titletext

Le guide de création ou de reprise de votre startup

Pour devenir entrepreneur, il faut bien se préparer et mettre les bonnes cartes de son côte avant de se lancer dans l’aventure. C’est pourquoi le guide Erollys propose des conseils et recommandations pratiques destinés à tous ceux qui souhaitent se lancer à leur propre compte. « Créer ou reprendre une entreprise» donne des conseils aux futurs entrepreuneurs, les éclaire par rapport à la démarche à suivre et leur donne un maximum d’informations. ça va de la forme juridique à choisir, aux différents types de rachat possibles en passant par le dossier fiscal. Ceci en mettent en avant la liste des aides financières et possibilités d’investissements ainsi que les dispositifs d’aides fiscales et sociales. On y rajoute la liste des organismes d’information et de conseil, un guide sur les démarches et procédures administratives, les nouvelles sources de financement à savoir les plateformes de crowdfunding qui sont citées dans le guide ainsi que les régimes incitatifs, à la jeune entreprise innovante en l’occurrence. Le livre est accompagné d’une une version électronique en guise de complément qui permet de monter un dossier financier et d’utiliser les exemples de formalités de...

Lire la suite >

titletext

Les investissements en marketing : quelles tendances pour l’année 2014 ?

L’étude «State Marketing» d’ExactTarget, fournisseur de solutions marketing digital cross canal, sortie dernièrement à souligné la hausse signifiante en matière de budgets alloués aux investissements dans les datas et analytics, le marketing automation et l’emailing. Le sondage a été effectué en ligne du 24 octobre au 1er novembre 2013. Ce dernier a été envoyé à 48 000 professionnels du marketing ce qui a généré plus de 2500 répondants avec un taux de complétion de 74%. Cette étude démontre que 98% des marketeurs interrogés comptent augmenter ou maintenir leur budget en marketing digital en 2014 tant dis que 66% se projettent en 2015. Le rapport émis par Sales Forces permet de ressortir les données démographiques liées aux répondants et de dégager un certain nombre de learnings que nous allons étaler ci-après : Les grandes tendances en 2014 :  Les nouvelles priorités en 2014 :  Les investissements prioritaires dans le digital : Les budgets marketing en hausse : La répartition des budgets par type de canal : Les metrics prioritaires en 2014  Les priorités liées au cycle de vie du consommateur :  Les campagnes marketing liées au cycle de vie du consommateur : Quid de l’emailing ? 
L’étude démontre que 98% ont un retour sur investissement positif sur leurs campagnes d’e-mailing et 70% en font une priorité dans leur investissement digital et ce pour 3 principales raisons à savoir : 
- La contribution de l’emailing dans le chiffre d’affaire même de manière indirecte. 
- L’usage de l’emailing comme outil de commercialisation – La source primaire du revenu de certaines entreprises pourrait être lié aux campagnes d’emailing. Par ailleurs, moins de marketeurs utilisent la technique de responsive design dans leurs campagnes.
Il en ressort :
Les campagnes d’emailing les plus ROIstes : Et les réseaux sociaux ?
 Tout comme l’e-mailing, les réseaux sociaux détiennent une grande importance dans les campagnes digitales. 41% des personnes interrogées appuient leur business par des campagnes social media et y consacrent à peu près le même budget que pour l’emailing. 57% des marketeurs ont des équipes dédiées à la gestion des réseaux sociaux dont 85% composés d’au moins 3 personnes. Le classement par usage des réseaux sociaux  Qu’en est-il de la place occupée par le mobile ?
 Les répondants sont de moins en moins à l’affut d’envoi d’smsing en 2014 malgré son bon ROI. Concernant les marketeurs ayant lancé des campagnes mobiles, 80% sont convaincus par le niveau de retour sur investissement. L’usage du mobile :
 Les campagnes mobiles les plus ROIstes...

Lire la suite >

titletext

Profils des utilisateurs : Etes-vous plutôt Macintosh ou Microsoft ?

