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Votre e-commerce est-il aux (nouvelles) normes belges?

Pour aider les e-commerçants, le site pédagogique du SFP Economie, infoshopping.be, a récemment été mis à jour sur base des modifications de la législation e-commerce entrées en vigueur en mai dernier. Suivez le guide! L’e-commerce belge a en effet vu son cadre légal adapté le 31 mars 2014 dans le but premier d’accroître la protection du consommateur. Si les e-commerçants ont dès lors beaucoup de mal à s’y retrouver dans ce véritable labyrinthe réglementaire, l’effet pervers de cette protection renforcée réside désormais dans l’incapacité de l’acheteur à se défendre en cas de problème sans conseil juridique. Le Service Public Fédéral Economie, conscient des difficultés de compréhension de part et d’autre, a pris le problème à bras le corps en proposant un site pédagogique pour les e-commerçants et les acheteurs en ligne, pour venir en aide à ces deux entités aux besoins différents. Suite à l’entrée en vigueur des modifications de la législation en matière de commerce électronique, le service public a actualisé son site dans des délais appréciables et appréciés. Voyons de plus près ce que réserve cette simulation de vente sur le web. Testez la démo pour les vendeurs en ligne Au départ, choisissez “commerçant ou entreprise” et lancez ensuite la “démo”. Vous êtes à présent un vendeur de téléphones mobiles! Une fenêtre s’ouvre alors sur une interface dynamique: la page d’accueil de la catégorie GSM ponctuée de points d’interrogation à de nombreux endroits. Passez votre souris sur un point d’interrogation et une info-bulle apparaît. Elle introduit la réglementation qui correspond. Par exemple, le site informe le visiteur, en l’occurrence l’e-vendeur, qu’il ne peut se limiter à ne présenter un produit qu’à travers une unique photo, une description reprenant les principales caractéristiques de ce produit doit formellement accompagner la représentation graphique. Cliquez alors sur ce point d’interrogation et atterrissez sur la page FAQ du site initial (vous avez quitté le site démo) où vous obtenez une information complète sur une question plus générale. Ici: quelles informations dois-je fournir au client avant la commande? Poursuivez la démo en cliquant en haut à droite. La réglementation belge du commerce en ligne sous toutes ses coutures La réglementation belge du commerce en ligne est traitée dans son ensemble, à travers les éléments suivants : prix et taxes, frais de livraison, comment garantir la sécurité de mon site, les moyens de paiement, la publicité par e-mail, les garanties et le SAV, la livraison, les conditions générales de vente, privacy policy, la publicité par e-mail, les coordonnées du prestataire, le panier d’achat, le compte client, les fameux cookies, ces fichiers de collecte des données des consommateurs, les concours et les jeux promotionnels, … Suivez le processus complet d’un achat en ligne Avancez pas à pas et suivez le processus complet de l’achat en ligne. Le site vous permet de naviguer, comme sur un...

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Pilotez votre stratégie social media avec Over-Graph

Quand on gère plusieurs comptes réseaux sociaux pour une ou plusieurs entreprises, il devient incontournable d’utiliser un outil qui permet de piloter sa stratégie social media à un seul endroit. Et ce, afin d’avoir une vue d’ensemble sur ses publications et pouvoir prendre des décisions plus rapidement. Des outils, il en existe une multitude, de toutes les tailles et à tous les prix ! Celui-ci à l’avantage d’être en français et gratuit pour l’instant, mais pas seulement, voyons ce que Over-Graph à dans le ventre : Il programme vos publications sur les réseaux sociaux En plus de l’incontournable Facebook et Twitter, cet outil permet aussi de planifier vos publications sur Instagram et Youtube, ce qui est déjà moins courant. Vous pourrez aisément programmer différents types de publications propre à chacun des réseaux sociaux et de les prévisualiser avant de les mettre en ligne. Il vous aide à publier au meilleur moment ! La grande nouveauté et le plus gros point fort d’Over-graph, par rapport à d’autres outils, est qu’il vous aide à choisir le meilleur moment pour planifier vos publications sur Facebook et Twitter en leur attribuant un score car votre audience n’est pas active au même moment sur les différents canaux. Le score est basé sur un algorithme intelligent qui apprend de vos performances précédentes mais également des posts de dizaines de milliers d’autres pages. L’outil propose une estimation de meilleur moment ou votre audience est susceptible de réagir mais elle ne tient pas compte du contenu qu’il vous faudra évidemment optimiser. Astuce : vous ne souhaitez pas quitter Twitter pour savoir si c’est le moment d’envoyer votre tweet ? Tweetez au @Pr_OG le hashtag #ShouldITweetALinkNow  ou #ShouldITweetAPicNow ! Il vous répondra ;) Il offre une plateforme de réponses muti-réseaux sociaux En une seule vue, vous aurez accès aux commentaires de vos différents comptes et vous pourrez y répondre directement à travers Over-Graph avec, qui plus est, un outil de prévisualisation. Toute une série de filtre est à disposition pour vous aider à retrouver la conversation que vous cherchez. Il propose des rapports d’analyse Bien que cette fonction soit encore en beta, vous pourrez déjà y trouver le nom des utilisateurs qui interagissent le plus avec votre page Facebook ou Twitter ou encore un tableau des meilleurs publications sur une période donnée ainsi que d’autres KPI utiles à votre stratégie. On peut dire que pour un début, Over-Graph remplit assez bien son rôle et permet à tout community manager de pouvoir animer et gérer simplement ses différents comptes sur les réseaux sociaux au même endroit ! Un outil à découvrir...

