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La nouvelle carte bancaire d’Oberthur Technologies

Et si votre carte bancaire devenait quasiment inviolable ? C’est une réalité qui pourrait arriver dès cette année grâce à Oberthur Technologies, entreprise française crée en 1984 et spécialisée dans la conception et la fabrication de cartes à puce. Elle s’affirme comme le leader mondial dans les solutions de sécurité digitale pour la mobilité. Oberthur Technologies propose une nouvelle carte bancaire ultra-sécurisée grâce à une légère modification : le cryptogramme visuel, les fameux 3 chiffres de sécurité nécessaires à chaque achat, est maintenant contenu dans un petit écran LCD qui renouvelle ce code de sécurité toutes les heures. Ainsi, en cas de piratage de vos données bancaires, le code de sécurité changeant permettra d’empêcher les tentatives d’achat du pirate. Simple, mais redoutablement efficace. Ce petit écran LCD ne changera en rien les dimensions des cartes bancaires actuelles : même taille, même poids et une durée de vie de 3 à 4 ans pour la mini-batterie du mini-écran. Empêchant ainsi la fraude sur internet, les banques y verront également un avantage à ne plus devoir envoyer les (très) nombreux SMS permettant aujourd’hui d’assurer le système 3D secure. « L’idée était de s’appuyer sur le design de la carte bancaire existante sans le modifier, afin de ne pas déstabiliser à la fois les banques et leurs clients » – Nicolas Raffin, Directeur Marketing La carte présente donc des avantages pour tous : -Les clients n’ont aucune installation à faire et leurs habitudes ne changent pas. -Les e-commerçants n’ont également rien à modifier sur leur site ou à installer comme système particulier et la confiance des acheteurs pourrait les pousser à utiliser plus facilement le paiement en ligne. -Les banques n’auraient plus à envoyer de SMS avec quand même une solution entièrement sous leur contrôle. Au vu des chiffres de l’augmentation des achats en ligne et donc de la fraude, cette nouvelle technologie peut représenter une véritable avancée dans la sécurité du paiement en ligne : l’an passé la fraude sur les paiements par carte bancaire représentait 470 millions d’euros selon Le Figaro économie. Vendue 5€ (contre 1,50€ pour les traditionnelles cartes bancaires d’Oberthur, cette nouvelle carte devrait entrer en phase industrielle début 2015 et pourrait être disponible dès la fin du premier semestre 2015. Pour aller plus loin : Oberthur – http://goo.gl/EtjFfB RTL – http://goo.gl/8kxs5A Challenges.fr : http://goo.gl/ppEqaR Gentsid :...

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L’extension qui fait trembler Amazon (ou pas)

Amazon a encore fait les gros titres ces dernières semaines, avec une grève assez peu suivi au sein de ses entrepôts français et allemands. La CGT annonce une quarantaine de grèvistes seulement pour les manutentionnaires français. En cause selon eux, une pression très important sur les salariés, et une peur de ces derniers face au géant mondial du E-commerce. C’est sur fond de conflit social, qu’Elliot Lepers a souhaité rendre publique son application qui envisage de changer la donne. L’idée est toute simple pour le créateur de l’application, Amazon est le premier libraire au monde car son catalogue est immense ! Du dernier roman à la mode à l’édition quasiment introuvable, Amazon est capable de faire votre bonheur. Le site web est surtout capable de vous donner l’information en moins de quatorze secondes, et cela que ce soit sur votre smartphone ou sur votre lieu de travail.Mais avez vous besoin de le commander en ligne ? Il est peut être disponible chez votre libraire de quartier ! Parfait surtout si vous souhaitez le bouquiner dans les transports en commun dès votre sortie du travail . C’est à ce moment là qu’Amazon Killer, l’extension chrome, intervient. Elle va venir vous proposer directement sur la fiche produit de l’ouvrage souhaité, un bouton « Acheter en librairie » qui vous redirige vers le site « Place des libraires » en affichant les librairies proposant ce livre à la vente. Une fois sur Place des libraires, je peux aller chercher le livre en boutique et même le réserver depuis le site web. Mes reflexes de e-acheteur ne sont pas génés, et je retrouve le panier habituel m’invitant à récupérer mon livre dans les 24h ! Mais cela peut il tuer Amazon ? Non, et ce n’est pas le but, l’initiative est surtout intéressante pour mon commerçant de quartier, car cela peut lui créer un trafic ciblé sur son stock existant. A lui de conseiller d’autres ouvrages et augmenter son panier article ! Mais l’expérience est encore loin d’être parfaite ! Car on aimerait que tout soit à 100% intégré ! Par exemple, que l’on puisse renseigner sa localisation directement dans l’extension pour ne pas avoir à cliquer sur le bandeau déroulant sur le site « Place des libraires » On aimerait aussi que « Place des libraire » nous propose une API pour vérifier directement si le livre est disponible chez notre libraire habituel et que cette information s’affiche directement sur la page Amazon : « ce livre est disponible à moins de 5 minutes de ton travail » Mais cela n’est malheuresement pas encore possible, ce qui risque de frustrer le consommateur final qui préférera user de son compte Amazon Premium au détriment du commerçant de quartier. Car avec seulement 500 libraires partenaires, on assiste à de véritables zones blanches qui peuvent frustrer le lecteur (nordiste...

