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Quelles sont les règles à suivre pour un ecommerce en Belgique ?

En Belgique, les règles en matière de site ecommerce sont un peu plus lourdes que chez nos pays voisins et elles viennent de subir quelques nouvelles adaptations à prendre en compte, sous peine de voir certains contrats de ventre annulés. Les nouvelles règles d’un site ecommerce belge : 20 mentions légales à communiquer ! Suite à la nouvelle législation, il est désormais obligatoire de communiquer 20 informations à vos clients avant l’achat sur votre site ecommerce. Elles devront apparaître à 2 endroits, dans : Les mentions légales : N° d’entreprise (TVA) Le nom L’adresse du siège social et commercial (si elle diffère) Le numéro de téléphone, l’email et éventuellement un n° de fax Si l’entreprise y est soumise : Le code de conduite (Par ex : Becommerce ou Safeshop) et comment en obtenir un copie Les autorités de surveillance (l’ordre des pharmacien, commission de protection de la vie privée, etc..) Le recours à une procédure extra-judiciaire et ses modalités d’accès. Les conditions générales de vente à fournir avant la commande : Les principales caractéristiques du bien ou du service Le prix total des biens ou services toutes taxes comprises indiqué en euro ainsi que les frais supplémentaires de transport, de livraison ou d’affranchissement et, ce sans avoir besoin de s’inscrire sur le site. Dans un contrat à durée indéterminée ou d’un contrat assorti d’un abonnement, le prix total inclut le total des frais par période de facturation. La garantie légale de conformité pour les biens; La durée du contrat et par conséquent la durée minimale des obligations du consommateur, si c’est applicable. Le coût de l’utilisation de la technique de communication à distance pour la conclusion du contrat, lorsque ce coût est calculé sur une base autre que le tarif de base (ex : N° de téléphone surtaxé) Les modalités de paiement, de livraison et d’exécution, la date à laquelle l’entreprise s’engage à livrer les biens ou à exécuter les services et, le cas échéant, les modalités prévues par l’entreprise pour le traitement des réclamations; L’existence d’une caution ou d’autres garanties financières à payer ou à fournir par le consommateur à la demande de l’entreprise, ainsi que les conditions y afférentes; Dans le cas d’un contenu numérique : Les fonctionnalités, y compris les mesures de protection technique applicables; Toute interopérabilité pertinente avec certains matériels ou logiciels dont l’entreprise a ou devrait raisonnablement avoir connaissance; Rétractation & SAV Lorsque le droit de rétractation existe : les conditions, le délai de 14 jours et les modalités  via le modèle de formulaire de rétractation Les frais de renvoi Les frais à charge du consommateur s’il se rétracte et que le contrat a commencé. Lorsque le droit de rétractation n’est pas prévu : l’information selon laquelle le consommateur ne bénéficiera pas de ce droit les circonstances dans lesquelles le consommateur perd son droit...

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5 idées reçues sur le fait d’être entrepreneur

Entreprendre, c’est un travail au quotidien, qui demande beaucoup de rigueur et d’implication. Un entrepreneur est souvent perçu comme une personne sur-qualifiée, aisée, très douée, passionnée et passionnante.. La vérité c’est qu’il est extrêmement difficile de mettre des étiquettes sur des dirigeants d’entreprise, du fait que leurs tempéraments et profils changement et dépendent de plusieurs critères et circonstances. Voici un un recueil des idées reçues sur le fait d’être un entrepreneur : 1. Les chefs d’entreprise ont de grands diplômes universitaires Malgré le fait que plusieurs grands dirigeants sortent d’une grande école ou ont en poche un master universitaire, l’aventure d’entrepreneuriat ne nécessite pas forcément un niveau d’étude très avancé. En effet, dans le monde de création d’entreprise, le plus important c’est d’avoir une riche expertise et un savoir faire hors paires. Les nouvelles idées et la créativité ne sont pas synonymes d’études supérieures, mais d’un état d’esprit vif et une grande capacité d’écoute. 2. Pour devenir entrepreneur, il faut forcément être riche Ce n’est pas une règle, l’investissement de départ peut être très minime, si les compétences et énergie mises a disposition sont suffisantes pour mener à bien le projet. 
Les frais de départ qui concernent les charges de loyer, les formalités administratives, les taxes et trésorerie initiale restent indispensables au démarrage. Il faut également prendre en considération l’investissement en matière de matériel, de stockage et de charges salariales. Toutefois, cela dépend aussi du secteur et domaine d’intervention. Les métiers de prestation de service nécessitent par exemple moins d’investissement que d’autres champs d’intervention comme la logistique ou la gestion de portefeuille de marques. 3. Pour créer une entreprise, il faut absolument trouver l’idée originale L’innovation doit être au coeur du métier de l’entrepreneur, mais les idées entrepreunariales doivent surtout s’adapter au marché et répondre à des besoins spécifiques. Des idées trop créatives sont à applaudir, mais sont-elles vraiment efficaces pour rendre un projet rentable et efficace ? Donner un coup de frais dans sa stratégie et ses actions permet d’être en continue remise à niveau. Le vrai challenge est de pouvoir comprendre le marché et les consommateurs et répondre à leurs besoins de manière intelligente. 4. Je suis un entrepreneur, donc je suis riche L’idée qu’un entrepreneur est forcément riche est fausse. Le compte bancaire d’un entrepreneur n’est pas toujours énorme, surtout au démarrage. Ce dernier fait plusieurs sacrifices personnels et aussi financiers pour vivre de sa passion et bien alimenter son projet. 5. Un entrepreneur veut absolument devenir riche L’indépendance vient avant la richesse dans les motivations d’un chef d’entreprise. Ce dernier cherche à vivre une aventure, se challenger et affronter des défis. La richesse est un objectif à très long terme qui vient suite à de nombreuses années de travail et de don de...