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Dark social : quelle ampleur face au Social « visible » ?

A la suite de notre définition du Dark Social, nous avons cherché à comprendre quelle était la part du Dark Social dans le développement des réseaux sociaux. Il est vrai que l’on oublie souvent cette part d’invisible du Web, mais face aux volumes d’utilisateurs actifs, on ne peut que s’incliner face à leur force ! Plus de 600 millions d’utilisateurs de Whatsapp, 438 millions pour Wechat, et encore 200 millions pour Facebook Messenger ! Ces utilisateurs s’échangent des milliards de messages chaque jour ! Pour nous donner un ordre d’idée, Facebook a annoncé que plus de 10 milliards de messages sont envoyés chaque jour via la messagerie Facebook ! Beaucoup plus que le nombre de statuts posté ssur les murs des utilisateurs… Facebook a donc bien senti l’importance des messageries instantanées face aux réseaux sociaux quand ils ont déboursé 21,9 milliards de dollar pour financer l’acquisition de Whatsapp. Un prix de 36 $/ utilisateur mais surtout un potentiel énorme de croissance dans les pays en développement. Par contre, ces zones d’échanges sont invisibles pour les annonceurs ! Impossible pour ces derniers d’annoncer sur ces plateformes sans savoir quels sont les contenus présents ! (aucune application n’y affiche d’ailleur de publicité au sein des messages). Un autre enjeu pour les marques réside dans le suivi de leur e-reputation et de leur relation client au travers de ces plateformes. Là encore, l’absence d’indicateur de suivi et l’impossiblité de suivre les échanges avec les communautés bloque le développement des marques sur ces plateformes. Et face aux scandales récent de la NSA, les utilisateurs cherchent à garder secret leurs conversations et les plateformes de conversation instantanée se trouvent être le meilleur refuge pour ceux qui souhaitent conserver leur part de Dark ! Il est encore difficile de savoir si la part visible du social media est en phase d’arrêt, mais à cette heure ci, le dark social se développe beaucoup plus vite, pour, qui sait un jour, supplanter les réseaux sociaux, avec Facebook en ligne de mire ! Mais on sent le vent tourner en faveur du Dark Social, google vient de lancer ces derniers jour son application de messagerie globale qui englobe toutes les messageries du géant (Gtalk, Hangout et même les SMS). Nous reviendrons sur son usage dans un prochain article A lire sur le sujet, line revèle ses chiffres, , Mark Zuckerberg explique pourquoi messenger doit etre une application à...

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Livre: Community Management par Matthieu Chéreau (2ème édition)

