Le Web a du coeur Clap première
Le jeudi 22 mars, à la Maison du Peuple à Saint-Gilles, une dizaine de professionnels du Web donneront de leur temps pour la bonne cause. Mélanie Chamaah, entrepreneur web, consultante et community manager, a décidé de lancer un événement, le Web a du coeur, à l’image de ce que fait Michelle Blanc outre-Atlantique. Depuis trois ans, cette réputée consultante en eMarketing et eCommerce propose ses services aux enchères pour soutenir une oeuvre. Avec un certain succès. « C’est suite à son initiative que je me suis dit que nous pourrions faire pareil en Belgique, explique celle qui est Medzo sur Twitter. L’idée est de donner un coup de pouce à toutes ces petites entreprises qui font des choses mais qui ne sont pas encore sur le web, souvent par manque de temps, par manque de connaissances, par peur de se faire arnaquer… Nous allons donc mettre nos compétences aux services de ces gens et allons reverser les bénéfices de cette action aux Restos du coeur. » Il y a plusieurs choses de prévues. D’une part, des sessions personnelles seront organisées avec chaque expert d’une durée de 30 minutes. « Le prix de chaque session sera “à vot’ bon coeur’! », peut-on lire sur le site. D’autre part, des compétences seront mises aux enchères pour vous permettre de bénéficier d’une aide plus approfondie. Le tout au profit des Restos du coeur. Donc si vous voulez obtenir une audit rapide de votre site Internet, créer votre premier site internet, renforcer votre présence sur les réseaux sociaux, optimiser votre site eCommerce, évaluer votre réputation en ligne, créer votre page facebook… mais aussi faire un geste social, c’est le 22 mars que cela se passe. Pour commencer. (La page Facebook et l’événement sur Eventbrite) Oui, car il semble que la Bruxelloise ne veuille pas en rester là . « Je voudrais en faire un événement récurrent, précise-t-elle. Il semblerait que le prochain va se faire à Paris dans deux ou trois...
Namur, la nouvelle branche du Café numérique
Les semaines se suivent et se ressemblent pour le Café numérique. Après le lancement de la branche montoise ce lundi 6 mars, c’est la branche namuroise qui va ouvrir sous l’impulsion de Arno DiNunzio, Cédric Denayer, Rémy Saint Cricq, Quentin Geluyckens et Thomas Fernémont. Ce sera ce lundi 12 mars au Petit Bitu, rue de Bruxelles, à Namur donc. « Mais ce ne sera pas à proprement parlé le premier Café numérique namurois, m’explique Cédric Denayer. Pour nous, c’est le CafeNNamur #0. Nous ne nous connaissons pas tous physiquement et avions envie de nous rencontrer une première fois pour mettre en place les fondations de notre événement. Histoire de créer un groupe. » Cédric est un ancien adepte du Café numérique Bruxelles. « Lorsque il s’est lancé à Bruxelles en 2009, je suis allé souvent jusqu’au Mirano, à Saint-Josse, pour assister aux conférences et rencontrer des gens. A l’époque, déjà , j’avais envie de faire pareil à Namur. Les choses ont pris un peu de temps mais voilà ça y est. » Comme pour les autres Cafés numériques, à Namur, la volonté de réunir des passionnés du monde numérique et de partager des connaissances ensemble est forte. « Nous sommes 5 dans le noyau de départ, tous très motivés, ajoute ce diplômé en Relations publiques. Mais nous espérons que d’autres personnes se joindront à nous pour faire évoluer cet événement. Pour cette première fois, nous sommes déjà 20 et il n’y a même pas de speaker ni de thème. » Côté pratique, le Café numérique Namur devrait se dérouler une fois par mois, en principe, le 2e lundi du mois, au premier étage du Petit Bitu. Le thème devrait, mais cela pourrait encore évoluer, être choisi le mois d’avant par les participants du CafeNNamur. « Notre volonté est de parler de choses qui intéressent les gens qui viennent à notre événement », précise Cédric. Pour celles et ceux qui sont intéressés, n’hésitez pas à vous inscrire sur l’event Facebook, à vous inscrire sur leur page Facebook ou les suivre sur...
