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Interview de Paynut : le troc à le vent en poupe !

Le don, le partage, le troc… Ces mots vous rappellent-ils quelque chose ? Pour contrer l’économie actuelle, certains n’hésitent pas à lancer des projets au plus proche de l’humain ! C’est le cas de Paynut, qui, à l’instar d’eBay ou 2èmemain, propose aux utilisateurs de troquer les objets qu’ils n’utilisent plus contre d’autres dont ils ont besoin. Rencontre avec Michel van den Hove, cofondateur de Paynut, à qui j’ai posé quelques questions. Qui se cache derrière Paynut ? D’où vous est venue l’idée et depuis quand ? Paynut est composé d’une équipe de quatre entrepreneurs bruxellois (deux business développeurs et deux codeurs) spécialisés dans le développement d’applications web et dans le marketing digital. L’idée derrière Paynut est que nous possédons tous trop d’objets, qui en fin de compte, encombrent notre quotidien. Ces même objets pourraient faire le bonheur d’un voisin ou d’un proche. Chaque objet disponible sur Paynut vaut 1 nut (=monnaie virtuelle), et les utilisateurs reçoivent 2 nuts à l’inscription. Du coup, Paynut s’inscrit dans une démarche entre le don et le troc d’objets entre particuliers. L’idée a commencé à germer en août 2012. Le développement à proprement parler a commencé en novembre. La version beta du site a été lancée début avril 2013. Quelles méthodes avez-vous choisies pour faire parler de vous ? Lors de la mise en ligne de la version beta de Paynut, nous avons mis en place une page Facebook sur laquelle nous concentrons principalement notre communication. A l’avenir nous serons peut-être amenés à inclure d’autres canaux. Nous avons aussi compté sur le bouche-à-oreille, qui à nos yeux, est la meilleure manière de se faire connaitre. Au lancement du site fin juin, nous avons présenté le projet au Betagroup event devant un auditoire de 400 personnes à Bruxelles. C’était une expérience géniale et nous avons eu un super retour! Par la suite, fin août, nous avons diffusé un communiqué de presse afin de gagner en popularité auprès du grand public. Quels outils web utilisez-vous de façon régulière pour mesurer le succès ? Pour suivre les indicateurs, nous utilisons principalement Google Analytics. D’une manière générale, Paynut essaye de limiter le nombre d’outils dans un souci d’efficacité (approche « lean »). Quel type d’investissement y a-t-il derrière votre projet ?  Le projet a commencé sur fonds propres, mais rapidement nous avons gagné le prix « Impulcera » (groupe Cera/KBC) qui a permis de soutenir la croissance de Paynut. Dans quoi avez-vous décidé d’investir le plus ? Nous donnons beaucoup d’importance à écouter notre communauté. C’est sur base de son feedback que nous décidons d’aller dans une direction ou une autre. Quel conseil auriez-vous à donner à quelqu’un qui souhaite démarrer dans le web ? Une idée ne vaut rien tant qu’elle n’est pas exécutée. Du coup, notre conseil en démarrant un projet web est de foncer! De préférence en utilisant une approche MVP (Minimal Viable Product) qui permet de tester...

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Participez au salon Digiwal et boostez la compétitivité de votre entreprise !

Participez au salon DIGIWAL le 1 octobre 2013 à Louvain-la-Neuve, l’événement fédérateur wallon mettant en réseau les acteurs TIC avec les entreprises qui veulent développer leur compétitivité numérique ! Pourquoi participer à Digiwal ? L’objectif de ce salon est de rassembler toutes les informations utiles pour les entreprises qui souhaitent développer leur compétitivité numérique en intégrant les meilleurs outils ICT actuel ! Une plateforme d’échange 100% business où les dirigeants d’entreprises ou d’organisations pourront évaluer les solutions ICT proposées. Lors de cette journée, DIGIWAL proposera des Conférences thématiques Témoignages d’entreprises du « top IT » wallon Présentations de cas clients Interviews et débats sur le plateau TV Démonstrations technologiques Rendez-vous d’affaires opérés par le réseau européen de soutien aux entreprises « Enterprise Europe Network » et basés sur le concept de matchmaking b2fair. Seront présents : des dizaines de prestataires ICT, de Wallonie mais aussi de régions voisines, proposeront des solutions innovantes dans des domaines tels que la mobilité, le cloud computing, la gestion, l’archivage et la gestion documentaire,.. En pratique Mardi 1er octobre 2013 – Aula Magna – Louvain-la-Neuve Prix : 75,00 €  >> En tant que partenaire de cet évènement, nous avons la possibilité d’offrir à nos lecteurs un code promo pour bénéficier de la gratuité de l’entrée ! Contactez lm[@]technofuturtic.be pour l’obtenir. Plus d’infos www.digiwal.eu...

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Envie d’entreprendre ? Participez aux « CoEntrepreneurs Weekend »

La Belgique compte de plus en plus d’initiatives positives pour réveiller l’entrepreneur qui est en vous ! Et il est clair que dans le contexte actuel et difficile de l’emploi, créer son job peut être LA solution. Vous avez des idées et l’envie d’entreprendre vous taraude depuis quelque temps mais vous ne savez pas par quel bout commencer ? Le « CoEntrepreneurs Weekend » vous aide à démarrer votre projet d’entreprise Avant de pouvoir créer son entreprise, les questions sont nombreuses et pouvoir s’entourer de personnes de ressources compétentes pour mener à bien son projet est l’un des facteurs de réussite. En un Weekend, vous nouerez de précieux contacts, validerez votre idée, apprendrez à raconter votre histoire, évaluerez comment gagner de l’argent et bien d’autres choses grâce à des ateliers thématiques et pratiques entourés d’experts reconnus dans la création d’entreprise et de coachs expérimenté. Vous repartirez ainsi gonflé à bloc et muni d’une base solide pour développer votre projet sérieusement. 3 Villes // 3 Weekends // 3 Chances d’y participer ! Mons : 4, 5, 6 octobre Louvain-La-Neuve : 22, 23, 24 novembre Liège : 6, 7, 8 décembre  Envie d’en savoir plus ?...