Nous avons déniché pour vous une illustration qui représente les profils des utilisateurs Mac et PC, dans l’idée de comparer leurs esprits, leurs comportements et mode de vie et de faire ressortir les différences entre les deux mondes qui co-existent depuis plus de 25ans. Une étude réalisée par Hunch se base sur les données des 700 000 visiteurs de son site web. Les résultats soulignent les différences qui existent entre un utilisateur Mac et PC. Tout d’abord, les utilisateurs de Mac sont plus jeunes. Cela pourrait s’expliquer avec le fait que les lecteurs MP3 puis les iPhones ont envahi notre quotidien. Etant satisfait, il est presque logique qu’il continue à acheter la gamme Apple (même si les équipements coûtent relativement chers). Faits intéressants, les utilisateurs MAC sont majoritairement concentré au centre ville contrairement aux PCs qui sont plus en retrait. Les utilisateurs Mac achète des produits de la firme de Cupertino car ils pensent être différents et uniques. Le sentiment donc de se différencier des autres et d’avoir ses propres équipements. Ils pensent aussi être chics et aiment l’art moderne. D’ailleurs, il n’est pas rare de voir aussi comme l’un des argument principal que le design des appareils est jugé comme top et ultra joli, contrairement aux PC qui sont pour eux gros et très laid! Toujours d’après l’infographie, les profils Mac pense être plus à la pointe de la technologie et être des early adopters. C’est à dire qu’ils se tiennent au courant des dernières avancées/services et n’hésitent pas à s’inscrire/les acheter. C’est assez limité comme argument je trouve car les équipements d’Apple de base, n’amène pas forcément de grandes révolutions (enfin depuis les dernières générations). Voilà donc les grandes lignes des profils des deux utilisateurs emblématiques. A vous de voir dans quelle « catégorie » votre profil s’inscrit, cela vous aidera à savoir quel type d’ordinateur choisir (même si, bien évidement, cela sera aussi dicté par votre budget). Intéressant, en tout cas...

Lire la suite >

titletext

Le point sur l’emploi webmarketing / E-commerce

Après une période de créativité effervescente – de laquelle sont notamment sortis les réseaux sociaux-, la sphère web s’attache aujourd’hui à se professionnaliser en vue d’asseoir son économie montante. Dans cette période de la maturité, le webmarketing constitue un acteur pilier. D’ailleurs, l’offre d’emploi de ce secteur dynamique ne devrait pas se tarir, de si tôt ! Le webmarketing et le e-commerce se portent bien, merci ! S’il est un secteur qui semble peu affecté par la crise économique, c’est bien celui du e-commerce. Fin janvier, la Fevad (fédération e-commerce et vente à distance) a publié les derniers chiffres du secteur: malgré la crispation de l’économie traditionnelle, les ventes en ligne ont grimpé de 13,5% en 2013. Les Français ont ainsi franchi la barre des 50 milliards d’euros dépensés sur le web, en un an ! Cette progression est alimentée par un bon tempo de l’offre et de la demande : les sites marchands sont de plus en plus nombreux tandis que les populations d’internautes se diversifient. Ajoutez à cela de nouveaux supports numériques à conquérir (tablettes, Smartphones, etc.) et vous obtenez un scénario de croissance des plus prometteurs. D’ailleurs, au 4e trimestre 2013, le commerce-mobile a enregistré une hausse de 97% par rapport à fin 2012 ! Seul bémol dans ce concert de louanges : le e-panier moyen (83 euros) continue lui, de baisser en 2013. Le marketing en mode 2.0 Comme souvent dans l’histoire du web, les internautes façonnent les usages et font/défont le succès d’un service. Leur appropriation rapide des réseaux sociaux a court-circuité la bonne parole commerciale des entreprises. Pour se mettre à la page, les services marketing se sont formés en vitesse à ces nouveaux outils, à leurs codes et à l’interactivité qu’ils exigent. La transition a pris du temps, mais les grands groupes du e-commerce semblent aujourd’hui avoir raccroché les wagons. Le webmarketing se professionnalise et se spécialise : les emplois aussi Plusieurs emplois marketing se sont ainsi digitalisés en quelques années. D’autres ont vu le jour. Citons ainsi le webmarketer, le chef de projet CRM, le webdesigner, le community manager, le rédacteur web, le responsable d’acquisition de trafic, le consultant SMO, le consultant web analytique ou encore le Data Analyst. Au total, pas moins de 21 métiers du web et de l’IT sont ainsi recensés comme emplois d’avenir. Les salaires dans le secteur marketing semblent suivre cette tendance. La guerre des talents a déjà commencé Mais problème : ces nouveaux métiers nés au cÅ“ur de l’accélération des technologies et des usages web, souffrent déjà d’une certaine pénurie. En effet, le webmarketing requiert un profil de candidats bien spécifique. Ces derniers doivent être aussi à l’aise en techniques marketing que dans la maîtrise des outils informatiques. Une double casquette qui a permis aux marketeurs passionnés de web de se glisser dans la place, dès le...