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Case Study : Nike et Adidas, les campagnes du Mondial 2014.

Qui dit Nike et Adidas, dit grande inspiration en terme de marques sportives… chose qui rime avec le Mondial 2014. Les géants se sont distingués chacun à sa manière en lançant des spots et campagnes spéciales Coupe du Monde – Brésil. Voici un aperçu de chacune de ces deux campagnes. Dans le cadre de sa campagne spéciale Mondiale 2014, Nike a lancé une opération en plusieurs volets, sous le nom #Riskeveything. Dans la toute dernière, il s’agit de mettre en avant un film d’animation de 5 minutes, nommé Last Name, dernier jeu. Ronaldo, Zlatan, Neymar et plusieurs grands joueurs du football ont pour mission de sauver le ballon de foot du méchant Scientist. Ce dernier a créé des clones des joueurs afin d’éliminer les risques du jeu et prioriser les résultats. Sans risque, il n’y a pas de plaisir. Telle est l’idée globale que véhicule la campagne, aillant pour but de démontrer que dans le Football, il faut avoir beaucoup de courage et d’audace. Ceci est très apparent au niveau du film animé, car dans la première partie, les joueurs sont moins motivés dans le match de foot et transmettent très peu leurs bonnes énergies… Normal, il s’agit des clones ! Ronaldo décide donc de faire revivre le football en allant en mission pour rassembler toutes les légendes du football mondial. Une fois rassemblés, c’est la compétition entre les vrais joueurs et les clones, Ronaldo motive l’équipe et insiste sur l’esprit sportif, une valeur commune dans le monde du sport. C’est donc maintenant une habitude pour les marques de mettre en avant les joueurs dans les compétitions internationales. 
De son côté, Adidas a marqué le coup pour la coupe du monde 2014 à travers une publicité très originale, regroupant les plus grandes figures du Foot. Özil, Suarez, Alves, Schweinsteiger ou encore Xavi sont au rendez-vous, sans oublier bien sûr Lionel Messi, en vedette du clip. L’histoire situe Messi au réveil : On distingue le maillot de l’Argentine, pays qu’il représente, lui entrain d’envoyer des textos à ses con-frères des autres pays, qui chacun d’eux met en avant son pays d’appartenance. Que se passe-t-il ? Demande Messi Rien, répondent les autres. Voici une manière originale d’annoncer le lancement du mondial de 2014, mais surtout le clin d’oeil où la marque dévoile le ballon de la finale aux couleurs de Adidas. Des campagnes prometteuses et une coupe du monde pleine d’audace et de suspens. La coupe du monde est certainement une aubaine pour les marques sportives pour se faire remarquer, chacune dans son positionnement et avec un ton et prise de parole bien distincte. Alors, êtes-vous plutôt Nike ou Adidas...

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L’ecommerce belge a-t-il encore un avenir ?