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Amis Ecommerçants, le Digital Commerce Stars revient !

Pour la 5ème année consécutive, le concours pour élire le meilleur site ecommerce est de retour ! Une façon pour tous les ecommerçants de se mesurer les uns et autres et de comparer leurs pratiques. Une superbe manière aussi de se faire connaître et de développer un réseau. L’an dernier pas moins de 2 ecommerces wallons ont remporté un trophée, 2 femmes qui plus est ! Il s’agissait de Sarah Demaret avec Sweet n Fairy, ecommerce d’accessoire à patisseries et Laurence Nasé de Didoodam qui vend des chaussons en cuir pour bébé.  Quelles sont les objectifs des « Digital Commerce Stars » ? Valoriser et labelliser les meilleurs sites e-commerce, et applications m-commerce ou favorisant le commerce Mettre l’accent sur les moyens pour favoriser l’achat en ligne; Mettre en valeur les compétences et les savoir-faire des entreprises; Illustrer l’importance des contenus sur Internet; Permettre une prise de conscience des chefs d’entreprise et commerçants sur l’impact et les enjeux du Digital Commerce pour leur développement économique; Montrer le décloisonnement entre les différents canaux de vente; Insister sur la nécessité d’utiliser le Web comme vecteur de vente à l’étranger et ne pas se limiter aux populations francophones Le concours s’adresse à toutes les entreprises du Nord-Pas-de-Calais et de Wallonie allant de la TPE aux grands comptes. Elles peuvent soumettre leur site jusqu’au 30 septembre. Une pondération sera atribuée en fonction de la grandeur de l’entreprise afin de pouvoir les départager de façon égale. 8 catégories de ecommerce, 8 gagnants possibles.. Alimentation Mode, beauté Maison, auto, objets  + High Tech Voyages, loisirs, Culture Application m-Commerce B to B E-Retailer International Envie d’en savoir plus et pourquoi pas d’y participer...

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Interview Beergusto : 100 bières belges !

Quand on pense à la bière, on pense à la Belgique ! Et c’est justement ce que propose la startup Beergusto : Vendre 100 bières belges exceptionnelles dans le monde entier !   1) Qui se cache derrière Beergusto ? D’où vous est venue l’idée et depuis quand ? Nous sommes deux fondateurs: – Michael Hulet, je viens du monde du web, où je possédais une agence. À l’époque, nous avions lancé un site ecommerce avec un certain succès: laPatate.be. L’envie de recommencer l’aventure ecommerce était particulièrement forte. – José Delsart est grossiste en boissons pour l’HORECA, via la Brasserie Delsart, une affaire familiale fondée en 1877. José a un attrait de plus en plus important pour les bières belges, et permet à Beergusto d’avoir une véritable structure logistique/stock dès le départ. Beergusto propose 100 bières belges à la vente en ligne. C’est un projet qui a mis plus d’un an à se ficeler. Au début, je voulais monter un projet en solitaire et visait la gamme trappiste, relativement réduite, afin de me lancer dans mon garage. Une fois notre association scellée, les possibilités au niveau du catalogue et de la logistique étaient toutes autres. Nous sommes donc partis sur l’idée de 100 bières, mais il n’est pas improbable que nous proposions plus de choix dans le futur. 2) Vous êtes donc 2 à gérer ce projet, Qui fait quoi ? Nous avons sélectionné ensemble nos fournisseurs pour les envois, ainsi que pour nos caisses réalisées sur mesure. Nous avons défini ensemble les prix de vente des produits et validé nos choix, de part et d’autre, pour le catalogue. J’ai ensuite mis en place l’ecommerce (sur Magento Community) et le catalogue. Je gère le business au quotidien, entre le SEO, l’évolution du catalogue, le marketing, la présence aux événements, le service clientèle et les envois. 3) Vendre de l’alcool en ligne, y a-t-il des lois qui diffèrent par rapport à d’autres produits ? A quoi devez-vous faire attention ? Oui, c’est particulier. De manière générale, envoyer de la bière forte en Union Européenne ne pose pas trop de problème. Il y a toutefois certains pays, comme la Norvège, où les envois d’alcool “fort” (au-dessus de 4,5% environ…) sont limités. Ensuite il y a des pays où il est interdit d’envoyer de l’alcool, d’autres où la vente d’alcool est contrôlée par l’état (le Québec par exemple). Aux Etats-Unis, ça dépend de la législation de chaque état. Nous allons donc étudier ces états un par un pour voir où nous pourrons envoyer nos précieuses cargaisons. Mais un autre point auquel il faut faire particulièrement attention, c’est l’emballage. Les bières cassent  facilement lorsqu’elles sont malmenées. Un colis coûte donc “cher” rien qu’en frais d’emballage. 4) Se référencer sur le mot « bière » ne doit pas être simple ! Comment essayez-vous de...

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