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La Webmission belge bien en vue à Le Web 2011

La semaine dernière, Le Web 2011, la conférence organisée par Loïc Le Meur à Paris, a pris beaucoup de place sur Twitter, Facebook, LinkedIn ou encore sur les blogs. Trop pour certains mais assez logiquement pour d’autres. C’est que Le Web est devenu un événement incontournable, tant pour ses nombreuses conférences données par des stars du Web mais aussi pour tout le networking d’un niveau mondial qu’on y fait. N’hésitez pas à lire le compte-rendu et le bilan de Fred Cavazza pour plus d’infos. Là n’est pas le propos de cet article. En fait, pour la première fois, la Webmission y a élu ses quartiers. L’Agence wallonne des télécommunications (AWT), l’Agence Bruxelloise pour l’Entreprise (ABE), et la Webmission, avec le soutien de l’Agence wallonne pour l’exportation (AWEX), se sont associés afin d’organiser un stand belge sur LeWeb’11. Ce stand collectif avait pour but de représenter l’innovation Web belge, en particulier wallonne et bruxelloise. Pour rappel, la Webmission est née en 2009, lorsque YouTube a invité Laurent Eschenauer, créateur d’une plateforme d’agrégation de flux appelée Storytlr à participer au Google I/O, grand-messe annuelle des développeurs organisée par Google. Avec Xavier Damman, cofondateur et CEO de Storify, ils avaient décidé qu’il fallait profiter de l’occasion pour y aller entre Belges, pour montrer le savoir-faire belge mais surtout pour se confronter avec des entreprises de la Silicon Valley, qui sont au top. La première Webmission était née. Depuis lors Xavier Damman s’est installé aux USA, a fondé Storify, pour laquelle il a levé 2 millions de dollars avec son associé américain. La Webmission, elle, a suivi son petit bonhomme de chemin. A Séville, deux fois à Google I/O, à New York, à Boston et maintenant à Paris. Avec, toujours, la volonté de faire parler du Web belge, à tenter de le fédérer… Cette fois-ci, ce sont 9 entreprises qui accompagnaient la Webmission (ADlogix, Beebole, checkthis, Getyoo, internetVista, Knowledge Plaza, Kodesk, Nectil et Radionomy). Comme vous avez pu le voir et l’entendre, leur présence à Paris n’est pas passée inaperçue. Si au départ, l’organisation se faisait au cas par cas, elle est maintenant beaucoup plus globale avec une équipe qui coordonne les diverses Webmissions, la prochaine étant Webmission SXSW March 2012. Au coeur de cette équipe on retrouve, entre autres, des personnes comme Kindja J. Lwabandji, Antoine Perdaens, Vincent Battaglia, Grégoire Hoin, Nicolas Frenay… Si vous êtes une start-up, ingénieur, étudiant, web-designer, développeur… que le monde de l’entrepreunariat web vous intéresse, je ne peux vous que vous conseiller d’entrer en contact avec eux que ce soit via les profils LinkedIn renseignés en lien sur leur nom ou via Twitter et Facebook. UPDATE : je vais profite de ces colonnes pour faire le portrait de ces sociétés belges qui participent à toutes ces Webmissions. Vidéo réalisée par Denis Verloes pour TV5...

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Intrapreneurship 2011 : entreprendre autrement au sein même de l’entreprise

