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Le leopard mange le tigre

More fun & more productif. Voilà ce que nous promettent les champions target= »_blank »>auto-proclamés de la convivialité : Mac. Le maître-mot de ce nouvel OS (operating system) qui annonce plus de 300 nouveautés est, comme souvent, le raffinement de la convivialité. Pour autant, les innovations technologiques ne manquent pas. Dans cette première version de Leopard, nous noterons des améliorations ultra-séduisantes du Finder et de son Quick Look associé. Ce dernier permet de naviguer à travers ses documents multimédias très rapidement. La Time Machine nous a assez impressionné ; un système back up qui permet de véritablement naviguer dans la ligne du temps de vos productions (et destruction) de documents. Ce qui devrait intéresser les TPE ou associations, c’est la nouvelle version de Mail. La production personnalisable d’emails (et de newsletters) HTML est vraiment très aisée. Evidemment, ça ne remplace pas les logiciels dédiés à ce genre d’opération… Autre détail : les options fun de Ichat. Un petit exemple : vous pouvez afficher votre frimousse lors de conversation en chat. Jusque là, rien de neuf. Mais vous pouvez aussi placer en background de votre minois, un décor animé. Certes, c’est amusant. Mais imaginez les débouchés marketing qu’offre ce petit gadget…   Ceci dit, gros bémol qui fait aussi la marque de fabrique de la Pomme : le prix. Mac, ça coûte cher ! Mais les aficionados de la marque ne cessent de le répéter : quand on aime, on ne compte pas… Certains irréductibles PC-istes diront : tout ceci est bien beau mais ne sert pas à grand-chose. On répondra ceci : alors, pourquoi Microsoft tente-t-il de coller au train sexy de Mac avec Vista ? Source : http://gizmodo.com/ –> Visionner la visite guidée d’Apple...

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L’e-ader d’opinion

Qui est l’e-ader d’opinion ? Sans conteste, il est la première cible du marketing viral. A tel point qu’on pourrait orthographier ce néologisme comme suit : l’e-adhere d’opinion. Mais encore ? Nous savons que la participation sur le web 2.0 n’est pas équitable. On estime, par la règle des 1 % , que 2/3 du contenu web est rédigé (où posté) par 1% des internautes. Ce pourcent se multiplie par 4 dans certains cas (comme celui de wikipedia ). L’e-ader d’opinion, c’est lui, ce petit pourcent qui vaut de l’or. Vieux comme le monde ? A bien y réfléchir, est-il un nouvel avatar produit par la révolution socio-technolologique du web? Et bien non, l’e-ader d’opinion est aussi vieux que l’humanité. Dans les religions, on l’appelle le « prophète », l’ « apôtre », le « gourou ». Dans les guerres, il est le héros patriote qui offre son poitrail médaillé à la mitraille ennemie. Sur les estrades politiques, il est celui qui, d’une voix de stantor, lance la mode de telle fleur ou de tel fruit aux couleurs psychédéliques. A la tête des syndicats, il est ce gavroche têtu qui gravit les barricades, armé d’une simple fourche à moitié édentée. En pub, c’est la mère Denis.             Cher blogueur, je vous aime. Avec l’émergence du 2.0 et de son cortège de blogs et de communautés, le leader est devenu l’e-ader. Les grands comptes ont commencé à en prendre conscience. Et nombreux sont les e-aders qui témoignent de l’intérêt progressif des marques pour leur plate(s)-forme(s). Cela se traduit par des envois de package-test de produits ; des licences de logiciels, des invitations tout frais payés à des symposiums, des congrès, des salons, des we de thalasso, … Moi non plus ! Cependant, l’e-ader, qui connaît bien mieux le « marché » des communautés virtuelles que ces grandes marques encore trop empêtrées dans le pluri-canal, a tendance à résister. Parfois par élan éthique, parfois dans son propre intérêt. En effet, son lectorat attend de lui une indépendance totale ; une compromission évidente ou non-justifiée ruinerait son influence, une influence bâtie la plupart du temps sur le long terme. Nous en sommes donc encore au rapport de force déjà montré ici . La javanaise Il ne fait aucun doute que, finalement, le Marché réussisse à s’incruster dans le web 2.0. La question est la suivante : passera-t-il par ses bonnes intentions de permission marketing ou procèdera-t-il par une relative intoxication du média web ? La réponse n’est pas du côté du Marché. Il est du côté du citoyen-consommateur. *** partage cet article avec un ami très cher***...

