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Comment améliorer la visibilité des bannières web ?

Si les interstitiels, les habillages, les publicités vidéo envahissent le web, il est temps pour vous de revoir votre publicité. Il ne s’agit pas d’innover ou de révolutionner le branding digital world, mais de réfléchir tout simplement à la meilleure manière de placer votre bannière. Alors, comment positionner votre bannière pour améliorer sa visibilité ? Pourquoi vos publicités web ne sont-elles pas visibles ? Si pour certains d’entre vous, l’optimisation de placement de bannières suffit pour que la publicité soit plus visible, d’autres y donneront une toute autre considération.  Il fut un temps où la création d’une bannière 468×60 et le repérage de sites à trafic élevé suffisaient. Le web a bien évidemment muté depuis ! D’après les dernières données d’Infectious Media, 54% des bannières web ne seraient pas vues alors que les annonceurs ne paient que pour les publicités vues. Parmi les raisons responsables des publicités non vues : -        La bannière est hors du champ de vision et l’internaute ne scrolle pas  -        Les bannières ne se charge pas (problème du navigateur, de connexion) -        Les Plug-Ins ne sont pas pris en charge sur le navigateur de l’internaute -        Les pratiques frauduleuses -        Les systèmes antipub -        Les changements d’onglets de navigation -        Les robots non frauduleux Comment améliorer la visibilité de vos bannières ? Pour y remédier, l’habillage demeure sans surprise le meilleur format en termes de visibilité et de qualité d’exposition publicitaire. Toutefois, vous pouvez vous baser sur les éléments suivants pour choisir le format publicitaire, correspondant le mieux à votre créa et votre objectif : -        Skyscraper : A privilégier pour des messages courts (Bon taux de visibilité pour une durée moyenne) -        Pavé : A privilégier pour les vidéos et messages longs (Taux de visibilité moyen pour une très bonne durée) -        Magazine : A privilégier pour des grandes créa portantes de messages forts (Taux de visibilité moyen pour une bonne durée) -        Habillage : A privilégier pour des opérations spéciales Infectious Media vous propose aussi plusieurs solutions :     Qui dit taux de clics, dit visibilité : NON ! Evidemment, la performance d’une campagne publicitaire ne se mesure pas au nombre de clics cumulé. En effet, les publicités les plus visibles ne sont pas forcément celles les plus cliquées. D’autres paramètres rentrent en jeu comme la durée de visibilité des pages, les jours de semaine où apparait la publicité (Le taux de clics en weekend est plus supérieur que le reste de la semaine), la durée d’exposition de l’internaute à la bannière ou encore la fréquence d’apparition de la publicité.  Après avoir passé en revue le comment du pourquoi autour de la visibilité des bannières web, nous vous proposons de mettre en exergue ces conseils, pour revenir d’ici quelques jours et nous montrer le résultat ! A vos...

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Quand Bitstrips s’invite chez les marques !

Créé en 2008, ce n’est que depuis quelques mois que la sphère digitale a été ensevelie  par l’ouragan Bitstrips. Cette dernière est une application, qui vous permet de raconter votre vie en bande dessinée, dans un esprit décalé. Comme les réseaux sociaux, Bitstrips est animé par le duo curiosité-égo qui vous pousse à partager régulièrement les moindres bribes de votre vie.   Ayant compris le véritable enjeu qui se cache derrière cette application,  certaines marques songent déjà à l’utiliser pour communiquer sur les réseaux sociaux … Reste à savoir, comment elles s’y prendront ?! Bitstrips, une question d’engagement … Si les posts images ont une viralité plus élevée que celle des statuts et des liens partagés, Bitstrips étant une image BD accompagnée d’un texte, représente la viralité en soi. Dans un cadre commun à votre quotidien, prenez quelques avatars, incorporez y des émoticônes pour qu’ils prennent vie, saupoudrez les par une légende ou des bulles de dialogue pour agrémenter la situation (ne négligez pas le BA-BA du CM : point d’exclamation, phrase courte et simple, dénuée de fautes d’orthographe), mixez le tout … vous avez réussi à concocter pour votre marque, la recette idéale pour un engagement sans faille ! Le nouveau storytelling vient de naître ! Fun, jeune et sympa, cette application représente un moyen efficace pour titiller l’intérêt de vos fans. Evidemment, l’histoire que vous essayez de raconter doit être compréhensible (langue, jargon, ton …) et claire, afin que votre cible s’y reconnaisse. Que ce soit pour retracer l’histoire de votre marque, montrer les différentes situations d’utilisation de votre produit/service ou bondir sur un évènement en relation ou non avec votre marque, il existe moult usages à Bitstrips, à vous de choisir celui qui vous conviendra le mieux … Un nouvel outil à l’arche des marques : TF1 fait partie des marques ayant réellement cru à l’application, jusqu’à en faire un nouveau moyen de communication. A la finale de Danse avec les Stars 4,  la chaîne télévisée a proposé à ses fans de soutenir leur couple préféré en créant des vignettes Bitstrips. Les plus créatifs d’entre eux ont reçu une vignette dédicacée par la star.  Nrj12 a aussi surfé sur la vague, pour illustrer les grands moments de l’émission « Allô Nabilla » lors du 3ème épisode. La vignette a été partagée sur le compte Twitter mais également sur le compte Instagram de Nabilla.   A son tour, le Crédit Agricole n’a pas hésité à démocratiser son community management, en se mettant à Bitstrips.  La dernière à avoir cédé à la tentation Bitstrips est l’équipe CM du candidat à la ville Pau pour 2014, Yves Urieta. Une autre manière de faire entendre sa voix sur les réseaux sociaux !  Bitstrips a bouleversé le discours marketing des marques sur la toile et a inventé une nième manière de communiquer entre amis. Mais d’après vous, est-ce que Bitstrips est une simple...