A peine revenu de Berlin, de la Conférence européenne sur le coworking qu’il a co-organisée, Jean-Yves Huwart, fondateur du Think Tank Entreprise Globale, s’est plongé dans une autre conférénce concernant les nouvelles formes d’entrepreneuriat. Intrapreneurship 2011, la première conférence internationale organisée sur le thème de l’intrapreneurship, se tiendra ce vendredi 2 décembre à Bruxelles. Derrière ce terme se cache un concept où les entreprises misent sur l’esprit d’entreprise de leurs employés pour stimuler leurs dynamiques d’innovation internes, peut-on lire sur leur site. « C’est un concept qui tend à se développer maintenant mais qui n’est pas neuf », explique Jean-Yves Huwart. L’exemple de 3M et du post-it est l’un des plus connus. Le Post-it est né de la découverte par hasard, début des années 70′, d’une colle qui se colle et se décolle de nombreuses fois sans laisser de trace. Le Post-it a été proposé au sein de l’entreprise. Sans la moindre suite. Les ingénieurs qui ont découvert ce produit ont persévéré et ont bossé sur le projet le soir, la nuit et les week-ends. Ils ont représenté le projet en interne, ont été entendu et le Post-it est maintenant un succès planétaire. « Le projet n’est né d’aucune planification, il ne résulte d’aucune étude de marché mais il transforme l’entreprise, poursuit le CEO d’Entreprise Globale. A partir de ce moment-là, 3M a décidé de laisser aux individus la possibilité de porter des projets. C’est devenu une véritable culture d’entreprise. » Pour cet entrepreneur belge, « la plupart des grandes découvertes n’ont pas été planifiées« . On pourrait dire qu’elles ont du mal à naître dans des carcans trop rigides. Il ajoute que « l’innovation est formule chimique composée d’échanges d’idées, de rencontres, de curiosité, d’envie, de moteur personnel…«  Si chez 3M, on pratique l’intrapreneurship depuis près de 30 ans, c’est vraiment depuis 2000 que le concept tend à se développer dans des entreprises dont Google est le porte-drapeau. L’on commence à connaître leur politique d’utilisation de 10 à 20 % du temps pour le développement de projets personnels. Pourquoi les entreprises devraient se lancer dans l’intrapreneurship ? Pour Jean-Yves Huwart l’instabilité du milieu économique et le changement de valeurs par rapport à la vie professionnelle devraient motiver les entreprises à s’inscrire dans cette nouvelle mouvance. « Concernant l’instabilité des milieux économiques, on constate que nos entreprises ont été fortement secouées ces dernières années. Des entreprises qui avaient pignon sur rue se font dépasser à toute vitesse par de plus petites entités. Elles sont souvent engluées dans un processus traditionnel de planification de l’innovation qui fait qu’elles arrivent trop tard et qu’elles s’écroulent, un peu comme c’est le cas pour Nokia. » Le changement de valeurs perturbe nos entreprises traditionnelles de manière importante. « On le voit bien, surtout avec le rejet du modèle corporate par les représentants de la Gen Y, constate Jean-Yves Huwart. Ils sont au centre...

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L’évolution de la recherche chez Google

65,6% de part de marché aux États-Unis. Environ 92% en France et en Grande-Bretagne ou encore 94% en Allemagne. Google domine la recherche sur Internet sur le continent américain et en Europe. L’algorithme du moteur de recherche est en perpétuelle évolution. Les ingénieurs de la firme de Mountain View le développent de sorte que la distance qui sépare nos pensées et les résultats de nos recherches soit toujours plus courte. C’est ce que l’on peut retenir d’une récente vidéo postée sur le Blog de Google. Cette dernière retrace l’évolution chronologique du moteur de recherche selon les étapes qui ont marqué son ascension, pour ensuite nous donner un aperçu de ce qui nous attend. Résumé : Ben Gomes, Ingénieur chez Google, nous rappelle la mission atemporelle de la firme : Améliorer la recherche afin qu’elle réponde aux besoins en information des internautes, et leur donner une réponse toujours plus rapide. Son succès s’est constamment basé sur cette idée, ainsi que toutes les fonctionnalités intégrées au fil du temps, à l’image d’AdWord, ou de Google Images. Les attentats du 11 Septembre 2001 ont marqué une étape importante. À l’époque, L’indexation des résultats de recherche s’effectuait 1 mois avant le moment de la recherche. Les internautes en quête d’informations sur les Twin Towers via Google n’avaient par conséquent aucune information sur les attentats. C’est dans ce cadre que Google a intégré les premiers liens vers les grands périodiques américains, qui marquaient un peu plus tard la naissance de Google News. Une autre grande étape du développement de Google fut l’intégration de la « recherche universelle », courant 2007, qui se basait sur l’idée suivante : Peu importe où se trouve l’information recherchée par l’internaute, Google peut la trouver. La catégorisation des contenus était le défi majeur de cette technologie. Comment distinguer une page Web d’une image ou d’une vidéo, pour proposer des résultats de recherche adéquats ? Google affine encore aujourd’hui son algorithme dans ce sens. La plus récente amélioration du moteur de recherche et qui date de 2010 est la recherche instantanée. Aujourd’hui, nous n’avons même plus besoin de taper notre recherche complète pour obtenir des résultats pertinents : un moteur de recherche « plus rapide » que notre pensée. Google nous donne enfin un aperçu des fonctionnalités à venir. Nous pourrons par exemple, dans un futur proche, utiliser une image vue sur un blog ou une page Web comme élément de recherche. Autrement dit, il ne sra bientôt plus nécessaire de mettre des mots sur une pensée ou une interrogation pour accéder à une réponse. Une recherche toujours plus rapide à une information toujours plus riche, l’accès facilité à toujours plus de connaissance : voilà ce que nous réserve...

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La nouvelle version de Google Analytics est arrivée !

