5 méthodes pour mieux segmenter ses DB clients

Il est (devrait être) révolu le temps où l’on arrose toute sa clientèle d’une seule newsletter promotionnelle. Il a été démontré qu’une campagne efficace est une campagne qui s’individualise et s’adresse à chaque client, selon des critères fins.Une des étapes de ce processus d’affinage est la segmentation de ses DB clients. Voilà pour la théorie. Mais en pratique ? Voici 5 méthodes (cumulables) pour optimiser sa segmentation. Segmentation selon la valeur et le potentiel de ses clients : Cette donnée permet de cibler les clients en fonction de leurs capacités (pouvoir d’achat et fréquence) à acheter les produits. Cette capacité est à mettre en liaison avec les prix de vos produits/services. L’inconvénient de cette méthode est son caractère évolutif. Dans un sens comme dans l’autre… Segmentation selon les usages et les comportements des clients : Dites aussi RFM (récence-fréquence-montant), cette segmentations se base sur trois questions : Quand le client a-t-il acheté la dernière fois? À quelle fréquence achète-t-il? Combien dépense-t-il? La méthode RFM prédit le comportement futur des clients en se basant sur leur comportement passé. Cette méthode d’étude du comportement s’affine par le biais de scoring qui sont des questions supplémentaires que l’on se pose : Quels produits achètent-ils? Quels produits n’achètent-ils pas? Quels sont leurs besoins? Segmentation selon les canaux de ventes préférés : Ce genre de segmentation demande une attention de chaque instant et une traçabilité multicanale des clients. Elle permet non pas d’analyser les comportements d’achats du client mais des moyens les plus fertiles pour établir avec lui un échange qui sera ipso facto un canal favorisant l’acte de vente. Segmentation selon les besoins des clients : Cette méthode demande de la maturité et une connaissance approfondie des activités des clients. La méthode consiste à anticiper les demandes. Et proposer, en outre des produits, des services à valeur ajoutée qui les accompagnent et qui tiennent compte de la réalité du client, ou d’une réalité supposée avec plus ou moins de perspicacité. Segmentation selon la taille d’entreprise et l’implantation géographique : Bien que très répandue, la segmentation par taille est quelque fois critiquée. Car une petite comme une grande entreprise, suivant les produits vendus, peuvent avoir les mêmes besoins. Il est donc important de coupler cette segmentation avec d’autres critères pris en comptes, comme la nature des activités de l’entreprise. Quant au critère de l’implantation géographique, il est « dangereux » lorsqu’il est couplé avec d’autres critères tels que, justement, la nature des activités de l’entreprise : la conséquence peut être que la zone s’étende suivant des proportions qui diminueraient considérablement la rentabilité de la...

