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Quand les salariés disent Oui à l’entreprenariat !

D’après le Think et Opinion Way, un sondage effectué auprès de plusieurs salariés, 44% souhaitent créer et développer leur propre business, spécialement pour les collaborateurs au sein des TPE/PME. Ces derniers comptent énormément sur les patrons d’entreprises afin de les former, les guider, et éclairer leur lanterne par rapport à l’entrepreunariat.        Une personne sur 3 rêve d’entreprendre et de se lancer à son propre compte.  A l’occasion de la 21ème édition du salon de l’entrepreunariat, l’institut Think et Opinion Way a lancé un sondage qui concerne le volonté de devenir entrepreneur. Cette étude a été menée auprès de 1000 salariés âgés de plus de 18ans. 31% des répondants ont dit Oui à l’entreprenariat !   Ce chiffre est encore plus important lorsqu’il s’agit de salariés dans les TPE/PME qui de de 44+, arrivant jusqu’à 46% chez les cadres supérieurs et 52% chez les 18-34 ans. La plupart ont déjà mené une première réflexion sur son projet et envisagent son lancement dans deux ans.  Ainsi, les salariés réclament avoir besoin de leurs patrons d’entreprises afin de relancer l’économie d’une part et de les accompagner dans leur succès d’autre part en leur inculquant le meilleur de leurs expériences entrepreunariales.    Il en ressort également que 78% initient d’abord la démarche au sein de leur TPE/PME, contre 47% dans les grandes entreprises, 30% dans les syndicats patronaux et 27% dans l‘Etat, le gouvernement et les collectivités.    Par ailleurs, le point à soulever concerne les formations, initiales et continues pour accompagner les entrepreneurs de demain. Le système éducatif n’ouvre pas une grande porte aux wannabes pour développer leurs activités.    8 sur 10 personnes stipulent que le respect généré par la réussite et l’ascension sociale sont les deux principaux leviers de l’entrepreunariat. ...

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Le guide de création ou de reprise de votre startup

Pour devenir entrepreneur, il faut bien se préparer et mettre les bonnes cartes de son côte avant de se lancer dans l’aventure. C’est pourquoi le guide Erollys propose des conseils et recommandations pratiques destinés à tous ceux qui souhaitent se lancer à leur propre compte. « Créer ou reprendre une entreprise» donne des conseils aux futurs entrepreuneurs, les éclaire par rapport à la démarche à suivre et leur donne un maximum d’informations. ça va de la forme juridique à choisir, aux différents types de rachat possibles en passant par le dossier fiscal. Ceci en mettent en avant la liste des aides financières et possibilités d’investissements ainsi que les dispositifs d’aides fiscales et sociales. On y rajoute la liste des organismes d’information et de conseil, un guide sur les démarches et procédures administratives, les nouvelles sources de financement à savoir les plateformes de crowdfunding qui sont citées dans le guide ainsi que les régimes incitatifs, à la jeune entreprise innovante en l’occurrence. Le livre est accompagné d’une une version électronique en guise de complément qui permet de monter un dossier financier et d’utiliser les exemples de formalités de...

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Le salon des entrepreneurs, le rdv des startups par excellence

E-commerce, CRM, référencement, campagnes web, Social Media, crowdfunding, entreprenariat, marketing … tous nos thèmes et bien plus encore ont été discutés lors de la 21ème édition du Salon des Entrepreneurs, qui a eu lieu le 05 et 06 Février 2014 à Paris. Porteurs d’idées, jeunes startupers, professionnels et patrons se sont donnés rendez-vous afin de débattre, comprendre et profiter des expériences enrichissantes des entrepreneurs présents au salon.    A cette occasion, le Palais des Congrès a accueilli 64 200 visiteurs en seulement deux jours. Au programme, plus de 180 conférences techniques et ateliers ont été animés par 400 conseillers qualifiés. Ces derniers ont décryptés des sujets essentiellement à caractère digital, dans le but d’accompagner les créateurs de projets dans la concrétisation de leurs concepts.        Plus de 150 personnalités de la sphère entrepreneuriale comme Xavier Niel (Free) Jacques-Antoine Granjon (Vente-privee.com), Michael Goldman (MyMajorCompany), Ludovic Huraux (Attractive World), qui ont été invités à partager leurs témoignages et leurs visions de la succes story numérique. Des personnalités emblématiques de la scène politique et institutionnelle comme Najat Vallaud-Belkacem et Pierre Moscovici, sont venus à la rencontre des artisans 2.0 afin de les encourager à booster leurs business.  Si vous n’avez pas assisté à la manifestation de cette année, revivez les moments forts comme si vous y étiez ! Vous pouvez aussi vous préinscrire gratuitement à la prochaine édition du salon, qui aura lieu 04 et le 05 Février 2015....

