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Et le taux de conversion des ecommerces en France en 2013 était …

La question du taux de conversion en ecommerce est régulièrement posée : « Est-ce que je convertis mieux ou moins bien par rapport à la concurrence ? ». La réponse à cette question est évidemment propre à chacun et essentielle pour savoir ce qui marche ou pas, ce qu’il faut améliorer ou non. En juin dernier, Google et Kantar Media ont publié la 3ème édition du « Baromètre sectoriel sur la performance de conversion des ecommerce en France » histoire de savoir si on se situe dans la moyenne par rapport aux autres sites Ecommerce du même secteur. Le taux de conversion ecommerce en France en 2013 Les grands gagnants de cette étude sont les grandes surfaces alimentaires, le « drive », ils rattrapent leur retard et développent de plus en plus le « click and collect » qui permet aux clients de retirer leur commande en magasin et de faire tomber le frein lié  à la livraison et au retour produit. C’est aussi ceux qui ont un taux d’abandon le plus bas, les produits étant plus acheté par nécessité que par plaisir. Le prêt à porter voit aussi une belle amélioration, le retrait et retour en magasin y sont pour quelque chose. Dans le secteur high-tech, les chiffres se stabilisent au niveau de taux de conversion par visite, mais augmentent par visiteur signe que le secteur parvient à fidéliser sa clientèle. Le secteur du voyage progresse, du moins pour les agences de voyage mais obtient le plus grand taux d’abandon. Les tours opérateurs eux, enregistre une baisse qui s’explique par la complexité des voyages proposés. Le voyageur préfère finaliser la vente en agence ou au téléphone. La vente de pneu en ligne s’est aussi améliorée de part la possibilité qui est apparue l’an dernier de pouvoir se les faire livrer et poser à domicile. Pour rappel, les chiffres du taux de conversion de 2012...

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13 conseils pour écrire un article mieux référencé

On le sait, en matière de rédaction de contenu, il y a des règles à respecter pour que l’article en question soit correctement référencé ! Les robots de Google savent de mieux en mieux repérer les contenus sur-optimisés et au besoin les pénaliser dans son moteur de recherche.. Voici 13 conseils de « Content Verve » pour rédiger du contenu bien référencé. 1. Écrivez pour les humains – Optimisez pour les robots En 2014, personne n’a envie de lire du contenu uniquement optimisé pour le SEO,  les moteurs de recherche y compris ! Google préfère le contenu naturel, au contenu sur-optimisé. De plus, il est inutile d’avoir un contenu bien référencé, s’il ne convertit pas ! Gardez toujours bien à l’idée que vous écrivez d’abord pour vos clients potentiels – votre cible.. mais que vous devez aussi aider les robots à dénicher votre contenu. 2. Oubliez la densité de mots clés La densité de mots clés a peut être été un facteur important du référencement il y a quelques temps mais rien n’indique qu’aujourd’hui Google favorise une certaine densité plus tôt qu’une autre. C’est important d’utiliser des mot clés pertinents dans votre texte mais de façon naturelle ! Ajouter des mots clés partout où ils n’ont pas lieu d’être vous ferez plus de mal que de bien. Donc, veillez à rester naturel au sein de vos articles tout en définissant un bon ratio autour de vos mots clés. 3. Utilisez des synonymes et variez les tournures de phrases Google et les autres moteurs de recherche utilisent l’indexation sémantique latente pour établir des relations au sein d’un texte et des termes qu’il contient. De cette façon, il peut faire correspondre les résultats de la recherche en fonction des intentions de la personne. Utiliser des synonymes, des mots connexes et des structures grammaticales différentes influent positivement sur votre référencement. De cette façon, plusieurs requêtes peuvent aboutir à votre contenu. 4. Rédigez de longs textes de qualité La plus part des pages qui sont référencées dans les premiers résultats de Google comportent des textes de 1000 à 2000 mots. En, il est de fait que les articles de fond, généralement longs, obtiennent plus  de partages et de liens que les courts. N’écrivez pas long, juste pour faire plaisir aux moteurs de recherche ! Travaillez votre sujet, apportez-y une réelle valeur ajoutée et partagez vos connaissances avec votre cible. 5. Prenez l’avantage avec la longue traine Le problème avec les mots clés, c’est que la concurrence est souvent énorme et qu’il devient difficile d’être bien positionné. C’est là qu’intervient la long tail ! Dans beaucoup de cas, il y des recherches connexes sur lesquelles il est plus facile de se positionner : « landing page » ou « quelle est la taille idéale d’une landing page ». La longue traine obtient un plus petit volume de recherche mais d’une...

