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Your street is mine (d’or)

Voici une idée marketing qui me semble bien sympathique. Le site Your street (actuellement encore en béta test sur la zone géographique états-unienne) base toute sa structure sur GoogleMaps. Et ce pour tisser une vraie info de quartier. En gros, Your street reproduit ce qu’en Wallonie nous appelons, les « pipelettes ». Ou encore les « cancans ». Tout d’abord, vous entrez dans le site par le biais d’une ville, d’un quartier, d’un code postal. Ensuite, une interface sous forme de carte, vous fournit trois catégories d’infos liées à ce quartier : Des infos issues de la presse (que l’on peut commenter). Des infos issues de conversations de membres (évidemment que l’on peut commenter aussi). La présence de voisins inscrits (profils). Bref, tout pour constituer une bonne petite communauté. Sans surenchère de widgets et autres gadgets ajax. Actuellement, le business model repose sur les adwords de Google. Mais nous pouvons supposer que les véritables clients soient le commerçant et l’entreprise qui sont implantés dans les rues. Bref, dans sa version béta, le site est convivial et pratique. Reste à savoir s’il le restera dès que l’info s’additionnera jusqu’à recouvrir toute la carte. Imaginez si tous les commerçants de la rue de la montagne (Charleroi) ou de la rue Neuve (Bruxelles) devaient être présents sur une telle carte… Mais j’imagine que dans un tel cas de figure, Google activerait ses fameux filtres. Style, agent 212 de quartier....

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Entreprise 2.0 en quelques slides

Entreprise 2.0, un concept qui peut amener à débattre. Et notamment concernant la question de son périmètre. On peut en arriver à considérer le Web 2.0 – communication, e-marketing, e-commerce – à tout ce qui relève de l’extérieur et l’entreprise 2.0 à tout ce qui se passe à l’intérieur. Une segmentation un peu facile pour l’auteur de ce billet. L’enjeu selon lui est plûtot de contrôler et traiter ce qui se passe à l’extérieur plus vite que ne le ferait la concurrence. Fidéliser les consommateurs, les amener à en parler,… Pour compléter ce calcul de surface, quelques slides pour comprendre le principe. Ou encore la présentation de Charlie alias Monsieur Entreprise 2.0...

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OpenSocial vs Maka Maka

Nous n’en avions pas encore parlé sur MOB. Mais la contre-attaque de Google face à Facebook (qui a décidé d’incorporer Microsoft dans son capital, plutôt que le géant de MoutainView) est imminente. Cette offensive (secrète) portera le nom de « Opensocial » et non « Maka Maka » comme (non)annoncé. Nous devrions en savoir plus ce 5 novembre, date officielle de l’ouverture de la bataille. Google présentera donc une solution de réseau social ouverte à 100% aux programmeurs, alors que Facebook ne l’est qu’ « à » 98 (bien que certains développeurs contestent ce « 98 » et le considèrent d’avantage en 1%, vu l’hermétisme de Facebook lorsqu’il s’agit de sortir de l’info technique). Certains voient dans cette contre-attaque, un développement massif du déjà existant Orkut que Google avait inauguré en 2004. Cependant, la révolution pourrait être encore plus étonnante que cela : il s’agirait ni plus ni moins de dépasser le projet de développer un méta-réseau social pour s’orienter vers une solution d’une séries d’API qui permettent à des développeurs de créer des applications compatibles avec toutes les plateformes sociales qui désirent participer au programme. « Il y a 3 types d’APIS: celles pour le profil utilisateur, celles pour le réseau social et celles pour le flux d’activités (news feed). Si un site accepte de participer, il devra retourner les données appropriées en utilisant ces APIs. » Ouriel Ohayon Initialement, le nom de code de ce projet était « Maka Maka ». Mais, en définitive, il portera le nom de « Opensocial ». A suivre…   Voici déjà l’info présentée sur Webbalert....