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Les dessous du CRM en France

Que vous soyez startuper, salarié, cadre ou chef d’entreprise, vous devez absolument avoir une vision large en ce qui concerne vos prospects. Pour mettre vos clients et votre chiffre d’affaire sur la même ligne de mire, faites appel aux outils CRM ! Avant de vous livrer une retranscription détaillée sur les chiffres clés du CRM en France, rappelez-vous que le CRM, communément appelé « Gestion de la Relation Client »  consiste à mettre en place un ensemble de techniques permettant d’attirer, de gérer et d’analyser les données relatives à vos prospects, dans le but de les fidéliser et d’améliorer l’offre proposée. Qui tient les règnes du CRM en entreprise ? Le premier observatoire de marketing client UDA/Médiapost Publicité/Ginger a réalisé une étude sur la base de 151 directeurs, responsables CRM ou eCRM dans tous secteurs d’activités confondus, allant du B2B au B2C. Selon les résultats présentés, plus de 60%  des interviewés sont chargés de définir et de mettre en œuvre une stratégie CRM. Relativement, ce pourcentage rassure quant à l’importance octroyée par les entreprises à la gestion de la BDD client.  L’écart entre les différentes fonctions qui réalisent les missions CRM, montre du doigt la décentralisation de cette pratique au sein des entreprises, ce qui n’est pas sans conséquence. En effet, si une base de données unique est présentée comme inutile, pour accompagner les activités menées par l’ensemble des départements concernés (marketing, digital et CRM), elle devra toutefois être issue d’une réflexion en amont et en aval, afin d’emboiter le pas à la concurrence grâce à une boite à outils complète.  Avec la montée du digital, l’outil CRM recherché est censé intégrer les données des clients recueillis depuis les réseaux sociaux et depuis la BDD classique (vente, emailing, sms, appels …), dans le but de décupler les points de contacts.  Evidemment, nous remarquons un vif intérêt de la part des annonceurs B2C, puisqu’ils sont en constante relation avec le moteur central de leur survie, leurs clientèles CRM, le revers du décor : A regarder de plus près, nous remarquons  que plus de 90% des annonceurs interrogés rencontrent des difficultés au niveau de l’organisation et l’efficience. Ceci est essentiellement dû au manque de temps, au personnel non qualifié ou encore à une absence de feedback de la part des clients, ce qui ne permet aucune amélioration. Le manque de qualifications est fortement dû au double profil exigé dans cette fonction (décalage entre l’offre et la demande) mais aussi à la multitude de tâches assignées aux fonctions précédemment cités … À vouloir trop faire, on finit par mal faire !   On voit nettement au fil de l’enquête,  que la gestion de la base de données est devenue un enjeu critique pour les entreprises.  Si vous souhaitiez filer le parfait idylle avec vos clients, nous vous conseillons vivement de prendre en considération les chiffres...

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Startuper, plus qu’un simple statut !

Avec la montée en puissance des entreprises, plusieurs jeunes diplômés et salariés songent sérieusement à changer de casquettes. Gloire, reconnaissance, richesse, autonomie … chacun d’eux a une raison particulière, qui le motive à avancer sur le terrain fertile de l’entreprenariat. Avant de se lancer dans l’aventure, il est important de savoir en quoi réside le statut du jeune créateur d’entreprise ! Startuper, qui es tu ? Créatif, ambitieux, audacieux … Le startuper se trouve entre ceux qui font des plans sur la comète et ceux qui montent des châteaux de cartes. Au début, il multiplie les gourdes et tire des leçons de ses échecs. Ensuite, il essaye tant bien que mal d’assurer les fondements de son entreprise. Enfin, il commence à relever des challenges, qui sont au niveau de ses capacités. Telle est la courbe de vie évolutive d’un dirigeant de startup.     Afin d’établir le profil du startuper, l’Atelier BNP Paribas en partenariat avec TNS Sofres a réalisé une étude auprès de 200 fondateurs français de start-up et d’un échantillon représentatif de la population. Cette enquête révèle que 84% des interrogés sont motivés par un fort penchant pour l’entreprenariat et une réelle envie de relever des défis. Le gap entre les sexes ne cesse de se creuser dans ce domaine aussi, puisque 89% des startupers sont des hommes. En moyenne, ils créent leurs entreprises à l’âge de 35 ans, le temps qu’ils acquissent le minimum de savoir-faire.    Avec 98% d’entrepreneurs diplômés contre 7% d’autodidactes, l’évolution du monde des business a changé la donne. L’éducation formelle vous rendra maintenant riche alors que l’auto-éduction vous placera au rang des salariés. En effet, la tendance entrepreneuriale est menée par l’élite aux toges.  L’entreprenariat, drogue du 21ème siècle !   Selon l’étude, 83% des interrogés se disent passionnés, 75% créatifs et 60% visionnaires (Grande pensée à Steve Jobs). Ces traits de personnalité sont très significatifs vu que 35% d’entre eux sont des entrepreneurs récidivistes. Arrêtées pour des raisons économiques, leurs entreprises ont été soit revendues (23 %), soit cédées aux co-fondateurs (21 %).    Jamais l’entreprenariat n’a rendu aussi heureux et épanoui, à en croire ces chiffres : – 92% sont satisfaits par leur business et par leur aptitude à innover (81 %), particulièrement dans les produits/services développés (83 %). – 78% se disent tenter de revivre l’expérience et ce malgré toutes les contraintes financières et les longues procédures administratives  D’après-vous, pour réussir ce parcours de combattant, faut-il être créatif, autodidacte ou diplômé ? A vos...

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