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Référencement et optimisation marketing

Vous avez décidés de travailler au référencement de votre site pour qu’il soit plus visible dans les moteurs de recherche par vos différentes catégories de prospects. BRAVO ! C’est une étape importante dans la gestion de votre site web et qui devrait lui assurer sa pérennité. Sachez néanmoins que le référencement est un vrai métier. Et que l’art de bien référencer son site réside moins dans le respect de règles strictes que dans la création d’une réelle stratégie liée à votre domaine d’activité. Mais comment faire pour qu’un maximum de visiteurs se rende sur votre site ? Véronique Tillaud sur le blog de l’agence web sqli consacre un article fort intéressant sur le sujet et plus particulièrement sur le référencement de sites web localisés. A savoir que la localisation d’un site web est une discipline récente qui consiste à adapter le site web en question à son public cible. Plus d’informations sur cette pratique sur un autre de ces posts. Ainsi, pour référencer son site, il s’agit de considérer en premier lieu votre Search Engine Marketing (SEM) autrement dit comment vous allez augmenter la visibilité de votre site web dans les moteurs de recherche. Ce dernier se réalise de deux manières. Le premier, référencement naturel et appelé aussi Search Engine Optimisation se réalise en effet de manière naturelle. Il s’agit de la dénomination de vos adresses URL, l’utilisation des balises meta ou encore la fréquence à laquelle vous utilisez certains mots clés… Le deuxième, référencement payant consiste en l’achat de mots clés ou campagne de liens sponsorisés ou PPC « pay-per- click » ou « paiement au clic ». Pour cela, le rapide schéma qu’elle nous propose pour distinguer les deux pratiques sur une page de résultat de Google. Dans les quelques étapes importantes qu’elle nous suggère pour optimiser le référencement marketing de son site. ETAPE 1 « Définir une stratégie de positionnement en adéquation avec les principaux objectifs marketings de la société (…) architecture du site, contenus, public cible et comportements de recherche, concurrents locaux et globaux, moteurs de recherche, annuaires et portails stratégiques. » ETAPE 2 « Optimiser le référencement naturel (…) liste de mots clés pertinents par rapport au contenu, liste de mots clés dans la langue cible. » ETAPE 3 « Mettre en place une campagne de référencement payant. » ETAPE 4 « Tracker les campagnes et les pages du site web (…) connaître le potentiel de prospects sur d’éventuels nouveaux marchés ; bénéficier d’un retour d’informations sur les besoins des consommateurs ; de réduire le risque lié aux investissements étrangers. » Avec ces quelques étapes, nous voilà propulsés dans les premiers résultats de recherche ? Pas si sûr car l’optimisation du référencement d’un site d’un point de vue marketing demande de longues heures d’investigation pour comprendre ses prospects, leurs comportements de recherche et les univers dans lesquels ils gravitent et ensuite se positionner sur des mots clés. A ce propos, pour...

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Et si on se détendait en attendant la pizza ?

Et pourquoi pas en se préparant une pizza… mais de manière virtuelle. Aux Etats-Unis, Dominos pizza vous propose de créer en ligne la pizza de votre choix pour passer commande ainsi que de suivre en ligne la progression des étapes de sa livraison. Quels enjeux marketing pour le groupe ? Que l’internaute pressé ait juste à déplacer sa souris pour se faire livrer ? Eviter les innombrables coups de téléphone des plus difficiles ou des indécis ? Quelque chose avoir avec la montée en puissance des applications web 2.0 ? Déclinaison future sous forme de widget ? Ce qui est sûr en tout cas c’est que le géant de la pizza à emporter a trouvé un concept e-marketing plutôt novateur et qui risquerait fort bien d’arriver jusqu’ici d’ici peu. A suivre...

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Réseaux sociaux ou notre seconde oralité

        Facebook, My Space, Second Life… autant de plates-formes dont la popularité n’est plus à démontrer. Mais quelles sont les facteurs qui concourent à un tel succès ? Pourquoi autant d’intérêt pour ce type d’outil de la part d’internautes en quête de lien social ? Un article publié récemment dans The New Yorks Times présentait les recherches académiques menées sur le sujet. En 1982, le média électronique est déjà cité comme la seconde oralité. Pour le professeur de communication et féru utilisateur de MySpace, Lance Strate de la Fordham University, « l’Oralité est la base de toute communication humaine ». Le Web et ses réseaux sociaux seraient ainsi basés sur les modèles les plus anciens de la communication humaine et rempliraient les mêmes fonctions participatives, interactives et communautaires centrées sur le présent. Et si on explore d’un peu plus près les pratiques à laquelle nous nous vouons sur ce type de plate-forme, elles seraient liées à nos réflexes les plus primaires. Ainsi, en s’échangeant un Å“uf en éclosion ou une fillette jouant du hoola-oup sur Facebook nous agirions de la même manière que les sociétés tribales troquant quotidiennement leurs armes de guerre, parures, bijoux et autres objets issus de la communauté. C’est en tout cas la thèse de Michael Welsh, professeur d’anthropologie à la Kansas State University qui voit dans l’usage du troc de nos sociétés modernes comme des sociétés tribales, une manière de projeter notre identité en démontrant notre relation aux autres. Il reste néanmoins des distinctions très claires entre la communication d’homme à homme et celle présentée comme notre seconde oralité. Ainsi, selon le professeur Lance Strate, « (…) alors que dans la culture orale primaire, je suis souvent appelé Professeur. Sur Myspace, les gens communique avec moi par le biais de mon prénom, Lance ». Une seconde oralité donc qui mettrait à plat nos codes sociaux...

