http://www.bien-choisir-son-nom-de-domaine.be/

1. Privilégier le .com.

Effectivement, cette extension est reconnue internationalement. Et par ailleurs, elle donne un statut « commercial » patent.

Mais ne s’arrêter qu’à cette extension, ce serait ne pas tenir compte du marché local (entendez national). Donc, en terme d’achat d’extension, il est conseillé d’acquérir (ausso) les extensions locales ; ce qui permet, par ailleurs, de proposer des pages d’accueil orientées vers son (ses) public-cible géographique.

2. Les plus courtes sont les meilleures.

Votre nom de domaine devrait être composé de moins de 10 lettres (hors extension). Il est vrai que c’est plus aisé à communiquer verbalement, plus aisé à taper dans la barre url, et donc facteur de moins d’erreurs possibles. Pour l’exemple, hp.com est plus aisé à taper que hewlett-packard.com. Mais dans l’absolu, le second est plus signifiant. Trouver un juste milieu donc…

Cependant, on peut user de longs noms de domaine significatifs, voire même de phrases. Les-chiens-aboient-la-caravane-passe.be se retient aisément et convient pour des sites événementiels. Mais encore une fois, en local.

3. Mots-clés et synonymes.

Conseil repris aussi dans cet article de SamMag : placer des mots-clés dans l’adresse n’est pas inutile. En terme de référencement, placer des mots-clés (en relation directe avec votre activité, évidement) dans votre nom de domaine est prometteur d’un bon rendement.

Cependant, certains mots-clés sont usés. Pourquoi alors ne pas user de synonymes ; voire de mots complémentaires, un peu décalés et qui donnent une couleurs ou poétique, ou humoristique. Par exemple : marketingonthebeach.

4. Des url facilement prononçables

Imaginez-vous sur un salon professionnel, au téléphone ou un cocktail. Votre nom de domaine se prononce-t-il facilement, s’entend-il facilement ? N’y a-t-il pas d’ambiguïtés possibles autour des « ph » qui seraient perçus comme des « f », des « y » qui seraient perçus comme des « i » ?

5. Chasse gardée

Ne crapahutez pas sur les plates-bandes des géants et n’intégrez pas de marques protégées dans vos url. Exemple : caterpillaronthebeach sera sans doute facteur de problèmes… pour vous.

6. Racheter un nom de domaine réservé

Là, il n’y a pas de secret. Celui qui en est le possesseur détermine les prix. A voir jusqu’à combien vous êtes prêt à payer.

7. Les accents

A l’attention des francophones, ajoutons qu’il convient d’éviter l’usage de mots à accents. Viveleprésident.fr, ça ne marche pas.

 

Si après tout ça, vous avez la flegme de chercher un nom de domaine 2.0, il vous est possible ici d’en créer un automatique sur base de rien, ou sur base de substantifs que vous avez préalablement sélectionnés (en anglais).

L’outil est anecdotique et anglo-saxon. Vous ne pourrez donc pas opérer de recherche en français. Mais qui sait, peut-être trouverez-vous LE nom qui vous plait.

Pour approfiondir le sujet ou utiliser d’autres outils similaires, voici une liste de liens.