Si les réseaux sociaux et l’importance du community manager sont aujourd’hui ancrés dans les mentalités, cela n’a pas toujours été le cas. Matthieu Chéreau a écrit en 2010 un livre sur le sujet, livre que nous allons aujourd’hui vous présenter. Cet ouvrage dans sa première édition fut l’un des tous premiers concernant le community management et il reste aujourd’hui une référence principale sur le sujet. Le succès ayant été au rendez-vous, les éditions Dunod ont publié la seconde édition août 2012. C’est de cette seconde version dont nous parlons ici. Concernant l’auteur, Matthieu Chéreau est le co-fondateur de Tigerlily (http://www.tigerlilyapps.com ) , entreprise avec laquelle il a gagné différentes récompenses, notamment un Silver Award à « Le Web » . Diplômé de Science-Po Paris, il a été chargé d’études pour le ministère de la Culture mais il a également conseillé certains groupes du CAC 40. Matthieu Chéreau – auteur du livre « Community Management, comment faire des communautés web les meilleures alliées des marques. » Selon l’auteur lui-même, le livre s’adresse aux agences de publicité, aux directeurs marketing et communication, aux responsables digitaux et enfin aux étudiants dans le social media. On rajoutera que toute personne intéressée de près ou de loin par le métier de community manager pourra bien évidemment tirer profit de ce manuel métier. L’ouvrage est composé de 5 grandes parties : – Les dix commandements du community manager. – Les cinq métiers du community manager. – Les cinq domaines spécialisés du community management. – Les outils d’animation indispensables du community management. – De la stratégie au reporting : objectifs, indicateurs de performance, analyses des actions. Le sommaire nous le montre bien, le livre est uniquement axé sur le métier de community manager et Matthieu Chéreau reprend ici toutes les composantes de ce métier. Nous allons découvrir ensemble un peu plus en détail les différentes parties de l’ouvrage. À chaque fois, Matthieu Chéreau va utiliser des inserts appelés « Bonnes Pratiques », rubrique de conseils directement adressés aux lecteurs. On trouvera également tout au long de l’ouvrage différents cas pratiques (tirés souvent de l’expérience de l’auteur) ainsi que des interviews de professionnels qui serviront à appuyer et comprendre ses propos. 
 -Chapitre 1 : Les dix commandements du community manager. Dans ce chapitre, l’auteur nous présente les 10 règles d’or selon lui du community manager : Être à l’écoute, parler normalement, être généreux, être transparent, être cohérent, être exemplaire, être réactif, être bien entouré, être agile et être en veille stratégique. Le chapitre se conclut sur une partie « exception aux commandements » dans laquelle il est conseillé au lecteur de créer des expériences extraordinaires. Chapitre 2 : Les cinq métiers du community manager. Comme son nom l’indique, on trouvera dans ce chapitre les 5 différents domaines auxquels se confrontera le community manager dans son métier...

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Le Dark Social : Définition et Identification

C’est la première fois que vous entendez parler de cela ? Ne vous inquiétez pas, le terme est encore jeune puisqu’il a été inventé fin 2012 par le désormais célèbre ALEXIS C. MADRIGAL du journal Atlantic. Dans cet article, le journaliste nous présente le Dark Social comme une composante du social média, mais surtout comme un des leviers majeurs de création de trafic sur son journal. En réussissant à l’identifier, Madrigal démontra que le Dark Socail représente jusqu’à 60% des sources de provenance sur son site ! Il s’agit donc d’un média a ne surtout pas négliger lorsque vous êtes un créateur de trafic . Définition On entend par Dark Social, l’ensemble des sources de trafic reçus sur votre site qui n’ont pas de « referer » identifiable, et qui apparaissent donc comme un « accès direct ». Ce Dark Social se caractérise par des « referer tout simple », comme un lien présent dans un email ou un lien partagé sur une messagerie instantanée. C’est aussi un ensemble social où les marques n’ont pas d’accès et où personne ne peut voir l’ensemble des échanges Lire la définition sur techopédia Comment calculer la part de Dark Social ? Le calcul peut paraître complexe, mais en quelques filtres sur votre google analytics, la part de Dark de votre site apparaîtra rapidement. La méthode est initialement fournie par AT Internet, nous l’avons adapté à Google Analytics – Il vous faut sélectionner les sources de trafic sur votre site en ne comptabilisant que les accès directs. – Il faut ensuite se concentrer sur les pages de destination, car les plus complexes seront les moins suceptibles d’avoir été retapées dans la barre d’url du navigateur. En supprimant la homepage vous aurez une bonne indication sur la part de votre dark social Sur Google Analytics, sélectionner « Acquisition / Tout le trafic », cliquer sur « ajouter un segment » et sélectionner « Accès direct ». Une fois le segment validé, sélectionner une dimension secondaire afin de supprimer des statistiques la homepage Une fois la dimension secondaire intégrée, nous allons appliquer un filtre avancé afin de supprimer la page « / » de la liste comme ceci : Vous retrouvez alors la part du Dark Social dans votre trafic. Chez « Marketing on the Beach », cette part est de 9 %. Vous pouvez aller plus dans la finesse, en recherchant les pages avec la plus haute part de Dark. Ainsi vous remarquerez que les articles les plus poussés sont ceux avec la part de Dark la plus élevée ! Comment maximiser sa part de Dark ? Ici encore pas de règles spéciales, mais nous vous conseillons d’intégrer des outils de partage qui incluent d’autres types de réseau, et surtout le partage par mail, par sms…. Cela assurera un facilitateur de partage pour vos...