Le 2 avril dernier, Défimedia en partenariat avec Technofutur TIC organisait une conférence-débat sur l’avenir de l’ecommerce belge ! Le constat de Comeos dans son magazine « e-guerre 2014-18 » est sans appel : Les pouvoir publics, en Belgique, doivent adapter leur politique de charges salariales et mettre à disposition, au minima, des moyens logistiques et un cadre légal pour aider les commerçants belges à développer leur boutique en ligne. Dans le cas contraire,  les futurs ecommerçants se délocaliseront dans nos pays voisins où les paramètres de coûts sont plus favorables : France, Allemagne, Pays-Bas ou Luxembourg. En Belgique, le coût du travail est excessif Pour un salaire de 100€ net reçu par le travailleur, le commerçant doit débourser : France : 157€ Allemagne : 182€ Pays-Bas : 181€ Belgique : 196€ Soit,  en Belgique, 20% de plus que ses pays limitrophes. Le travail de nuit et de weekend coûte aussi plus cher, rendant la préparation nocturne des colis peut envisageable. La TVA à 21% est elle aussi plus élevée. Les paiements électroniques sont sûrs mais couteux Aujourd’hui, les fraudes ne viennent pas du paiement en ligne qui est suffisamment sécurisé mais des sites frauduleux qui détournent et récupèrent ces données. Toutefois, la mise en place du système que propose Ogone est coûteuse et le tarif de commission par transaction et lié au volume de ventes. Pour les « petits » ecommerçants, s’offrir les services d’Ogone n’est pas toujours envisageable dès le début  : 500€ d’activation, une mensualité de 105€, une commission fixe de 0,25€ et une variable en fonction du total de 0,3%. Ils se retournent alors vers des plateformes « clef-en-main » comme Paypal qui prend 3,4% + 0,35€ de commission ou encore Hipay, de 2 à 5% + 0,25€ par transaction. L’envoi de colis reste cher et plus lent que chez nos voisins Le tracking d’un colis n’existe que depuis 1 an chez Bpost. Le prix varie en fonction du poids et de la taille du colis. La livraison se fait à domicile en J+1 ou dans un distributeur automatique de colis depuis peu. Pour les colis de plus grandes tailles, on préfèrera la livraison en point relais comme Kiala ou Mondial Relay et à domicile, DPD. Le territoire belge étant petit, tous les ecommerçants devraient automatiquement viser l’exportation mais le tarif reste prohibitif. La réglementation est plus stricte ! Les ecommerçants sont soumis à une réglementation plus sévères que leurs voisins notamment au niveau de la protection des consommateurs et du délais de rétractation de 14 jours déjà en vigueur depuis 2012. Que représente l’ecommerce belge aujourd’hui ? 5% CA total d’un commerce L’investissement pour un magasin en ligne est le même que pour un magasin physique L’amortissement se situe aux alentours des 6 ans contre 3 ans pour un magasin physique +- 40.000 webshop et 100 nouveaux sont créés chaque mois...

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5 campagnes de com’ branchées actualité

Les campagnes de communication des marques passent de mains en mains, de l’annonceur à l’agence, elles sont réfléchies et travaillées pendant des semaines. Néanmoins, les marques savent être réactives également et rebondir sur des faits d’actualité. 5 campagnes pour vous le prouver. Nous commencerons par la plus récente, PiedLib’ initiée par Neutrogena. Depuis quelques temps, Paris devient folle à cause des grèves qui s’accumulent. Les cheminots de la SNCF lèvent encore les pancartes contestataires … Les taxis ont choisis la même période pour se faire entendre. Que fait-on quand on doit arriver au travail à 8h avec une heure de route ? On prend un Vélib’ ! Naturellement, il n’y a pas de Vélib pour tous les Franciliens … Alors, on opte pour la marche à pieds. Vous connaissez le dicton « On n’est jamais mieux servi que par soi-même » ? Neutrogena s’est basé sur cette philosophie en proposant la fameuse Crème Pieds Formule Norvégienne au niveau des stations Vélib’ pour soulager les pieds qui sillonnent en talons et talonnettes les rues de Paris. Cette fois, c’est un florilège de visuels publiés sur Facebook mais surtout Twitter par les internautes suite au fail de la SNCF. Vous avez forcément entendu parler des nouveaux trains trop larges pour les quais de gare … Les internautes se sont emparés du fait divers pour inonder Facebook et Twitter de photos et commentaires sarcastiques. Tout comme les marques. Marc Dorcel par exemple a balancé un tweet implicitement gras : Il n'y a pas de trains trop larges… #SNCF #SNCFail #roccosiffredi pic.twitter.com/3A7aIwy1vG — Marc Dorcel (@dorcel) 22 Mai 2014 De son côté, Durex a saisi l’occasion pour faire la promotion de son gel lubrifiant … Qui fera passer tous les trains dans toutes les gares … Quand #Durex répond au fail de la #SNCF.. pic.twitter.com/UV13oMZ5HX — 「 CHOCHO 」 (@cholletromain) 21 Mai 2014 Kronenbourg a lancé un appel d’offre pour une campagne print et digitale pour toute l’année 2014. C’est l’agence La Chose basée à Paris qui aura le privilège de faire parler la marque aux bouteille vertes. Kronenbourg, marque phare pour les moins de 25 ans, cherche à s’octroyer un capital sympathie plus important chez les 20-34 ans. Accompagner un verre de Kronenbourg avec une expression usuelle en fonction des événements de l’année (Coupe du Monde, fins de mois, …). Une campagne inédite et originale pour entrer dans le quotidien de la cible : Se baser sur l’actualité, c’est le choix qu’à fait OptimHome, qui se décrit comme réseau immobilier nouvelle génération, pour sa campagne de recrutement l’année dernière. Une campagne print originale qui s’adresse directement à des personnalités publiques et politiques. La première campagne avait pour objectif de présenter OptimHome à travers un message dédié au ministre du Redressement productif, Arnaud Montebourg : « Arnaud, découvrez l’entreprise qui donne envie d’entreprendre ». La seconde campagne...