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15 utilisations professionnelles pour Facebook

Facebook transforme sa verticalité en horizontalité. Après quelques mois d’existence et un solide ancrage dans les facs, voici que la plate-forme phare du moment tente d’attirer le monde du networking. Mais pratiquement comment faire ? Sur ConseilsMarketing.fr, un convaincu vous démontre les multiples débouchés commerciaux qu’offre la plate-forme. On vous en propose ici une version expurgée. 1. Communiquez sur un évènement et faites du buzz marketing sur un sujet: Pour cela vous avez plusieurs méthodes: utiliser votre réseau et ceux de vos amis pour lancer une chaîne (ex: un concours pour le lancement d’un nouveau produit), offrir du gratuit pour attirer vos prospects vers un service payant (ex: offrir un ebook), informer vos contacts sur une manifestation ou une JPO que vous lancez, rejoindre des groupes sur un sujet donné et leur faire part de votre actualité… Si vous publiez sur votre profil toutes les infos sur cet évènement vous pouvez même gérer les inscriptions, encaisser des paiements (via paypal…), mettre en ligne des FAQ, lancer des invitations, donner des résultats post évènement… 2. Recherchez des partenaires ou des clients : Dans Facebook, il suffit de piocher dans les groupes de ses contacts pour trouver des groupes ou des soirées réseau potentiellement intéressantes. Et Facebook vous permet d’être encore plus proactif en recherchant vous-même des personnes dans un secteur particulier ou un groupe sur un sujet donné pour ou encore pour contacter directement les décideurs (sans subir le barrage de la secrétaire…). 3. Améliorez votre référencement. Depuis l’ouverture de Facebook aux moteurs de recherches une partie des informations que vous saisissez dans Facebook seront indexées sur Google (votre sites internet, votre nom…). Toutes les informations que vous et vos amis vont rentrer vont donc améliorer votre positionnement sur Google (nb: à ce jour l’impact n’est pour l’instant pas encore estimable…).       4. Tenez vous au courant sur l’actualité: Vous souhaitez en savoir plus sur le Buzz marketing, sur une marque… c’est très simple: créez un groupe sur le sujet, fédérez d’autres utilisateurs, amorcez le groupe avec quelques articles fédérateurs et c’est parti ! Voici une liste de groupes incontournables sur Facebook: – Facebook for business : pour tout savoir sur l’utilsation professionnelle de Facebook. – Web Strategy Group : une communauté vivante avec de nombreuses infos pertinentes. 5. Obtenez des réponses à des questions pointues: Tout comme dans Yahoo Question / Réponses, (et depuis peu sur Linkedin.com), vous pouvez poser des questions à votre communauté ou à l’ensemble des membres de Facebook. Cette intelligence collective vous permet donc d’obtenir des réponses précises et ciblées qu’un moteur de recherche ne pourra jamais vous. 6. Utilisez un nouveau média de communication ciblé: Facebook permet de publier sur son site des « flyers » publicitaires (des mini skyscrapers » que vous composez en moins de 2 minutes avec un outil prêt à l’emploi)...

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(Al)chimie du marketing

Ce soir, on révise son tableau de Mendeliev. Enfin, presque… Après la revisite du métro de Tokyo façon 2.0, voici le tableau des éléments marketing revu par Kolbrener. Après tout, l’art du marketing, c’est de trouver la bonne formule, dusse-t-elle être chimique ou non…           (cliquer sur le...

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Web3, quatrième!

La quatrième édition du place-2-be des blogeurs, le Web3, aura lieu les 11 et 12 décembre prochains, à Paris. Certes, c’est l’annoncer tôt. Mais vu le prix d’entrée (950€… sauf si vous réservez avant minuit), autant vous y prendre à l’avance pour gentiment persuader votre patron de mettre la main à la poche… Que dire de cet événement? A sa source, il y a l’incontournable et néo-expat’ Loïc Lemeur et toute sa ribambelle d’amis tous aussi pertinents les uns que les autres en ce qui concerne le web 2.0 et les blogs. Ici, on vous propose même de participer au débat. Cette année, ils escomptent rassembler 2000 participants venant des 4 coins du monde pour parler perspectives du web collaboratif et de toutes les technologies présentes et futures qu’il suppose. Le tout dans trois espaces : « a Main room, a Startup area and a dedicated networking area ». J’iamgine que nous aurons l’occasion d’en reparler d’ici là. Surtout qu’entre-temps, plus près de chez nous, tout aussi intéressant et beaucoup moins cher, il y a ça : le premier forum du marketing alternatif....