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1. Privilégier le .com. Effectivement, cette extension est reconnue internationalement. Et par ailleurs, elle donne un statut « commercial » patent. Mais ne s’arrêter qu’à cette extension, ce serait ne pas tenir compte du marché local (entendez national). Donc, en terme d’achat d’extension, il est conseillé d’acquérir (ausso) les extensions locales ; ce qui permet, par ailleurs, de proposer des pages d’accueil orientées vers son (ses) public-cible géographique. 2. Les plus courtes sont les meilleures. Votre nom de domaine devrait être composé de moins de 10 lettres (hors extension). Il est vrai que c’est plus aisé à communiquer verbalement, plus aisé à taper dans la barre url, et donc facteur de moins d’erreurs possibles. Pour l’exemple, hp.com est plus aisé à taper que hewlett-packard.com. Mais dans l’absolu, le second est plus signifiant. Trouver un juste milieu donc… Cependant, on peut user de longs noms de domaine significatifs, voire même de phrases. Les-chiens-aboient-la-caravane-passe.be se retient aisément et convient pour des sites événementiels. Mais encore une fois, en local. 3. Mots-clés et synonymes. Conseil repris aussi dans cet article de SamMag : placer des mots-clés dans l’adresse n’est pas inutile. En terme de référencement, placer des mots-clés (en relation directe avec votre activité, évidement) dans votre nom de domaine est prometteur d’un bon rendement. Cependant, certains mots-clés sont usés. Pourquoi alors ne pas user de synonymes ; voire de mots complémentaires, un peu décalés et qui donnent une couleurs ou poétique, ou humoristique. Par exemple : marketingonthebeach. 4. Des url facilement prononçables Imaginez-vous sur un salon professionnel, au téléphone ou un cocktail. Votre nom de domaine se prononce-t-il facilement, s’entend-il facilement ? N’y a-t-il pas d’ambiguïtés possibles autour des « ph » qui seraient perçus comme des « f », des « y » qui seraient perçus comme des « i » ? 5. Chasse gardée Ne crapahutez pas sur les plates-bandes des géants et n’intégrez pas de marques protégées dans vos url. Exemple : caterpillaronthebeach sera sans doute facteur de problèmes… pour vous. 6. Racheter un nom de domaine réservé Là, il n’y a pas de secret. Celui qui en est le possesseur détermine les prix. A voir jusqu’à combien vous êtes prêt à payer. 7. Les accents A l’attention des francophones, ajoutons qu’il convient d’éviter l’usage de mots à accents. Viveleprésident.fr, ça ne marche pas.   Si après tout ça, vous avez la flegme de chercher un nom de domaine 2.0, il vous est possible ici d’en créer un automatique sur base de rien, ou sur base de substantifs que vous avez préalablement sélectionnés (en anglais). L’outil est anecdotique et anglo-saxon. Vous ne pourrez donc pas opérer de recherche en français. Mais qui sait, peut-être trouverez-vous LE nom qui vous plait. Pour approfiondir le sujet ou utiliser d’autres outils similaires, voici une liste de liens....

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Ergonomie Web, façon Amélie.

Amélie Boucher vient de publier un ouvrage consacré à un domaine qu’elle connaît très bien : l’ergonomie web. Et c’est d’ailleurs justement le titre de son ouvrage, paru aux éditions Eyrolles. Le livre présente, de manière claire et pragmatique, les différentes règles essentielles à suivre pour optimiser la navigation de son site. L’ouvrage est parcouru de multiples exemples qui permettent de comprendre, en pratique, les concept et formules présentées. Une bonne boîte à outils donc et, sans aucun doute, un excellent investissement. Pour en savoir plus sur le livre et en télécharger des extraits, un site dédié est visitable ici. Extrait de l’intro : « Pour que les internautes apprécient de venir sur un site web et soient tentés d’y revenir, il est nécessaire de concevoir ce site pour eux. Il existe une démarche, des règles et des méthodes pour atteindre cet objectif. «  Extrait du chapitre 02 : « Top 10 des idées reçues sur l’ergonomie web :  La sacro-sainte règle des 3 clics Les internautes sont idiots L’ergonomie et le design, ennemis jurés Pas besoin d’ergonomie, on a fait un focus group Faites-moi un site ergonomique Les internautes lisent en F L’ergonomie c’est juste du bon sens On le fera en web 2.0, en Ajax, etc. Les internautes ne scrollent pas Pour l’ergonomie, on verra à la fin. »...

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Ventes flash !

Sur Internet, les ventes flash (c’est-à-dire une vente courte dans le temps sur un produit avec un prix pratiqué très bas) se pratiques depuis le début du millénaire. Sources de bénéfices non-négligeables, elles procurent en outre un accroissement de trafic sur les sites web. Premier vecteur de communication : l’email marketing sous forme d’alerte. Le journal du Net fait le point sur les processus marketing et les motivations de plusieurs de ces praticiens de la vente flash. Ventes flash ! ou comment créer une animation commerciale Cas de Rueducommerce.com Cas de MisterGoodDeal Ventes flash ! ou comment fidéliser ses clients Cas de Alapage Cas de Monagence Ventes flash ! ou comment provoquer l’acte d’achat Cas de PriceMinister Cas de JetTour Ventes flash ! ou comment attiser la curiosité Cas de Brand Alley Cas de Camif...

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