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GoPro, le petit nouveau de la Nasdaq !

Après avoir attendu que sa situation financière ne le permette, GoPro a franchi le pas le Lundi 19 mai dernier : la société Californienne a déposé son dossier d’introduction en bourse au SEC (Securities and Exchange Commission), gendarme de la bourse américaine. Retour sur la démarche du potentiel petit nouveau de Wall Street. 100 millions de dollars (73 millions d’euros). C’est le montant que veut lever la société de Nicholas Woodman. Le projet d’entrée en bourse trotte dans la tête de la boîte de production de action cam depuis un moment. Il semblait toutefois encore trop tôt pour entamer une telle démarche. La cotation est désormais assez bonne pour franchir le pas. 2013, une année fructueuse Depuis sa création en 2003, 2013 a été la meilleure année en terme de chiffre d’affaire pour l’entreprise. Elle a enregistré un CA de 986 milliards de dollars et un bénéfice de, tenez-vous bien, 61 millions d’euros. Une marge qui a doublé par rapport à l’année précédente. Notons d’ailleurs qu’elle reste leader sur le marché puisqu’elle se situe bien loin devant Sony Contour, Drift Innovation ou encore Garmin. C’est d’ailleurs les arguments qu’a utilisé la marque pour appuyer son dossier. Les petites caméras ont réellement suscité l’enthousiasme et la curiosité des amateurs de sports extrêmes notamment. Nous avons déjà tous vu sur la toile une vidéo de surfer, skier, snowboarder, parachutiste tournée avec une GoPro. (Non ?) La marque bénéficie d’un capital sympathie extrêmement fort puisqu’elle permet d’immortaliser et partager des moments uniques. L’expérience, repousser ses limites, se sentir capable de grandes choses grâce à une prise de vue subjective, voilà la clé du succès des petites caméras anti-choc et étanches. 1,6 millions de fans sur la chaîne Youtube, 7 millions sur Facebook, et 1 million de followers sur Twitter ! La GoPro est très convoitée malgré son prix : la Hero3 est à 249€ en entrée de gamme … GoPro partenaire de Felix Baugartner On se souvient de cet extra-terrestre qui a décidé en Octobre 2012 de sauter en chute libre à 39,45 kilomètres du sol en chute libre, Felix Baugartner. Devinez qui a fourni la caméra pour filmer l’événement ! Plus de 15 millions de vues pour récompenser Félix d’avoir sauté, et pour féliciter (indirectement) GoPro d’avoir investi dans cette opération ! L’entrée en bourse de la compagnie marque un nouveau départ et, on l’espère pour Nicholas Woodman, suivi d’une croissance et de nouveaux produits encore plus performants et sophistiqués sur le marché...

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Vous êtes ecommerçant ? Le Digital Commerce Stars vous attend !