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Quelles sont les règles à suivre pour un ecommerce en Belgique ?

En Belgique, les règles en matière de site ecommerce sont un peu plus lourdes que chez nos pays voisins et elles viennent de subir quelques nouvelles adaptations à prendre en compte, sous peine de voir certains contrats de ventre annulés. Les nouvelles règles d’un site ecommerce belge : 20 mentions légales à communiquer ! Suite à la nouvelle législation, il est désormais obligatoire de communiquer 20 informations à vos clients avant l’achat sur votre site ecommerce. Elles devront apparaître à 2 endroits, dans : Les mentions légales : N° d’entreprise (TVA) Le nom L’adresse du siège social et commercial (si elle diffère) Le numéro de téléphone, l’email et éventuellement un n° de fax Si l’entreprise y est soumise : Le code de conduite (Par ex : Becommerce ou Safeshop) et comment en obtenir un copie Les autorités de surveillance (l’ordre des pharmacien, commission de protection de la vie privée, etc..) Le recours à une procédure extra-judiciaire et ses modalités d’accès. Les conditions générales de vente à fournir avant la commande : Les principales caractéristiques du bien ou du service Le prix total des biens ou services toutes taxes comprises indiqué en euro ainsi que les frais supplémentaires de transport, de livraison ou d’affranchissement et, ce sans avoir besoin de s’inscrire sur le site. Dans un contrat à durée indéterminée ou d’un contrat assorti d’un abonnement, le prix total inclut le total des frais par période de facturation. La garantie légale de conformité pour les biens; La durée du contrat et par conséquent la durée minimale des obligations du consommateur, si c’est applicable. Le coût de l’utilisation de la technique de communication à distance pour la conclusion du contrat, lorsque ce coût est calculé sur une base autre que le tarif de base (ex : N° de téléphone surtaxé) Les modalités de paiement, de livraison et d’exécution, la date à laquelle l’entreprise s’engage à livrer les biens ou à exécuter les services et, le cas échéant, les modalités prévues par l’entreprise pour le traitement des réclamations; L’existence d’une caution ou d’autres garanties financières à payer ou à fournir par le consommateur à la demande de l’entreprise, ainsi que les conditions y afférentes; Dans le cas d’un contenu numérique : Les fonctionnalités, y compris les mesures de protection technique applicables; Toute interopérabilité pertinente avec certains matériels ou logiciels dont l’entreprise a ou devrait raisonnablement avoir connaissance; Rétractation & SAV Lorsque le droit de rétractation existe : les conditions, le délai de 14 jours et les modalités  via le modèle de formulaire de rétractation Les frais de renvoi Les frais à charge du consommateur s’il se rétracte et que le contrat a commencé. Lorsque le droit de rétractation n’est pas prévu : l’information selon laquelle le consommateur ne bénéficiera pas de ce droit les circonstances dans lesquelles le consommateur perd son droit...

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L’ecommerce belge a-t-il encore un avenir ?