Universem, les PME d’abord, les gros clients ensuite
Hubert de Cartier est l’un des habitués du Betagroup Coworking à Bruxelles. A raison d’une fois par semaine. Pourtant son entreprise Universem, spécialisée dans le SEO et le SEM, elle, est basée à Gembloux. Alors que lui-même habite à Bruxelles. « Promotion des applications mobiles, acquisition clients online et optimisation de trafic sont quelques-uns de nos services de pointe », peut-on lire sur le blog d’Universem. Des services fort demandés pour celui qui veut faire du business sur Internet. « Et comme ils sont forts demandés, il y a déjà beaucoup de monde sur la place de Bruxelles, explique Hubert de Cartier. Nous avions acquis pas mal d’expérience en référencement en créant en 2007 une start-up de ventes de cadeaux d’entreprise, Articadeau. Nous avons décidé de rediriger nos efforts. » En 2010 est donc né Universem. Quand on lui demande pourquoi il s’est installé en Wallonie, le fondateur répond très simplement. « Au-delà du fait que mon associé habite, lui, dans le sud du pays, nous avons décidé de ne pas nous installer à Bruxelles où il y a beaucoup de concurrence. Nous avons privilégié la voie des petites entreprises pour commencer. Nous étions persuadés qu’il y avait du business à faire auprès des PME wallonnes. » Il semble cette voie a été la bonne. La petite start-up, qui aura deux ans cette année, s’est vite fait un nom. En Wallonie et à Bruxelles d’ailleurs. « Notre chiffre d’affaire augmente de 50% minimum tous les trimestres, ajoute Hubert de Cartier. Nous engageons pour répondre à la demande qui afflue. » C’est qu’Universem touche de plus en plus de gros clients, comme RTL New Media ou Carrefour Mobile. « C’est ce que nous escomptions lorsque nous avons lancé notre société, poursuit l’ancien analyste financier chez Citibank. Mais on ne pensait pas que cela irait si vite. Visiblement, les gens sont contents de notre travail. Cela fait plaisir. » Le cas Universem est un bel exemple qui pourrait être à suivre par bon nombre de petites entreprises qui s’implantent d’office à Bruxelles pour viser de gros clients et en snobant les PME. Petites et moyennes entreprises qui sont pourtant un marché important car elles sont l’écrasante majorité des entreprises en Belgique. Si elles sont un peu à la traîne, elles arrivent les unes après les autres sur Internet. Beaucoup de nouveaux clients à ...
1er Café numérique à Mons le 6 mars
Lancé en octobre 2009 à Bruxelles, le Café numérique continue d’enfanter des satellites. Après Liège, Charleroi, avant Namur, c’est au tour de Mons de se lancer dans le bain le 6 mars prochain. Gaëtan Monseu et Cédric Lionnet, deux jeunes entrepreneurs, ont, à leur tour, envie d’organiser un event vulgarisateur. « On aimait bien cet événement bruxellois et son côté échange, partage d’informations, explique Gaëtan Monseu. On a donc trouvé cela intéressant de s’inscrire dans leur lignée. De plus, nous avons pensé que grâce à notre événement nous pourrions peut-être rassembler les acteurs numériques de Mons. » En plus de cela, mon interlocuteur m’explique naturellement, et à raison, qu’il espère que l’événement aura de bonnes retombées pour eux deux. On verra cela plus tard mais on peut déjà dire que, pour un premier événement, ils se sont déjà pas mal débrouillés – le nom générique du Café numérique explique en partie cela. Leur premier partenaire est le Microsoft Innovation Center Mons (Mic Mons), leur deuxième la Brasserie Dupont (hé hé hé) et d’autres semblent déjà être dans le pipe. Ce qui n’est pas inintéressant pour pérenniser un événement tel que le Café numérique. « Notre volonté est de nous promener dans la région du Centre pour présenter voire découvrir les gens et les sociétés qui, dans notre coin de Belgique, proposent des choses innovantes », précise-t-il. Qui dit région du centre dit aussi territoire restreint. C’est pour cela que le duo d’entrepreneurs préfère, pour le moment, tabler sur un événement bimensuel, pour arriver à fédérer assez de monde à chaque fois. Le premier Café Numérique Mons aura pour thème : Futurs patrons d’entreprises : les aides pour concrétiser votre réussite ! David Valentiny : Aides et subsides en Région wallonne : bourse de préactivité, rentic, etc. Ben Piquard : Présentation des Boostcamp du Microsoft Innovation Center. Pierre Lelong : Présentation des centres de compétence et des services spécifiques en matière d’e-marketing et d’e-commerce. Léo Sclapari : Présentation de SACE ASBL et des couveuses d’entreprises. Participation gratuite mais inscription obligatoire. NB : Enfin, vous étiez peut-être déjà au courant vu le spam auquel on a droit depuis une grosse semaine… (N’hésitez pas à freiner les gars...Auteur
Content & Community Manager chez Technofutur TIC, papa, fan de musique et concerts, journaliste, copy, conversationalist, coworker, guindailleur : c'est moi !!