Lire la suite >

titletext

Le stress entrepreneurial, Comment y faire face ?

Si vous rêvez d’autonomie, de succès, de richesse dans votre business, vous ne pouvez certainement pas fermer les yeux avant de devenir entrepreneur.  Paradoxalement, l’entreprenariat pourrait vous éloigner d’une vie paisible et stable, presque écrite sur un amas de certitudes. Entre ces deux rives, le stress ne cesse de vous submerger et de  vous empêcher pour passer à l’action, que vous ayez l’intention d’entreprendre ou pas. Malgré les facilités et les solutions proposées, l’entreprenariat reste encore une activité stressante.  Alors comment y remédier ? Entreprendre : Plus qu’une activité, un challenge … A l’ère de la procrastination aigue, les causes du stress dans le milieu entrepreneurial s’accroissent de jour en jour. Le startuper trébuche sur une série d’obstacles qui causent un retard dans son processus d’émancipation dans le monde des affaires. Parmi les choses qui peuvent causer ce blocage : – L’isolement, c’est-à-dire l’éloignement des personnes dont vous avez confiance, – L’immersion dans le monde entrepreneurial, – La pression familiale : Un nouveau né, un mariage, un proche malade, crédit immobilier à payer … – Les problèmes financiers : Projet trop risqué, absence de soutien de la part de votre banque, peur de non-remboursement … – Précarité au début du parcours : Une fois que l’ensemble de vos économies investis, vous décidez de quitter votre studio pour revenir chez vos parents ou de vous installer chez vos amis … – Compétences insuffisantes  – Peur de l’inconnu – Manque d’expérience – Peur d’échouer – Accumulation de tâches : Charge importante de travail sur vos épaules – Forte sous estime de soi : Dans ce cas, vous vous sentez mal à l’aise et vous hésitez à sauter sur les bonnes occasions.  Vous avez aussi du mal à vous affirmer face aux autres, ce qui ne facilite pas pour autant la communication avec votre entourage professionnel – Manque de confiance dans les autres : Les organismes financiers, collaborateurs … – Mauvais objectifs : Des projets faramineux difficilement réalisables – Insatisfaction continue des résultats – Multitude des choix à prendre Cassez le cycle infernal de l’entreprenariat ! Au-delà des projets inachevés, le stress crée une sorte de frustration, tarit votre dévouement, réduit votre capacité à entreprendre et rend vos décisions inefficaces, ce qui crée un état de stress supplémentaire. Comme si vous étiez à votre première expérience dans les montagnes russes, vous ne cessez de réfléchir avant de monter et ce n’est qu’une fois assis, que vous commencez à vous vous demander si ça vaut la peine de continuer. C’est trop tard, vous devez poursuivre l’aventure dans ses hauts et ses bas. Dans ce manège, vous rencontrerez souvent les mêmes obstacles (manque de liquidité, doute …) ayant les mêmes conséquences. Ainsi, vous vous retrouvez piégé dans un cycle infernal ponctué par vos crises de paniques et d’angoisse. Afin d’aller de l’avant, vous devez prendre la gestion de votre stress comme priorité numéro 1.  Pour...

Lire la suite >

titletext

Le salon des entrepreneurs, le rdv des startups par excellence

E-commerce, CRM, référencement, campagnes web, Social Media, crowdfunding, entreprenariat, marketing … tous nos thèmes et bien plus encore ont été discutés lors de la 21ème édition du Salon des Entrepreneurs, qui a eu lieu le 05 et 06 Février 2014 à Paris. Porteurs d’idées, jeunes startupers, professionnels et patrons se sont donnés rendez-vous afin de débattre, comprendre et profiter des expériences enrichissantes des entrepreneurs présents au salon.    A cette occasion, le Palais des Congrès a accueilli 64 200 visiteurs en seulement deux jours. Au programme, plus de 180 conférences techniques et ateliers ont été animés par 400 conseillers qualifiés. Ces derniers ont décryptés des sujets essentiellement à caractère digital, dans le but d’accompagner les créateurs de projets dans la concrétisation de leurs concepts.        Plus de 150 personnalités de la sphère entrepreneuriale comme Xavier Niel (Free) Jacques-Antoine Granjon (Vente-privee.com), Michael Goldman (MyMajorCompany), Ludovic Huraux (Attractive World), qui ont été invités à partager leurs témoignages et leurs visions de la succes story numérique. Des personnalités emblématiques de la scène politique et institutionnelle comme Najat Vallaud-Belkacem et Pierre Moscovici, sont venus à la rencontre des artisans 2.0 afin de les encourager à booster leurs business.  Si vous n’avez pas assisté à la manifestation de cette année, revivez les moments forts comme si vous y étiez ! Vous pouvez aussi vous préinscrire gratuitement à la prochaine édition du salon, qui aura lieu 04 et le 05 Février 2015....

