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Rédacteurs-web et studios : le dialogue

La dernière manifestation de redacteur-web-all-inclusive s’est déroulée dernièrement dans les locaux de TechnofuturTic. A cette occasion et devant près de 80 personnes, il m’a été donné l’occasion d’exposer la problématique du manque de communication entre webwriters et studios web. A mon grand plaisir, la salle était composée d’un tiers de webmasters, d’un tiers de webwriters et d’un autre tiers de clients/graphistes/… Cet équilibre a donné l’occasion, suite aux différentes interventions (dont celles de Marina Aubert, O. De Doncker (emakina), JM Hardy, … ), à une table ronde animée où chacun, assurant les intérêts et les interrogations de son secteur, a pu exprimer ses point de vue et ses attentes. Le débat reste ouvert. Il continuera sûrement au Rewics. Je place ci-bas le power point de mon intervention. | View | Upload your...

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Mesurer les succès de votre site web, de votre management et de vos écoles

« Je ne gagne pas un euro avec mon site mais qu’est-ce que j’ai comme trafic ! » Aujourd’hui encore, on peut entendre ce genre de fanfaronnade dans la bouche de messieurs très sérieux qui ne se rendent pas compte, qu’en disant cela, ils clament haut et fort l’échec de leur entreprise web. En effet, peut-on imaginer qu’un commerçant se flatte de voir des milliers de personnes visiter leurs rayons sans qu’aucune n’achète quoi que ce soit ? Ceci dit, entre le succès et le bide, il existe le plus souvent des situations intermédiaires. Des « oui, je gagne… enfin, un peu… du moins, je crois… ». Le succès, c’est bien. Etre capable de le mesurer (et donc de le performer), c’est mieux ! C’est ce que nous propose J-F Ruiz dans un article intitulé « Comment mesurer le succès de vos services web ? ». De la rentabilité de son site à la mesure de la performance de l’équipe commerciale, il n’y a qu’un pas que nous franchissons allègrement en renvoyant à un article de Jean-Marc Bellot intitulé « Bâtir une communauté commerciale (Partie 1) » et commenté par B. Duperrin ; un article qui intéressera tous ceux qui ont à faire avec le management (et ses difficultés). Pour en finir avec ces différentes mesures, nous en terminerons avec deux sons de cloches sur l’enseignement et le 2.0. Le premier, qui est plutôt un son, est un rapport élaboré en partenariat avec les universités britanniques et qui fait le point sur les outils 2.0 actuels et ses « best practices ». Le second est une critique intitulée « Les 10 plaies d’Internet », un livre publié chez Dunod. L’auteur propose une approche critique de l’Internet. Un peu de contradictions dans un monde d’évangélisés en...

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Glossaires et études de cas marketing

Beaucoup d’entre vous connaissaient déjà Mercator pour son glossaire marketing, (que l’on comparera avec celui de marketing-stratégique ou encore celui de marketing-etudiant) et peut-être pour ses fiches pratiques. Au-delà de ces données toujours bien utiles lorsqu’il est question de se rafraîchir la mémoire suite à 3 minutes de discussion avec un gourou du marketing, Mercator propose aussi de découvrir des études de cas de marques en action. Ces études de cas sont périodiquement remises à jour ; nous vous conseillons donc d’y retourner de temps en temps. Pour l’heure, nous vous renvoyons à 6 cas : – les confitures Bonne maman et sa stratégie d’extension et de diversification de marque – Ovomaltine et sa stratégie de marketing mix – Harley Davidson et sa stratégie de culte de marque – Tesco et sa stratégie multicanale – Nespresso et sa stratégie de fidélisation – Pulpil et sa stratégie de rachat/fusion Tant qu’on y est, vous consulterez avec intérêt leur sitothèque, elle aussi dédiée au...

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Osons !

Nous venons de lire un article sur Presse-citron dont le prétexte est de fournir 6 idées de services web à transposer en français. Car le fond de l’article et des nombreux commentaires qui l’accompagnent traduisent une frustration réelle de bon nombre d’entreprenautes potentiels : le manque de plate-forme (physique ou virtuelle) dédiée à la réunion de talents et de personnalités compatibles. Et, quand on y pense bien, c’est en soi une hérésie de faire ce genre de constat à l’heure de la célébration du 2.0 et des réseaux sociaux. Dans un récent article consacré au développement de radionomy, nous nous souvenons avoir lu dans la presse que l’équipe s’était rencontrée sur Linked in. Si cette info est avérée, ceci tendrait à prouver qu’il est possible que le 2.0 soit un facilitateur de networking qui débouche sur du concret. Il n’en reste pas moins que beaucoup sont encore : frileux à l’idée de s’investir dans ce genre de collaboration, eu égard à leur anxiété de « se faire piquer l’idée » ; freinés dans leurs ardeurs par crainte de n’avoir pas les fonds pour développer leur projet. A la première réticence, je renvoie à l’article susnommé ; vous avez une idée géniale ? Et vous craignez de la partager ? Soit. Dès lors, pourquoi ne pas amorcer la pompe, avec une première équipe motivée, sur base de la déclinaison d’une idée déjà existante et rendue publique ? A la seconde, il n’y a pas miracle : partant du principe que « le temps, c’est de l’argent », si vous n’avez pas d’argent, consacrez du temps à votre projet. Par ailleurs, un business model qui tient la route finit toujours par attirer des investisseurs… Quoi qu’il en soit, la clé de la réussite se trouve le plus souvent dans l’équipe (relire ceci à cet égard). Partant de ce constat, il n’y a qu’une chose à dire : osons...

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