Le 2 avril dernier, Défimedia en partenariat avec Technofutur TIC organisait une conférence-débat sur l’avenir de l’ecommerce belge ! Le constat de Comeos dans son magazine « e-guerre 2014-18 » est sans appel : Les pouvoir publics, en Belgique, doivent adapter leur politique de charges salariales et mettre à disposition, au minima, des moyens logistiques et un cadre légal pour aider les commerçants belges à développer leur boutique en ligne. Dans le cas contraire,  les futurs ecommerçants se délocaliseront dans nos pays voisins où les paramètres de coûts sont plus favorables : France, Allemagne, Pays-Bas ou Luxembourg. En Belgique, le coût du travail est excessif Pour un salaire de 100€ net reçu par le travailleur, le commerçant doit débourser : France : 157€ Allemagne : 182€ Pays-Bas : 181€ Belgique : 196€ Soit,  en Belgique, 20% de plus que ses pays limitrophes. Le travail de nuit et de weekend coûte aussi plus cher, rendant la préparation nocturne des colis peut envisageable. La TVA à 21% est elle aussi plus élevée. Les paiements électroniques sont sûrs mais couteux Aujourd’hui, les fraudes ne viennent pas du paiement en ligne qui est suffisamment sécurisé mais des sites frauduleux qui détournent et récupèrent ces données. Toutefois, la mise en place du système que propose Ogone est coûteuse et le tarif de commission par transaction et lié au volume de ventes. Pour les « petits » ecommerçants, s’offrir les services d’Ogone n’est pas toujours envisageable dès le début  : 500€ d’activation, une mensualité de 105€, une commission fixe de 0,25€ et une variable en fonction du total de 0,3%. Ils se retournent alors vers des plateformes « clef-en-main » comme Paypal qui prend 3,4% + 0,35€ de commission ou encore Hipay, de 2 à 5% + 0,25€ par transaction. L’envoi de colis reste cher et plus lent que chez nos voisins Le tracking d’un colis n’existe que depuis 1 an chez Bpost. Le prix varie en fonction du poids et de la taille du colis. La livraison se fait à domicile en J+1 ou dans un distributeur automatique de colis depuis peu. Pour les colis de plus grandes tailles, on préfèrera la livraison en point relais comme Kiala ou Mondial Relay et à domicile, DPD. Le territoire belge étant petit, tous les ecommerçants devraient automatiquement viser l’exportation mais le tarif reste prohibitif. La réglementation est plus stricte ! Les ecommerçants sont soumis à une réglementation plus sévères que leurs voisins notamment au niveau de la protection des consommateurs et du délais de rétractation de 14 jours déjà en vigueur depuis 2012. Que représente l’ecommerce belge aujourd’hui ? 5% CA total d’un commerce L’investissement pour un magasin en ligne est le même que pour un magasin physique L’amortissement se situe aux alentours des 6 ans contre 3 ans pour un magasin physique +- 40.000 webshop et 100 nouveaux sont créés chaque mois...

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Vous êtes ecommerçant ? Le Digital Commerce Stars vous attend !

Pour la 6ème année consécutive, le concours pour élire le meilleur site ecommerce est de retour ! Une façon pour tous les ecommerçants de se mesurer les uns et autres et de comparer leurs pratiques. Une superbe manière aussi de se faire connaître et de développer un réseau.    Quelles sont les objectifs des « Digital Commerce Stars » ? Valoriser et labelliser les meilleurs sites e-commerce, et applications mobile ou favorisant le commerce Mettre l’accent sur les moyens pour favoriser l’achat en ligne; Mettre en valeur les compétences et les savoir-faire des entreprises; Illustrer l’importance des contenus sur Internet; Permettre une prise de conscience des chefs d’entreprise et commerçants sur l’impact et les enjeux du Digital Commerce pour leur développement économique; Insister sur la nécessité d’utiliser le Web comme vecteur de vente à l’étranger et ne pas se limiter aux francophones Le concours s’adresse à toutes les entreprises du Nord-Pas-de-Calais et de Wallonie allant de la TPE aux grands comptes. Les participants seront référencés dans l’annuaire  du Digital Commerce Stars durant 1 an. 7 catégories de ecommerce.. Alimentation Mode, beauté Maison, auto, objets  + High Tech Voyages, loisirs, Culture Application mobile B to B International Et 11 prix possibles ! 1 prix par catégorie sera décerné, donc 7 gagnants mais le jury désignera, en plus, 4 lauréats territoriaux. Envie d’en savoir plus et pourquoi pas d’y participer...

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