Lire la suite >

titletext

Dictionnaire de la publicité 2013

Que vous soyez stagiaire, jeune diplômé ou un simple étranger au domaine, vous vous êtes déjà senti perdu face au jargon publicitaire. Autant d’expressions atypiques qui baignent dans les discussions de marketers. Ce brouhaha linguistique n’est pas sans conséquence sur l’efficacité  de la communication, entre l’agence et les annonceurs. Bien que la majorité du vocabulaire adopté soit compréhensible, il n’est pas sans rappeler qu’un mot peut couvrir mille sens ! Spécialisée dans la veille autour des slogans et signatures publicitaires, Souslelogo a récemment publié pour la quatrième édition de l’observatoire des slogans, sur la base de près de 5200 slogans recensés de 2900 marques (une BDD actualisée en continu), une étude complète sur les mots les plus utilisés dans le monde de la publicité en 2013.  L’optimisme en hausse ! Evidemment,  « est » reste le mot le plus utilisé et ce depuis la première édition. Toutefois, nous remarquons en haut du palmarès, des mots qui ont connu une importante progression comme « retrouvez », « gagner », « amour » et « croire ».  L’année 2013 fut riche en émotions et marquée de succès et de promesses, comme peut en témoigner cette nette amélioration : Afin de relativiser face à la crise, les marketers empruntent à l’anglais quelques termes, ce qui fait balancer l’anglicisme des signatures à 17,83 dans l’étude de Souslelogo.       La 1ère courbe exprime le pourcentage de signatures de marque en anglais créées en 2013 par rapport à l’ensemble des signatures créées en France chaque année depuis 6 ans sur les supports publicitaires et sur les pages d’accueil de site Internet.  La 2ème courbe exprime le même pourcentage que la première courbe mais pour des signatures réalisées uniquement sur les supports publicitaires.  La 3ème courbe exprime le pourcentage de claims créés chaque année à savoir les slogans utilisés pour les produits, les modèles et généralement les marques pour femme.  La 4ème courbe exprime le pourcentage de signatures de marque dans d’autres langues que l’anglais ou le français (Italien, Allemand…) créées en 2013 par rapport à l’ensemble des signatures créées en France chaque année depuis 6 ans sur les supports publicitaires et sur les pages d’accueil de site Internet La vague du digital déferle encore … En 2013, les signatures ont eux aussi été touchées par la tendance 2.0. A la grande joie de la Twittosphère, nous avons remarqué la forte apparition des hashtags dans les signatures comme #bonplan ou encore #cmonyop Ce benchmark nous a permis d’avoir une idée sur les marques qui ont le plus fait parler d’elles, mais aussi les tendances à suivre pour une meilleure visibilité. Selon vous, quelles seront les mots les plus utilisés en...