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Monoprix, génie du packaging !

Ces dernières années, nous sommes passés du marketing de masse au marketing One-to-One. C’est dans cette optique que la personnalisation apparaît comme LA tendance à suivre. Elle vous permet de penser « individu» avant « consommateur », de tisser une relation particulière avec celui-ci et de gagner sa confiance et le fidéliser. Après Coca-Cola, M&MS et Nutella, c’est au tour de Monoprix de se mettre à la personnalisation du packaging en marque propre.  Subséquemment à la vague de packaging portant sur les jeux de mots (opération signée Havas City) de l’automne dernier, Monoprix remet le paquet pour clôturer l’année en beauté.   Audacieuse, la chaine alimentaire française a lancé une campagne de communication, déclinée en application Facebook nommée «Les messages en boite». Cette dernière permet aux fans de personnaliser leurs packagings sur des produits prédéfinis, accompagnés de messages teintés d’humour et ajustés aux thèmes proposés (Anniversaire, nouvel an, mots-doux, naissance, réussite), à envoyer en guise de cartes de vÅ“ux.   La création d’emballage personnalisable prend 3 minutes et permet d’introduire son message et le partager avec les personnes de son choix. -  Cliquez sur l’application « Les messages en boite », sur la page Facebook de l’enseigne  – Sélectionnez votre emballage – Personnalisez le background – Ecrivez le prénom de la personne à qui vous souhaitez offrir le produit  Et le tour est joué ! Une « trame » toute prête aux fans mais qui a tout de même permis à Monoprix de booster son image. Cette censure créative apparait comme un obstacle aux débordements rencontrés l’année dernière, qui lui ont valu d’être à deux doigts d’un bad buzz. D’après-vous, quel sera le prochain coup de génie de...

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MisterGoodDeal, le pari perdu de M6

Dans une vision de rachat total, MisterGoodDeal s’est vu cédé par M6 au 3ème européen de la distribution d’électroménager et d’électronique en ligne, Darty. Selon le communiqué, la négociation autour du pionnier du e-commerce français comprend les instances sociales et l’accord des autorités de la concurrence. Aux dernières nouvelles, le site de vente en ligne a plus de 170 salariés et a déclaré avoir 128,1 millions d’euros en 2012. Cependant, ses pertes sont estimées à plusieurs millions d’euros. Pourquoi M6 Groupe a décidé de s’en séparer ? Dépenses faramineuses,  e-shoppers  infidèles,  pertes au niveau de logistique, le gouffre ne cesse de se creuser. Toutefois, certains acteurs comme le géant américain Amazon s’en sortent plutôt bien. Ce dernier n’a pas hésité à adopter une politique d’expansion, malgré une perte de 41 millions de dollars. Conjoncture économique difficile ou réel besoin de s’en débarrasser, MisterGoodDeal aurait été vendu à UN euro symbolique. Cette décision a permis à M6 d’éponger la perte et de sortir gagnant de la négociation.    Le pôle de vente à distance axé sur les activités de télé-achat et certains sites est toujours présent. Est-ce que M6 lancera un autre pari en créant une copie de...

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Facebook serait-il sourd aux cris des « Haters » ?

Si le bouton « Dislike » reste le plus demandé par les utilisateurs, il ne sera pas aussitôt créé. Jugé trop négatif, il ne représente pas pour l’instant un objectif en tête de mirs selon les ingénieurs de Facebook. Toutefois, le leader des réseaux sociaux planche sur un nouveau bouton qui va surprendre plus d’un. Lequel ? Un peu de paix dans ce monde de brutes ! Avec les derniers évènements tragiques (Mort de Nelson Mandela, de Paul Walker ou encore l’Ouragan Haiyan), aimer une photo, un statut ou un lien mettant en scène le malheur des autres, serait un signe de mépris. Ainsi, une nouvelle alternative au «Dislike », plus adéquate aux statuts tristes ou embarrassants sur Facebook verra bientôt le jour. La firme au pouce bleu envisagerait d’introduire un nouveau bouton, « Je compatis ». Soit tu aimes, soit tu compatis ! Telle une boite à idées géante, la firme de Palo Alto a réfléchi à organiser un hackathon qui lui permettra d’insuffler un vent de créativité et aboutir à des futures applications plus innovantes. C’est suite à ce type d’évènement que le nouveau bouton a été créé. Dans le monde de Bisounours, tous les boutons sont en adéquations avec vos sentiments, il ne suffit que de cliquer. Ce n’est pas le cas sur Facebook. Le mode opératoire des boutons sur le réseau social est bien simple : « Si une personne publie sur son profil Facebook, un statut EN PRECISANT qu’elle est de mauvaise humeur ou triste, le bouton «Like» disparaît au profil de « Je compatis ». La politique de l’autruche adoptée jusqu’à maintenant, pour éviter d’intégrer le bouton «Dislike», montre un certain manque d’honnêteté de la part de Facebook. Afin d’éviter tout hécatombe, vos propos sont analysés mot à mot jusqu’au point de supprimer les commentaires à caractère raciale ou injurieux. Mais est-ce une raison pour vous empêcher de vous exprimer et de clamer haut et fort  votre désarroi ?...

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