Pour la 6ème année consécutive, le concours pour élire le meilleur site ecommerce est de retour ! Une façon pour tous les ecommerçants de se mesurer les uns et autres et de comparer leurs pratiques. Une superbe manière aussi de se faire connaître et de développer un réseau.    Quelles sont les objectifs des « Digital Commerce Stars » ? Valoriser et labelliser les meilleurs sites e-commerce, et applications mobile ou favorisant le commerce Mettre l’accent sur les moyens pour favoriser l’achat en ligne; Mettre en valeur les compétences et les savoir-faire des entreprises; Illustrer l’importance des contenus sur Internet; Permettre une prise de conscience des chefs d’entreprise et commerçants sur l’impact et les enjeux du Digital Commerce pour leur développement économique; Insister sur la nécessité d’utiliser le Web comme vecteur de vente à l’étranger et ne pas se limiter aux francophones Le concours s’adresse à toutes les entreprises du Nord-Pas-de-Calais et de Wallonie allant de la TPE aux grands comptes. Les participants seront référencés dans l’annuaire  du Digital Commerce Stars durant 1 an. 7 catégories de ecommerce.. Alimentation Mode, beauté Maison, auto, objets  + High Tech Voyages, loisirs, Culture Application mobile B to B International Et 11 prix possibles ! 1 prix par catégorie sera décerné, donc 7 gagnants mais le jury désignera, en plus, 4 lauréats territoriaux. Envie d’en savoir plus et pourquoi pas d’y participer...

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Getsmily prend le pouls des émotions de vos visiteurs web

GetSmily est une petite application web qui souhaite révolutionner le rapport des entreprises à leurs clients en leur permettant de mesurer leur satisfaction d’une façon inédite et innovante. Rencontre avec David Hachez, Serial Entrepreneur, cofondateur de Getsmily   Bonjour David, tu es à nouveau à l’initiative d’une startup, « Getsmily ». Tu nous expliques ? Projet Spin-Off de l’U.C.L. soutenu par la Région Wallonne, Getsmily vise à apporter sa technologie novatrice de détection d’émotions sur le marché du marketing et de l’analyse de la “user experience”. Mais, GetSmily est avant tout une rencontre entre plusieurs personnes et des envies communes. David Frenay, le chercheur de l’UCL à la base de la technologue de détection d’émotions, et moi-même avons eu envie de proposer aux propriétaires de site, mais également à leur audience, des outils leur permettant de mieux se comprendre. En 2014, et il y a encore beaucoup trop d’émotions négatives vécues par les gens au quotidien quand ils interagissent avec les sites web. Nous sommes d’ailleurs tombés sur un article du Times de 2011 qui disait ceci : « 80% des entreprises estiment qu’elles délivrent un service de qualité supérieure à leur clientèle, alors 8% de la clientèle de ces mêmes entreprises était d’accord pour dire que le service était de qualité supérieure. » Cela fait quand même un grand fossé émotionnel à combler entre entreprises et consommateurs. Qu’est-ce-que ça peut apporter au propriétaire du site ? Une meilleure compréhension de son public et une connaissance plus fine des attentes de son audience. Les web analytics sont souvent rébarbatifs, car ils comportent trop de chiffres et ne proposent pas assez d’insights à ceux qui les analysent. Nous essayons d’apporter une dimension humaine aux analytics en y intégrant la composante émotionnelle. Nous appelons cela, les Emolytics. Cela permet également au gestionnaire de sites, de mieux exploiter le potentiel de son interface web (un site est, selon nous, un laboratoire marketing). Il/Elle investit beaucoup de moyens dans la création, la réalisation, l’entretien et l’animation de son site. Il est essentiel de pouvoir comprendre simplement et rapidement ce qui fonctionne ou ne fonctionne pas, mais également de mieux cerner son groupe cible. Notre rêve serait que l’Emoscore (le score d’impact émotionnel d’un site) deviennent un indicateur aussi puissant que le Brand Awareness ou le Net Promoter Score au sein de la communauté des marketers. Nous savons en outre que les émotions (positives ou négatives) sont des marqueurs de la mémoire; c’est prouvé scientifiquement. Ensuite, c’est la mémoire qui entrainera l’action des individus (partage, discussion, ‘like’, achat, etc.). Dès lors, comprendre les émotions de son public, c’est savoir comment mieux répondre à leurs attentes et devenir pro-actif dans la relation que l’on essaie de construire sur le long terme avec un public quel qu’il soit. Les questions sont elles modifiables ? Peux tu ajouter les...