Lire la suite >

titletext

Les dessous du CRM en France

Que vous soyez startuper, salarié, cadre ou chef d’entreprise, vous devez absolument avoir une vision large en ce qui concerne vos prospects. Pour mettre vos clients et votre chiffre d’affaire sur la même ligne de mire, faites appel aux outils CRM ! Avant de vous livrer une retranscription détaillée sur les chiffres clés du CRM en France, rappelez-vous que le CRM, communément appelé « Gestion de la Relation Client »  consiste à mettre en place un ensemble de techniques permettant d’attirer, de gérer et d’analyser les données relatives à vos prospects, dans le but de les fidéliser et d’améliorer l’offre proposée. Qui tient les règnes du CRM en entreprise ? Le premier observatoire de marketing client UDA/Médiapost Publicité/Ginger a réalisé une étude sur la base de 151 directeurs, responsables CRM ou eCRM dans tous secteurs d’activités confondus, allant du B2B au B2C. Selon les résultats présentés, plus de 60%  des interviewés sont chargés de définir et de mettre en œuvre une stratégie CRM. Relativement, ce pourcentage rassure quant à l’importance octroyée par les entreprises à la gestion de la BDD client.  L’écart entre les différentes fonctions qui réalisent les missions CRM, montre du doigt la décentralisation de cette pratique au sein des entreprises, ce qui n’est pas sans conséquence. En effet, si une base de données unique est présentée comme inutile, pour accompagner les activités menées par l’ensemble des départements concernés (marketing, digital et CRM), elle devra toutefois être issue d’une réflexion en amont et en aval, afin d’emboiter le pas à la concurrence grâce à une boite à outils complète.  Avec la montée du digital, l’outil CRM recherché est censé intégrer les données des clients recueillis depuis les réseaux sociaux et depuis la BDD classique (vente, emailing, sms, appels …), dans le but de décupler les points de contacts.  Evidemment, nous remarquons un vif intérêt de la part des annonceurs B2C, puisqu’ils sont en constante relation avec le moteur central de leur survie, leurs clientèles CRM, le revers du décor : A regarder de plus près, nous remarquons  que plus de 90% des annonceurs interrogés rencontrent des difficultés au niveau de l’organisation et l’efficience. Ceci est essentiellement dû au manque de temps, au personnel non qualifié ou encore à une absence de feedback de la part des clients, ce qui ne permet aucune amélioration. Le manque de qualifications est fortement dû au double profil exigé dans cette fonction (décalage entre l’offre et la demande) mais aussi à la multitude de tâches assignées aux fonctions précédemment cités … À vouloir trop faire, on finit par mal faire !   On voit nettement au fil de l’enquête,  que la gestion de la base de données est devenue un enjeu critique pour les entreprises.  Si vous souhaitiez filer le parfait idylle avec vos clients, nous vous conseillons vivement de prendre en considération les chiffres...

Lire la suite >

titletext

Le Film Facebook, The Social Flashback !

  Cela fait une décennie que Mark Zuckerberg fait voir en toutes les couleurs, notre bien aimée social life. Parfois critiqué mais toujours applaudi, Facebook a bouleversé complètement le quotidien des internautes. Bien qu’il soit à la fois un momento, un site de rencontres, un agenda et une messagerie, la plateforme a pu réduire à néant la vie de certains utilisateurs.  Avec plus d’un milliard d’utilisateurs à travers le monde, Facebook reste le leader des réseaux sociaux.  Pour fêter dignement son dixième anniversaire, Mark a vu les choses en grand. A cette occasion, la firme de Palo Alto a permis à chaque utilisateur de générer un film d’une minute, retraçant ses moments forts agrémentés par des photos et des statuts postés sur son wall depuis son inscription, accompagné d’un fond musical fort sympathique ! Pour découvrir cette vidéo, chaque membre devait d’abord se connecter à l’adresse facebook.com/lookback, pour ensuite la partager s’il le souhaitait avec ses...

Lire la suite >

titletext

L’accélérateur de startups belge « NEST’up » revient !

Pour la 4ème année consécutive, l’équipe de NEST’up by Creative Wallonia est en phase de démarrage et attend vos candidatures !! NEST’up ? C’est un programme d’accélération destiné aux start-up et projets au modèle économique innovant. Ce coup de boost dure 12 semaines et est accompagné par plus de 50 coachs, experts & mentors. Il se déroulera du 10 mars au 30 mai 2014 et sera hébergé à l’Axis Parc de Mont-Saint-Guibert. Comment ça marche ? Vous devez soumettre votre dossier de candidature avant le 1er mars 2014 en respectant les critères de base. Après une sélection sur les candidatures envoyées, 12 équipes seront invitées à pitcher devant un jury le 6 mars 2014. Des 12 équipes, seulement la moitié seront sélectionnés le 7 mars pour participer à l’aventure avec un but ultime : présenter son projet devant des investisseurs le 22 mai ! Chaque équipe sera coachée quotidiennement par un entrepreneur aguerri et de nombreuses interventions seront organisées dans tous les domaines afin de vous préparer au mieux le terrain. Qui sont les anciens participants ? Take Eat Easy Snugr Sharebox PressForMore I Love Climbing Hstry Famest Do Eat Betterstreet Betterbank A découvrir sur le site de...

Lire la suite >