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Mesure de la pub en ligne: l’effet viral au premier rang

D’après une récente étude publiée par le groupe Nielsen, la publicité diffusée par le biais des canaux traditionnels serait plus crédible que celle issue du format web. Ainsi, seulement 25% des consommateurs feraient confiance aux bandeaux publicitaires. Les « adwords » et annonces textuelles dans les moteurs ne récolteraient que 34%. Mais si il faut retenir une donnée positive de cette étude, c’est que 61% se référent plus facilement aux commentaires laissés par les internautes sur les sites de type Ciao ou encore Amazon. Cela confirme une fois de plus que l’aspect viral et bouches à oreilles des communautés est un facteur décisif dans le choix des internautes exposés à la publicité sur le...

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Quelle réciprocité entre espaces web ?

Sur l’échelle dite participative des médias, comment évaluer le média Web et particulièrement celui du 2.0. ? Développé par le cabinet Forrester, ce canevas méthodologique montre l’étalonnage différent qui existe entre les différents sites et outils web et plus particulièrement 2.0. Ceci permettant de positionner sur une échelle de niveaux le particularisme de certains outils moins participatif tel que Wikipédia comparé à d’autres fortement orienté communauté tel You Tube. Partant du constat que trop souvent les entreprises utilisent les technologies de manière isolée l’étude initiale, « Social Technographics » disponible ici, veut approcher les médias d’une manière plus cohérente. Il s’agit de se concentrer sur les objectifs des utilisateurs et la relation que l’entreprise veut établir avec eux. Le degré de participation catégorisé sous six niveaux doit analyser les publics selon leur participation à différentes catégories des sites web et communautés tels Myspace. Si l’étude est certes payante, outil marketing de Forrester oblige une version (sûrement plus « light ») est disponible sur simple demande à son auteur, Charlene Li. Et pourquoi ne pas profiter de cette grille d’analyse pour évaluer son plan marketing...

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Métro, boulot, 2.0

L’agence japonaise de stratégie Internet iA vient de publier une représentation graphique des acteurs majeurs de l’internet sur base de la carte du réseau de transport en commun de Tokyo. Ce mind map d’un genre assez surprenant est sensé représenter la position de chacun, suivant leurs différents axes d’influence et de modus operandi ; comment ils s’interconnectent entre eux , et comment ils s’insèrent dans les grandes tendances du Web. Le premier qui propose un décryptage exhaustif de ce plan gagne un week end de stage pédalo sur les lacs du barrage de l’Eau...

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Cibler les actions des internautes

Vous souhaitez investir dans le web mais auparavant vous aimeriez savoir qui fait quoi. Chez Forrester, ils se sont déjà posé la question. Voici les résultats sous forme d’un grands schéma récapitulatif. Au niveau des tranches d’âge active, pas de réelle surprise : les 15-40 tiennent massivement le crachoir. Pour le reste, lecteurs et rédacteurs se partagent le gateau assez harmonieusement. On constate que les réseaux sociaux ont le vent en poupe. Ce n’est pas les actionnaires de Facebook qui diront le contraire (existence = 1 an ; valeur actuelle : 15 milliards $ et d’après certains ce n’est pas fini). Cliquez sur le schéma pour le visualiser en grandeur...

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R est-ce S ?

On me le demande encore : qu’est-ce que c’est qu’un fil RSS ? Il existe une grande variété de définitions qui précise en quoi/pourquoi/comment cette famille de formats XML sont utilisés pour la syndication de contenu Web. Cela va des définitions succintes ou plus longues jusqu’aux explications geek très techniques. Evidement, comme toute nouvelle technologie émergeante et prometteuse, elle attise aussi les polémiques et les supputations. Pour certains, les fils sont même un genre de graal que l’on cherche à débusquer y compris où il ne se trouve pas… Nous avons même trouvé des cours téléchargeables en pdf !   A vous de vous faire votre opinion. Cependant, sachez qu’une expérience utilisateur est la meilleure des manières pour comprendre l’intérêt de cette technologie qui est d’une telle simplicité qu’on se demande encore comment il est possible qu’elle soit si complexe à expliquer en 2 mots.   Ceci dit, si malgré toutes ces infos, vous n’y pigez toujours que pouic, voici un argumentaire publicitaire qui devrait tout de même éclairer votre lanterne. Sources du schéma ci-contre : ifeedgood La tribune… en décaléenvoyé par...

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Du bannering comme on en veut