Google vient d’annoncer ce week-end que sa nouvelle version d’Analytics est prête et sera activée très prochainement. Au menu, une interface revue et corrigée qui permettra une meilleure exploitation des données ainsi que plusieurs nouvelles fonctionnalités importantes. Parmi les fonctionnalités les plus importantes, celle de  » l’analyse en temps réél  » ! En effet, il est maintenant possible de créer des rapports en temps réél. Aussi, la possibilité d’obtenir de nombreuses informations relatives au chemin de conversion, les fameux entonnoir multicanaux : clics enregistrés sur les liens commerciaux, sur les résultats de recherches naturels, sur les sites affiliés, sur les sites de réseaux sociaux ou encore sur les annonces graphiques. Pour en savoir plus visionnez la démo vidéo ci dessous et consulter le guide d’utilisation Savez-vous quel mobile est le plus utilisé pour consulter votre site ? Maintenant vous le pourrez car il vous sera possible de consulter des rapports sur l’utilisation et la navigation de votre site par les mobinautes. De plus, vous pourrez visualiser sous forme de graphiques la manières donc les visitueurs naviguent sur votre site, comme pour la version précédente, à la différence qu’ici les outils d’analyses ont été entièrement repensés ! Pour vous en rendre compte, voici la démo vidéo. N’hésitez pas non plus à consulter les guides sur la navigation des visiteurs et les chemins de conversion vers l’objectif. Petit à petit, cette version 5 de Google Analytics deviendra celle par défaut et il sera à ce moment là possible d’exporter vos rapports au format PDF, envoyer vos rapports par e-mail, migrer un rapport personnalisé de l’ancienne version vers la nouvelle, associer un nouveau compte AdWords ou AdSense ou encore analyser des pages web. Pour vous accompagner dans ces gros changements, Google vous proposera jusqu’au début de l’année 2012 la possibilité de consulter vos Analytics sous l’ancienne version. Aussi, le Centre d’aide Google Analytics est à jour et détaille toutes les étapes à suivre pour utiliser la nouvelle version de Google Analytics. De même, vous trouverez plusieurs articles sur le blog Google Analytics qui décrivent la plupart des modifications et nouvelles fonctionnalités. Et dans le forum d’aide Google Analytics, vous trouverez une section dans laquelle vous pourrez poser des questions et discuter de la nouvelle...

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Google+ pour les entreprises : outils d’administration et fonctions de collaboration

Alors qu’on vous informait récemment du lancement des pages Google+ (voir ici et là), la firme de Mountain View continue son opération séduction à destination des entreprises. Maintenant que les entreprises ont la possibilité de créer et gérer leurs propres pages sur son réseau social, Google travaille désormais à l’amélioration et l’ajout de fonctionnalités innovantes. Sachant que bon nombre d’entreprises font appel à des agences spécialisées dans les médias sociaux pour gérer leur présence sur les réseaux sociaux, Google a annoncé qu’il était maintenant possible d’administrer et gérer les pages Google+ via 6 outils de gestion des réseaux sociaux : Buddy Media, Context Optional, Hearsay Social, HootSuite, Involver, Vitrue. Avec ces 6 outils, il est à présent possible de gérer ses cercles, de publier dans Google + ou encore d’y surveiller l’activité. Si vous souhaitez commencer à utiliser ces outils et/ou vous renseignez sur les services et prix proposés, consultez cette page. En proposant cette ouverture, Google pourra expérimenter et obtenir des retours quant à l’utilisation faite de Google+ par les entreprises et ainsi proposer de nouvelles fonctionnalités ! D’ailleurs, la prochaine mise à jour du réseau social Google+ devrait proposer des fonctionnalités de collaboration adaptées au monde professionnel. « Nous savons, parce que nous l’avons expérimenté nous-mêmes, que cela va complètement transformer le mode de fonctionnement des entreprises partout dans le monde » Bradley Horowitz, vice-président produit Google+ Des changements attendus notamment du côté de l’utilisation des Cercles, qui permettront de bien distinguer les différents services d’une entreprise (Marketing, communication, services IT,…) et leur permettre d’échanger entre eux. Les cercles deviendront de véritables groupes de discussions. Ces discussions pourront être visibles de manière public ou privée. Cette version améliorée de Google+ auraient déjà transformé la communication au sein de Google selon B. Horowitz. « L’outil a pris la place du courriel, des wikis et d’autres mécanismes de partage […] Il a même la préférence des utilisateurs […] Nous constatons que la demande existe pour cet usage. Nous le voyons, nous l’utilisons chaque jour. C’est sur cela que nous travaillons, », B.Horowitz Se rapprochant à s’y méprendre des groupes fermés de Facebook (il fallait bien que l’on fasse la comparaison ;-) il se peut aussi que Google propose le partage de fichiers via les Cercles (grâce à l’utilisation de l’apps Google Docs notamment). Ajoutez à cela la fonction Hangouts (le visio-chat à plusieurs, vous vous souvenez ?) et Google+ pourrait devenir un véritable outil de collaboration sociale pour les entreprises. A suivre donc…  ...

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