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L’analyse d’un buzz

Avez-vous déjà analysé un Buzz ? Sylvain Weber, développeur web chez Dailymotion a tenté cette expérience et la relate sur son blog, jamais203.com. Après avoir réalisé avec son équipe de créatifs une vidéo virale – chorégraphie plutôt sympathique sur un escalator en mouvement qui a demandé plus de 6 mois de travail – il a décidé de ne pas en rester là et de mesurer l’audience éventuelle que cette vidéo pouvait générer sur le web. Ce dernier peut se targuer de ne pas avoir lésiné sur les moyens pour réaliser son enquête. Passant les réseaux sociaux à la moulinette, il a ainsi créé un compte « Escalator Dance » et uploadé sa vidéo sur plus de 18 plate-forme de vidéo en ligne dont YouTube, Dailymotion, MSN Soapbox, MySpace,etc. en ajoutant la même description et les mêmes tags et cela en français comme en anglais. En plus de cela, il a également relevé à la main durant 20 jours consécutifs le nombre de vues de chaque vidéo chaque jour à la même heure. Tâche fastidieuse… on peut bien l’imaginer ! Mais qui lui a permis d’analyser finement la concurrence. Moi je dis, chapeau bas pour le travail d’investigation ! Les résultats ? Un tableau Google à partir duquel il constate entre autre que: la vidéo est passée en page d’accueil de MSN SoapBox, Yahoo video et Dailymotion et a récolté plus de 150. 000 vues cumulées et dizaines de commentaires sur la vidéo On peut voir que la vidéo a impacté sur moins d’ 1/3 des plates-formes sélectionnées. Une enquête de terrain comme on les aime et qui montre une fois de plus que ces stratégies virales ne sont pas toujours significatifs de gros budget mais plutôt de temps puisqu’il a fallu, il ne faudrait pas l’oublier 6 mois pour réaliser cette vidéo. Mais un proverbe ne dit-il pas que « Lorsqu’on aime, on ne compte pas...

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Enquête sur la pub en ligne

   Dave Morgan, responsable stratégie publicitaire chez AOL évoquait sur son blog récemment les résultats d’une enquête réalisée par AOL sur les auteurs des clics de la pub en ligne. Celle-ci révèlait que 99% des internautes ne cliquent pas sur les pubs et annonces en ligne. Ainsi, seulement 1% clique au moins une fois par mois et 0,2% clique à une plus grande fréquence. Un infime pourcentage qui permet néanmoins à des diffuseurs tels que Google de réaliser des chiffres d’affaire en terme de millards de revenus.                                                                                                Mais qui sont ces internautes qui cliquent ? Apparemment, un public plutôt féminin et plutôt âgé dans la catégorie que les marketers appelle « femme ménagère de – 50 ans » et dont on sait qu’il est le coeur de cible du marketing.  Et pourquoi cliquent-ils ? L’étude a permis de formuler de nouvelle hypothèses des raisons qui amènent à cliquer sur ces pubs. Dave Morgan identifient les plus « gros cliqueurs » comme originaire de foyers modestes, moins éduqués que l’utilisateur moyen et vivant en dehors des régions métropolitaines. Ce sont des personnes qui cherchent au travers des réseaux sociaux, un moyen de rencontrer de nouvelles personnes (alors que l’utilisateur moyen les utilise pour maintenir ses contacts). Un ensemble de caractéristiques qui font d’eux la cible de ces campagnes publicitaires en ligne.   Partant de ces hypothèses, Dave Morgan s’interroge sur le fait que le marketing web s’appuie ainsi sur une petite fraction de la population ? Et suivant ces propos, « Le marketing web serait-il du ressort des laissés pour comptes et de ceux qui connaissent le plus de difficultés économiques et sociales ? Et qu’en est-il d’un point de vue moral et éthique de ce modèle économique qui se base ainsi sur les plus pauvres ? » Un regard assez critique sur la publicité en ligne mais qui méritait d’être posé...

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