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Feedient : une seule plateforme en ligne pour gérer tous vos réseaux sociaux

Facebook, Twitter, Instagram, Tumblr, Youtube … Vous faîtes partie des nombreux connectés sur ces réseaux sociaux et comme nous tous, vous avez du mal à gérer et alimenter tous ces comptes ? Feedient est la solution à tous vos problèmes. Explications. Nous aimerions poster et checker nos notifications et fils d’actualités sur Facebook, Instagram et tweeter en même temps … Pas possible. Ah moins qu’une plateforme en ligne ne les réunisse tous sur une seule page … Feedient, le meilleur ami de la génération 2.0   Votre problème n’est plus grâce à Feedient, la plateforme de gestion en ligne de vos réseaux sociaux. Facebook, Twitter, Instagram, Tumblr et Youtube, 5 en 1. Mieux qu’Head and Shoulders et Colgate réunis. Il suffit de vous connecter avec une adresse mail valide -bien sûr-, de synchroniser vos comptes et ça y est vous pouvez : * Consulter vos fils d’actualité qui se mettent à jour automatiquement. No need to refresh ! * Réunir toutes les notifications à un seul et même endroit * Personnaliser la présentation de votre timeline en fonction des réseaux que vous utilisez le plus grâce à un simple glisser/déposer Nombreux l’ont déjà testé et certifient que l’idée est ingénieuse, efficace et fonctionne correctement bien qu’elle soit toujours en version bêta. Des bugs et autres petits dysfonctionnements peuvent être rencontrés. Soyons indulgents. 5 comptes sur une seule et même page … On y voit tout de même plus clair ! Pour les plus initiés, le logiciel HootSuite qui rassemble les comptes Facebook, Twitter, Google+, Instagram, Foursquare mais aussi Flickr et LinkedIn. HootSuite ou Feedient ? Bonne question. Quel est l’avantages de Feedient par rapport à HootSuite qui est déja en ligne ? La gratuité. Eh oui, HootSuite vous aide à gérer plus de comptes mais ça se monnaye … 7,19€ par mois pour la version Premium. Feedient en revanche vous offre ses services gratuitement ! On notera toutefois que Feedient est pratique pour un usage personnel des réseaux : on nous a souligné qu’il était encore impossible d’ajouter des flux spécifiques à Feedient : listes Twitter, messages privés, publications de pages Facebook etc. En ligne depuis seulement fin Avril, nous pouvons imaginer que la plateforme se développera et étoffera ses fonctionnalités. Patience. D’ici là, nous vous invitons à la tester...

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Apprendre la programmation informatique : La « codeacademy » enfin en français

La « codecademy », site internet pour apprendre et maîtriser de façon autonome les bases de la programmation informatique. Créée par Zach Sims, un jeune homme de 22 ans à la fois ingénieux et visionnaire. Grâce à ce petit génie sans diplôme, ce site a pu voir le jour. Il connaît d’ores et déjà un succès fulgurant : des millions d’internautes l’ont visité. « Codecademy » est le site qui peut vous transformer en Mark Zuckerberg. Le site dispense désormais des cours en Javascript, Python ou encore Ruby. Un jargon -barbare, on vous l’accorde- indispensable à maîtriser dans la création de sites web. Il y a presque un an, le site a lancé le code Year : une bonne initiative pour inciter les internautes à franchir le pas et apprendre la programmation informatique. Le succès est une fois de plus au rendez-vous. Presque 450.000 personnes s’y engagent, parmi lesquelles figurait Michael Bloomberg …. Le maire de New York ! Ce site lancé depuis 2011 est désormais accessible en langue française. Remercions l’association Bibliothèque sans frontières, partenaire officiel et exclusif de « Codecademy », d’avoir réclamé la version française. Codecademy est réputé pour son aspect intuitif et sa pédagogie innovante . D’ailleurs 87% des Français veulent que leurs enfants apprennent à coder à l’école ( selon un récent sondage BVA : Institut d’études de marché et d’opinion) Ce projet a reçu le soutien d’Axelle Lemaire, secrétaire d’Etat au numérique : «C’est une des clés pour que les prochaines générations maîtrisent leur environnement numérique (…) On apprend l’anglais, le chinois, il faut apprendre à coder!» déclare-t-elle. La France s’intéresse sérieusement au projet pour que les jeunes peuvent en tirer profit. L’ONG Bibliothèque sans frontières en partenariat avec d’autres bibliothèques, des écoles et des associations et proposent des ateliers collectifs. Ils apprennent à coder sur la plate-forme américaine à l’instar des Mooc ( Massive Open Online Courses ), des cours proposés uniquement en ligne. La programmation informatique a de beaux jours devant elle. La France emboîte le pas à ses voisins et pourrait voir naître des programmateurs hors pair, comme notre jeune Zach Sims. Encore bravo...

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