de ses empreintes pour personnaliser d’avantage leurs offres. Elles ont finalement compris qu’il ne s’agissait pas de calquer le modèle du e-commerce sur celui du m-commerce, mais de créer une stratégie adaptée à ce nouveau modèle de commerce digital. Du E- au M- au S-, le commerce digital sur Jackpot Road … L’arrivée des Smartphones et des tablettes a rendu l’utilisation de l’ordinateur complètement désuète.  Comme une évolution de supports ne vient jamais seule, de nouveaux concepts dans le commerce connecté sont apparus. La roue du digital reste infinie, les marques qui n’avaient que pour seul challenge la maitrise du e-commerce, sont à présent amenées à revoir leur stratégie avec l’apparition du multicanal.  Bien installés derrière leurs volants, les marques  s’arrêtent pour profiter des bénéfices qu’engendre le m-commerce.  Selon Mediametrie, le commerce sur mobile représente 10% des achats et concerne 9 commandes effectués en ligne … C’est dans ce sens que 56% des commerçants proposent un site mobile. Ainsi, les marques continuent sur...

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Zoom sur le e-commerce chinois

Avec 297 milliards d’euros, le marché chinois est devenu le mastodonte du e-commerce.  En effet, l’environnement économique et  géo-démographique favorise son expansion via les différents leviers mis en place par les autorités chinoises, dans le but de soutenir la vente en ligne. Evidemment, les acteurs du marché contribuent en déployant des efforts considérables pour s’imposer face aux géants du e-commerce (Ebay, Amazon …).    Quelle est donc la situation actuelle du marché d’e-commerce en Chine ? Quelles sont les meilleures plateformes e-commerce chinoises ? Quelle est la recette du succès des sites e-commerces chinois ? Qui se cache derrière les e-shoppers de l’Empire du Milieu ? Nous aborderons tant de questions et d’autres dans ce décryptage du e-commerce chinois, si par hasard l’envie d’investir en Chine vous prend ! Rétrospective générale sur le marché du e-commerce chinois : Dynamique et prospère, le marché du e-commerce chinois jouit d’un essor fulgurant, lui permettant de détrôner les Etats Unis et de dominer l’Asie, selon le rapport de Bain & Company. Au-delà la créativité dont les plateformes font preuve, la Chine doit son envol aux achats effectués par plus de 300 millions d’e-shoppers, à la forte croissance du taux de pénétration d’internet et à la classe moyenne qui ne cesse d’augmenter. Sur la base de l’infographie réalisée par l’agence I-Click interactive,  les prévisions pour les années à venir sont les suivantes : -          Les ventes en lignes atteindront 297 milliards d’euros d’ici 2020, soit 3 fois plus qu’en 2012 ; -          En 2015, la Chine deviendra le premier marché du e-commerce du globe, dépassant ainsi les Etats Unis, en terme de nombre de plateformes ; -          Actuellement, le taux de pénétration du e-commerce en Chine est supérieur à celui des Etats Unis ; -          En 2020, les dépenses en ligne par habitant en Chine devraient augmenter à 285 euros, soit 5 fois plus qu’en 2012 ; -           Le taux de pénétration de la carte bancaire était de 43,5%  en 2012 et devra augmenter dans les années à venir.  En facilitant le moyen de paiement ainsi l’usage de la carte, la Chine encourage l’achat en ligne ; -          La classe aisée atteindra 280 millions en 2020, soit 20% de la population totale de la Chine, ce qui devrait multiplier les dépenses en ligne ; Si la Chine continue sur cette voie, le pays dépassera en 2020 à lui seul, la France, l’Allemagne, la Grande Bretagne et l’Amérique. Il aura donc autant d’E-shoppers chinois que d’habitants aux Etats Unis fin 2013 ! Toutefois, la Chine ne poursuivra son chemin vers la gloire que si le nombre et le niveau de vie des internautes continuent à leur tour à augmenter. Ajouté à cela, le taux de pénétration de la 3G/4G est à peine de 30% en Chine, face à 68% aux Etats Unis et 81% en Corée. Soucieuse de toucher la population rurale, la Chine fera  en sorte...

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