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42 – Born To Code

« Si la France, 5ème puissance économique mondiale, tenait sa place dans le numérique, au lieu d’être 20ème, elle aurait réglé le problème de l’emploi. » C’est par ce constat que Xavier Niel nous accueille sur le site de son école « 42 ». L’école 42 est une école française annoncée le 26 mars 2013 qui a ouvert ses portes le 15 juillet 2013. Fondée par Xaviel Niel donc, elle est également en grande partie financée par lui, même s’il compte des associés de renoms tels que Nicolas Sadirac (ancien directeur général d’Epitech), Kwame Yamgna et Florian Bucher, deux anciens cadres d’Epitech. La première rentrée a eu lieu en novembre 2013. Nicolas Sadirac Florian Bucher, Xavier Niel et Kwame Yamgnane, respectivement directeur général, directeur général adjoint, fondateur et directeur général adjoint de 42, le 26 mars 2013 lors de la conférence de presse de lancement de l’école, à Paris. ( JACKY NAEGELEN / REUTERS) C’est à cette école – qui comporte de nombreuses particularités – que nous allons nous intéresser dans une suite d’articles. Le premier concernera donc une présentation générale de l’école. Avant toute chose, il est impossible de parler de l’école 42 sans parler de Xavier Niel. On ne le présente plus : directeur délégué à la stratégie d’Illiad (qui gère Free Mobile ainsi que le fournisseur d’accès à Internet Free) et qui est donc le véritable porteur de ce projet que l’on pourrait qualifier de révolutionnaire en France. Observons 3 points qui font de ce projet une véritable nouveauté dans le paysage français. 1er point : Une initiative 100% privé. Comme expliqué précédemment, tout ce projet vient de Xavier Niel qui a un but principal : « Sortir 1.000 jeunes par an de la galère en leur donnant les outils pour devenir des superstars de l’informatique » et ainsi résoudre le problème du manque de développeurs informatiques dont souffre la France. Pour cela, la 9ème fortune de France n’a pas hésité à investir plus de 60 millions d’euros afin de pouvoir accueillir les quelque 1.700 élèves faisant partie de l’aventure pour qui l’inscription est donc gratuite. Dans cet investissement, il y a bien évidemment de gros moyens techniques et logistiques.. Et il suffit de voir le bâtiment de l’école pour comprendre que Xavier Niel ne fait pas les choses à moitié : le Heart of Code, situé à Paris, est ouvert 7j/7, 24h/24 et sa capacité est de 4.242 m².. Evidemment. Toutes les armes sont donc mises à disposition des élèves dans ce concept qui, à première vue, semble totalement méritocratique. 2ème point : Un process de sélection original. Autre originalité de l’école, aucune condition de diplôme n’est exigée pour pouvoir passer les concours d’entrée, pas même le bac. Il faut uniquement avoir entre 18 et 30 ans pour pouvoir tenter la série de tests qui...

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Connexted : Echangez vos avis sur une plateforme dédiée aux objets connectés.