Il y a peu, nous vous parlions de Newsletterarchive, un site qui, comme son nom l’indique, compile et accumule des newsletters sans aucune discrimination. A contrario, le travail de Bannerblog est de sélectionner ce que ses webmasters estiment être les meilleures bannières de la toile. Pourtant, d’un point de vue marketing, l’efficacité des bannières est en sérieuse baisse d’estime. Le taux de transformation lié à son usage se réduirait comme peau de chagrin. Et l’on en vient à se poser la question : quel avenir pour ces petites animations Flash ? De l’affichage de prestige ? A moins que la renaissance de ce call-to-action passe tout simplement par le talent, la créativité et l’interactivité. Car il faut bien le dire, la plupart du temps, ces banners et autres skyscraper polluent nos pages web et claironnent le discount tapageur. Nous vous invitons donc à farfouiller parmi la bibliothèque de Bannerblog et d’y puiser les meilleures idées pour dynamiser vos buzz et ventes online. Mode d’emploi : effectuer vos recherches ou par date ou par brand. Deux ou trois bannières qui nous ont intéressés : http://www.bannerblog.com.au/2007/08/ariel_think_clean.php : cette bannière est à mon sens un bel exemple d’audace marketing car la marque n’apparaît que si l’internaute le souhaite mais en plus, fait preuve d’intuition… http://www.bannerblog.com.au/2006/01/mortein_mona_lisa.php : bannière bien iconoclaste. http://www.bannerblog.com.au/2006/01/nokia_8800_the_inter.php : bannière qui joue sur le témoignage et la notoriété. Et bien d’autres à...

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Invest in Germany… pourquoi pas en Wallonie ?

Les 29 et 30 octobre, à Francfort, se tiendra la 3e Conférence mondiale «Plastic Electronics». L’Allemagne est un des centres d’innovations les plus importants en matière d’électronique imprimée, et la promotion des investissements dans ce secteur est assuré par Invest in Germany. Bien que naissance, l’industrie d‘électronique imprimée est extrêmement prometteuse. Depuis 2005, Invest in Germany a su mobiliser une équipe de spécialistes afin de soutenir les investissements dans ce domaine et ce, à tous les niveaux, du développement à la production en série. Il y a peu, Oliver Seiler, gestionnaire principal de la division Électronique pour Invest in Germany, déclarait : « Nous considérons l’électronique imprimée comme une industrie ayant beaucoup de potentiel pour les investisseurs et, par conséquent, nous préparons à participer à plus de projets dans ce domaine dans un proche avenir ». En parlant de proximité, Dresde, véritable bassin de cette émergence de nouvelles technologies européennes, n’est qu’à quelques heures de route de notre belle Wallonie. Voilà qui pourrait donner des idées à des investisseurs made in...

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Le « Golden Hello » du marketing relationnel

Les différents scandales dits des « parachutes dorés » ne seraient-ils pas une des expressions de la fracture qui sépare le « marketing de papa » du nouveau commerce ? Car si on se dirige vers une politique de transparence du produit (souhaitée – pour ne pas dire « exigée » – de plus en plus par le consommateur-citoyen), cela signifie que l’on passe par la même transparence de ses moyens de production. Réseaux sociaux, web 2.0, recoupement et dissémination exponentielle de l’information régionale/nationale/internationale, analyse communautaire des structures des lobbies, course à la hot news (blogs, e-zines) : voilà autant de paramètres (à l’influence croissante) qui permettent de penser que les arrangements sous-terrains de certains groupes financiers seront de plus en plus identifiés, décortiqués et dénoncés dans le futur. Les sites d’humeurs pertinents sont déjà légion et se caractérisent non seulement par l’acuité de leur auteurs mais aussi par leurs commentateurs qui souvent peaufinent les analyses proposées. Voici un exemple parlant. Ni juge, ni partie. Nous ne nous positionnons pas ici en juges de ces pratiques manageuriales. Et nous ne trancherons ni en faveur de la totale libre entreprise, ni en faveur de l’interventionnisme des sphères publiques dans l’équilibre économique des échanges internationaux. Notre réflexion veut se situer strictement au niveau du marketing et de l’intérêt des marques. Patron, salaud, le peuple n’achètera plus tes pots ! Qu’on le veuille ou non, pour le client lambda, les salaires – parfois mirobolants – des cadres : c’est lui qui les verse. Et lorsqu’ils sont abusifs à son sens, c’est ensuite la marque qui en paie les pots cassés. Et les processus de communication de crise ne suffisent pas toujours à rattraper les dégâts engendrés par ce qui, rendu public, prend les allures d’un scandale, d’un abus de confiance, voire d’un foutage de g***. Revoir les pratiques salariales des hauts cadres C’est dans ce cadre réflexif que l’Institut Montaigne, sous l’égide de Philippe Manière (BFM, la radio de l’économie), a entrepris une réflexion sur la rémunération des patrons. Nous vous invitons à parcourir le compte-rendu en pdf de ces premières réflexions. D’ores et déjà, en synthèse, voici ce qui est proposé : Rendre obligatoire l’existence, au sein des entreprises cotées, d’un comité des rémunérations, composé de membres disposant d’une indépendance totale à l’égard des dirigeants. Permettre à l’assemblée générale de viser explicitement les rémunérations des dirigeants. Créer un vrai statut du mandataire social sur le modèle du travailleur indépendant. Remplacer les indemnités de départ (« golden parachutes ») des dirigeants par une prime d’arrivée (« golden...

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