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Les nouveaux réseaux sociaux ? quel avenir ?

Chaque année c’est pareil : une équipe de développeurs annonce le nouveau Facebook, les blogs marketing s’emparent du sujet et tout le monde veut essayer le nouveau réseau social ! Ce mois ci, nous avons suivi avec intérêt : – la sortie de Ello, le réseau sans pub qui devrait détrôner par la simplicité l’ogre bleu, – et l’arrivée de Tsu qui promettait une rémunération à chacun de ses membres. Nous allons essayer de détailler, pour les deux réseaux, quels sont leurs avantages et leur stratégie pour se tailler une part du gâteau ! Ello Ello marque un tournant dans la consommation du web, en souhaitant offrir un réseau social sans pub, une zone de calme dans la tempête publicitaire du web 2.0. Une volonté noble pour les créateurs mais une volonté difficilement réalisable tant les coûts d’architecture peuvent s’avérer élevés en web 2.0. Le créateur de Ello Paul Budnitz annonçait, lors d’une interview au blog Pixel du Monde, un volume de 45.000 demandes par heure !!! Un volume qui donne envie à chaque créateur de projet, surtout en phase de lancement. Ello était avant tout un réseau social privé, que j’ai utilisé pendant un an avec seulement une centaine de personnes, des amis et des artistes. Au fil du temps, des milliers de personnes ont voulu se joindre à nous : principalement des proches attirés par ce qu’ils voyaient. Mais alors, ce projet peut-il être « ad free » ? La réponse semble être : Oui et Non ! Oui, car il s’agit de la volonté des créateurs qui viennent de transformer la société en « PBC » (Public Benefit Corporation), société qui ne vit que pour ses utilisateurs ! Non, car Ello a besoin d’argent pour se développer et apporter un usage à ses utilisateurs. Trois fonds d’investissement viennent de mettre la main au portefeuille en apportant 5,5 millions de dollars au réseau social… Il y a donc un usage payant dans les cartons des créateurs pour assurer un minimum de rentabilité aux investisseurs, au moins sur le long terme. L’avis de la Team : Après un mois de tapage médiatique, Ello semble s’être déjà éteint de lui même, pour subir un sort proche de celui réservé à Google plus ! Car même les pages Ello des plus bavards d’entre nous semblent s’être endormies ! Des Ello à découvrir : https://ello.co/amandecherie https://ello.co/wsj https://ello.co/thenextweb PS : si la publicité vous manque sur Ello, et surtout si son absence se place comme un rempart à votre adoption, un plugin chrome peut vous sauver : http://ello-ads.co/ TSU Tsu explore, de son coté, un sujet à l’exact opposé de Ello. Quand ce dernier nous promet un Ad Free, Tsu retourne aux fondements du Web (pas le X) avec la promesse de gagner de l’argent avec ses publications. Ce contre-pied plaira aux...

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Inbox de Gmail, une révolution de la messagerie ?