Vous êtes adepte d’objets connectés ? Désormais, Connexted est votre espace d’expression. Cette plateforme vient vous rendre service pour vous faciliter la tâche. Trouver, comparer et tester les objets connectés qui vous passionnent. Les tests comparatifs sont souvent faits par les géants spécialistes du secteur de High-Tech, comme http://www.cnetfrance.fr/ ou http://www.lesnumeriques.com . Mais si on se pose les questions suivantes : est ce exactement ce dont l’utilisateur a besoin ? Les résultats de ces tests, « très techniques » assouvirent –ils sa soif ? Nous pensons, que le consommateur a besoin d’un vrai test, fait par un vrai consommateur. Tout comme lui, qui lui aussi a testé l’objet. Rue Du Commerce, pionnier e-commerce depuis 15 ans, a saisi cette tendance et lance Connexted. La nouvelle plateforme entièrement dédiée aux tests d’objets connectés réalisés par leurs consommateurs. Elle a pour unique et seul but d’orienter les utilisateurs et les aider à avoir le maximum d’informations sur un quelconque objet connecté. Rien que pour faire le bon choix avant de passer à l’acte d’achat. Une démarche de tests simple et facile La démarche est simple du moment que n’importe qui peut partager son ressenti et publier son test sur le site afin de donner son avis à la communauté. Les dits futurs acheteurs de l’objet peuvent aussi en profiter en se fiant à des utilisateurs lambda qui résumeront leur propre expérience en quelques lignes, plutôt qu’à un test méga poussé soumis par un professionnel n’ayant utilisé le produit que quelques heures. Une synthèse approfondie sera dressée grâce à en évaluant l’application de l’objet par différents avis et tests, pour pouvoir finalement, livrer au consommateur, un service complet à 100%. Les critères de l’étude seront ainsi publiés sous forme de graphique représentant la moyenne des notes récoltées par un objet. D’un autre côté, l’interface de Connexted est bien étudiée. Il suffit simplement de se créer un compte, pour publier un test. Il est également possible d’exprimer son avis sur le produit connecté dans un champ libre en rédigeant aisément une analyse de son test et le compléter en ajoutant quelques photos. Le test sera publié dès que l’équipe Connexted l’aura approuvé. Le hic c’est qu’il est impossible de modifier ou compléter un test que l’on a déjà publié. Mais gardons l’espoir que ça pourra se régler prochainement vu que les éditeurs du site sont à l’écoute. Le site compte 4 catégories : loisirs & multimédia, santé & bien-être, maison et sport et 34 rubriques. En somme, plus de 300 produits connectés testés, allant des montres jusqu’aux brosses à dents et en passant les traqueurs GPS ou encore les vêtements de sports connectés. Ce site fait « implicitement » l’affaire d’un réseau social puisqu’il a eu l’idée de publier tous les profils de tous les contributeurs, selon le nombre de tests qu’ils ont...

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Cicret – la révolution des smartphones.. Réalité ou Fiction ?


Un concept révolutionnaire.
 Vous avez sans doute entendu parler de la fabuleuse histoire de Cicret, une start-up française qui pourrait révolutionner l’utilisation des mobiles grâce à son bracelet qui permettrait d’utiliser son smartphone directement.. sur sa peau ! L’idée est belle et le concept en fait rêver plus d’un, en témoigne le nombre de vues sur la vidéo YouTube de 2mn44 (postée le 30 octobre) qui présente le produit : 5 millions de vues, plus de 20 000 « like » et un véritable engouement dans les commentaires, Cicret semble à première vue être le prochain grand changement concernant l’utilisation des smartphones. Comme le montre la vidéo, le bracelet créé par la start-up française permettrait, grâce à une projection de l’écran de votre smartphone sur votre bras, de gérer directement toutes les actions que vous souhaitez réaliser avec votre mobile. Cette prouesse technique serait rendue possible à l’aide de capteurs de proximité.

 Evidemment ce projet coûte de l’argent et c’est pourquoi Cicret propose sur son site de faire des dons afin de financer le projet. La start-up aurait besoin de 1 million d’euros pour finir le premier prototype de son bracelet et pour pouvoir développer la « CICRET APP » sur toutes les plateformes. A noter que 14% de l’objectif de don serait déjà atteint. 
 
De plus, on a récemment appris qu’un investisseur indien aurait été séduit par le projet et aurait apporté son soutien financier pour finaliser le premier prototype. Cet argent, il faut bien l’avouer, permettrait d’aider grandement l’équipe de Cicret actuellement composé de seulement… 5 personnes dont une seule pour gérer toute la partie technique. Et c’est là que l’on commence à douter. Les journalistes de 01net.com ont mené leur enquête et de nombreux points amènent à douter de la véracité du projet… 

 Une réalisation impossible ? 

 L’histoire est belle donc.. Trop belle ? C’est la question que l’on est en droit de se poser au vu des nombreuses zones d’ombre qui entourent le projet.

Tout d’abord, alors que Cicret prétend pouvoir livrer son produit pour fin 2015, pour le moment aucun brevet n’a été déposé et un seul contrat (avec un fournisseur de silicium) aurait été signé. De plus, comme dit précédemment, l’équipe chargée du projet ne serait composée que de 5 personnes dont une seule pour la partie technique. Une si petite start-up peut-elle réellement créer une technologie que des géants comme Apple ou Samsung n’auraient pas mise en place ? 
Enfin, et c’est sûrement là que les doutes sont les plus gros, cette prouesse technique est-elle réalisable ? La vidéo YouTube semble n’être qu’un montage vidéo (si le produit n’est pas fini, cela reste cohérent) mais sa réalisation parait être une tâche impossible avec les outils techniques dont nous disposons aujourd’hui ; de nombreuses fonctionnalités paraissant utopistes pour le moment. Si la capacité de la...

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