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Rentabilisez vos campagnes vidéos

C’est la société Streametrics qui vous le propose grâce à un nouveau logiciel intitulé « Vstat ». Streametrics s’enorgueillit de proposer ainsi « la première solution de vidéo analytique indépendante qui permet de mesurer en ligne et en temps réel le comportement des internautes en interaction avec votre contenu vidéo ». De toute évidence, ce logiciel fonctionne comme un outil standard d’analyse de ROI. Il propose un tableau de bord, une analyse de statistiques et des données techniques des visiteurs. Par ailleurs, il supporte tous les formats, y compris le Flash.       Streametrics justifie son nouveau produit en déclarant qu’il « répond à un besoin immédiat en offrant une nouvelle génération d’outils de mesure qui aide désormais diffuseurs et annonceurs à monétiser leur contenu vidéo »....

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Communiquer ne suffit plus.

Une récente étude de l’agence Breek démontre qu’asperger sa cravate avec un arroseur de jardin ne signifie pas qu’on mouille sa chemise. Ladite agence a entrepris une importante analyse des politiques environnementales affichées de 30 grandes sociétés. Résultat : trop de greenwashing ! Communiquer ne suffit plus. Il faut désormais BIEN communiquer. Et par ailleurs, communiquer du contenu réel. C’est en gros, le sujet de l’étude citée plus haut et qui s’est donné pour objectif d’évaluer le positionnement de 30 grosses entreprises internationales en ce qui concerne leur CSR, c’est-à-dire, leur implication et réactivité dans l’impact qu’ils ont sur leur environnement (traduit en français par RSE : Responsabilité Sociale de l’Entreprise). Il en ressort : 1. Cinq bonnes pratiques à observer : Faciliter l’accès à l’information : plusieurs modes d’accès aux informations doivent être proposés au sein de la rubrique dédiée. Engager l’entreprise : il est essentiel de montrer la motivation et l’engagement de la direction. Imager le discours : il est essentiel de proposer une présentation didactique du métier de l’entreprise, de ses actions et des résultats obtenus et à venir. Crédibiliser la stratégie : le site doit présenter des objectifs clairs et chiffrés, dont l’atteinte -ou non- sera facilement vérifiable et indiscutable. Il faut également détailler chaque action en fournissant un maximum d’informations concrètes. Objectiver les résultats : Les résultats obtenus par l’entreprise doivent être présentés dans un référentiel international reconnu (UN Global Compact, GRI, etc.) et validés par un cabinet de conseil spécialisé indépendant. 2. Nous vous laissons le loisir de découvrir les résultats des meilleurs élèves de la classe (verte). Ou, du moins, les moins mauvais… 3. Quoi qu’il en soit, Breek conclut son analyse en déplorant : Référencement CSR / RSE : 5 mots clés saturés & 6 mots clés sous exploités. Beaucoup de bruit, peu de contenu de qualité. Un niveau de qualité très disparate. Le wording est encore mouvant.   Pour prolonger le sujet, voici un son de cloche similaire...

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Référentiel des métiers

Un webmaster éditorial, un chargé de veille, un consultant, un knowledge manager, un records manager, un iconographe… on voit tous plus ou moins ce que c’est. Plus ou moins… L’ADBS a eu la très bonne idée de publier un Référentiel des métiers dont l’objectif est de clairement viser d’avantage le « plus » que le « moins ». Une bonne entrée en matière pour se préparer à cet événement. Ce document propose, de manière ultra synthétique, une nosographie des métiers précités (et d’autres) reprenant la définition de la fonction, ses différentes appelations, son contexte d’optimisation, les missions afférentes, les compétences nécessairement acquises par celui qui se donne le droit de l’exercer, ses aptitudes et l’environnement d’exercice. Un document très utile pour savoir qui fait exactement quoi (ou doit faire) dans votre entreprise. Ou pour déceler LE maillon opérationnel qu’il vous manque pour décupler votre...

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