Avec plus de 425 millions d’adresses Gmail en circulation, l’adresse Gmail lancée par google en 2004 est devenue, sans conteste en 10 ans, la référence des adresses mail. Elle assure un sérieux pour son possesseur : nom.prenom@gmail.com qui remplace à l’age adulte le célebre mistinguette49700@hotmail.fr et le jeuneloup@laposte.net ! Mais, depuis 2004, Gmail cherche à évoluer auprès de ses utilisateurs (il faut rappeler que l’email est la base de l’internet, le premier protocole à avoir été créé après le http.) Et il va sans dire que révolutionner l’usage de celui-ci devient un défi majeur pour Google après ses différents échecs sur ses réseaux sociaux (Google Wave / Google +) Quel est notre usage de la messagerie ? Nous la consultons sur notre ordinateur via un logiciel de messagerie, via notre navigateur (dans de rares cas). Depuis quelques années, nous consultons de plus en plus nos emails sur nos smartphone via le logiciel de messagerie intégré. Mais là ou le bât blesse pour notre fournisseur de services, c’est que le seul point de contact qu’il a avec nous se trouve sur le navigateur qui est en perte de vitesse ces dernières années. Alors comment recréer du contact ? En modifiant l’usage et notre consommation de l’outil ! La première étape a été la mise en place des boites de réception thématiques sur le Gmail classique (lire notre article à ce sujet) qui a déjà eu un effet négatif sur la réception des newsletters et e-mails. La seconde est arrivée en Beta, avec la sortie de Inbox qui met en pratique le tri automatisé de votre boite de réception et modifie à 100% votre manière de consommer. On assiste à un mix entre Gmail, Hangout (gtalk / messagerie instantanée), Google + et Google Now. Pour les plus anciens, le système drastique d’invitation vous rappelera sans aucun doute la sortie de GMAIL où les premières adresses nécessitaient une invitation, et sans facebook, pas facile de quémander à son carnet d’adresse ! Le premier effet offert par Inbox, c’est à la fois une simplicité d’utilisation et un style épuré dans les tendances actuelles du design. On retrouve une prise en main rapide avec l’apparition de gestures d’usage sur mobile, la possiblité d’épingler ses mails, de créer des rappels directement sur la page d’accueil…. Mais… on reste sur sa faim ! Une fois l’effet de nouveauté passé, on a l’impression de subir un vide dans l’usage, impossible de savoir ce qui est lu ou pas, Inbox imposant l’utilisation du « marquer comme terminé » qui perturbe l’utilisateur régulier. Inbox nous oblige aussi l’usage sur mobile, car un archivage sur la version en ligne du logiciel ne vous l’archivera pas en usage IMAP (ou POP) et vous perturbera si votre messagerie est connecté à votre mobile (un bon point pour imposer l’usage unanime des interfaces...

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Internet marketing 2014 – 2015

L’EBG (Electronic Business Group) a publié en septembre sa 10ème édition d’Internet Marketing. Cet ouvrage qui sort annuellement est une référence du genre et nous permet de retrouver toutes les nouvelles tendances du marketing digital, les chiffres clés, les campagnes les plus innovantes et des conseils d’expert sur des problématiques d’actualité. Pour rappel, l’EBG est le premier club d’affaires de l’économie digitale en France, et fait partie des leaders mondiaux dans son domaine. Il couvre divers événements : 19 commissions mensuelles réunissant 100 à 300 personnes, un dîner trimestriel réservé aux cadres dirigeants ainsi qu’une assemblée qui a lieu tous les ans où se réunissent les adhérents autour de personnalités de haut niveau. Cette 10ème édition d’Internet Marketing reprend donc les différentes actualités de l’année 2013 dans le domaine du marketing digital, et peut se vanter de proposer 200 fiches pratiques ainsi que 60 études de cas. L’ouvrage est divisé en 7 grandes thématiques pour lesquelles un chapitre est dédié à chacune d’entre elle. Un dernier chapitre vient s’ajouter à la fin, il s’agit d’un annuaire dédié aux 20 agences qui ont présenté les études de cas disponibles tout au long de la lecture. Les 7 grandes thématiques présentées sont les suivantes: – Les campagnes digitales. – Le brand. – L’e-commerce. – Le marketing sur le social media. – Le multi-screen. – La diffusion. – Les ressources humaines. Décortiquons chacune d’entre elles… 1 -Les campagnes digitales: Ce chapitre nous présente les principales campagnes marquantes de l’année 2013 en prenant 24 exemples différents. On y retrouvera par exemple la campagne anti-piratage d’Adobe, l’opération Mr Miles d’Air France ou encore la campagne « Partagez un coca-cola ». Chacune de ces campagnes est présentée de la même manière avec 4 points abordés : la problématique business de la marque, la solution stratégique qu’a choisi cette marque, la mise en place opérationnelle de cette stratégie et enfin le résultat obtenu. Il est important de noter que ce schéma sera repris pour chaque étude de cas présente dans l’ouvrage. Illustrée par différentes images et appuyée par de nombreuses statistiques, chaque étude de cas permet de bien comprendre comment les campagnes marquantes de l’année se sont déroulées. Ajoutez à cela des analyses pertinentes et vous obtenez un premier chapitre réussi. 2 – Branding Divisé en 6 grandes parties, ce chapitre est consacré à divers thématiques ayant toutes pour thème central.. la marque, forcément ! Allant du « brand content » à l’e-relation en passant par la stratégie ou encore le content marketing, ce chapitre est un peu différent du premier dans sa forme. Cette fois ci, on ne trouve pas uniquement des études de cas mais également des fiches pratiques sur chaque thématique avec une présentation et une analyse pour chacune d’entre elle. 3 – Social Media: Pour ce chapitre on retrouve le même format que précédemment avec des...

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10 futurs professionnels en emarketing cherchent un stage ou un job !

Ils sont 10 jeunes motivés à avoir entamé une formation intensive  en « digital marketing >> » il y a presque 6 mois à Tournai en Belgique. Ils seront prêts à appliquer tout ce qu’ils ont appris dans un stage ou un job au sein d’une société début décembre pour contribuer à faire décoller votre business ! 10 e-marketeurs cherchent un job ou un stage ! Parcourez leurs profils via l’image cliquable et contactez-les directement >> Téléchargez leur profil de groupe en pdf > Digital marketing Tournai Quand se déroule la prochaine formation en « Charge de Marketing en ligne » ? Dès janvier 2015, une nouvelle mouture aura lieu à Gosselies dans les locaux de Technofutur TIC. La séance d’information obligatoire est fixée au 9 décembre dès 9h30. Quels cours seront dispensées lors de cette formation ? >> Vendez des billets à travers...

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Startup villa : Joindre l’utile à l’agréable

Et si vous travaillez sur votre projet de création sous le soleil et devant une plage marocaine ? Pour travailler sur un projet de startup, la tendance actuelle est au développement des espaces de co-working et des open-spaces. L’éco-système marocain n’échappe pas à la règle. Dans une région paisible du royaume chérifain, deux jeunes marocains, Othman Tsouli Mdidech, Founder et CEO de http://www.infinitable.ma et Mohamed-Amine El Hannani Founder & CEO de http://www.apdrop.com/ ont eu l’idée de fonder une startup au service des startups, dite « startup Villa ». Cet incubateur de projet isolé du stress de la ville, est une nouvelle opportunité bien pensée, pour tous ceux qui souhaitent embrasser le rêve de fonder leur propre startup, dans un endroit « inspirant » : une villa au bord de la plage de Tamaris où chacun est libre de choisir sa propre manière de travailler et de ne se soucier que de son projet. Et puis… il n’y a qu’un startuper qui peut comprendre un startuper :). Le projet a ouvert ses portes aux entrepreneurs du monde entier (Etats-unis, France, Suède…). Le but étant de motiver les startups européennes et américaines à venir s’installer au Maroc et à développer leurs projets dans des conditions plus que favorables. Une idée venue de deux startups américaines « Maptia » et « Lanyrd » qui ont choisi de s’implanter au Maroc et d’y développer leur business. Les deux fondateurs ont déjà commencé à recevoir des candidatures qu’ils étudient avec minutie, en mettant en avant tous ce dont les startupers peuvent bénéficier : « La qualité de vie y est agréable, le coût modéré, un marché viable pour tester nos concepts et l’accès à de magnifiques plages pour nous reposer et nous ressourcer. Nous pouvions constamment être en contact avec l’étranger grâce à une connexion haut débit nous permettant de skyper ou faire des visios avec Google Hangouts. Et si le besoin s’en ressentait, nous pouvions être à Paris ou Londres en 2 heures de vol, à Berlin en 3 heures et demi ou à New-York en 7 heures ». Ce projet de start-up villa offre aux startupers venus des 4 coins du monde, une expérience inoubliable. Alliant un cadre de travail agréable et un espace de vie « chaleureux » dans un pays où le soleil brille toute l’année. En somme, tout ce qui importe dans la villa, c’est votre business. Ne vous souciez plus des tâches ménagères ou de la préparation du petit déjeuner. Pour 800 euros par mois vous bénéficiez de la pension complète : logement, nourriture, ménage et connexion internet. Si vous êtes une équipe ou si vous travaillez sur un projet à long terme, vous bénéficirez de la même pension mais avec une réduction. Lors d’un passage à Paris, nous avons rencontré Mohamed-Amine El Hannani, l’un fondateurs du projet...

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