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L’Internet mobile trop lent selon les mobinautes !

Alors que le développement des softwares se dirige chaque jour un peu plus vers l’Internet mobile, il semblerait que le secteur soit face à un obstacle grandissant. En effet, une étude menée par Compuware met en lumière la déception des utilisateurs du Web mobile quant à sa lenteur persistante. L’étude réalisée auprès de 4000 individus présente des résultats relativement significatifs. 47% des sondés confessent avoir eu des difficultés à accéder à une application au cours des 12 derniers mois, et 57% ont eu des difficultés à accéder à Internet via leurs appareils mobiles. En outre, l’étude confirme la nouvelle tendance à la mobilité des internautes, à travers les exigences de rapidité de ces derniers : 71% des sondés estiment que le temps de chargement d’un site Internet doit s’effectuer aussi rapidement sur un appareil mobile que sur un ordinateur. Plus encore, 74% refusent d’attendre plus de 5 secondes de chargement. Si l’on couple ces exigences aux problèmes de d’optimisation des sites Internet pour les appareils mobiles, il semblerait que la route soit encore longue pour l’Internet mobile. En cause, la 3G, qui souffre d’un débit de connexion parfois insuffisant, notamment pour les sites non-optimisés. S’ajoute à cela la couverture du réseau 3G laissant parfois à désirer. Nous serions tentés de penser que, à l’image de beaucoup d’innovations récentes centrées sur l’expérience utilisateur, ces problèmes d’accessibilité et de structure tendront à s’effacer avec le temps, notamment grâce au déploiement de la technologie 4G sur le territoire français. Cependant, le tout récent refus d’attribution de ladite licence à l’opérateur téléphonique Free, ne favorisera son accès au plus grand nombre. Indéniablement, les mobinautes devront prendre leur mal en patience avant de bénéficier d’un réseau aussi rapide que sur un ordinateur. Nous étions habitués à être les grands gagnants de la concurrence féroce qui s’opère dans le secteur des NTIC. Cet obstacle ralentira-t-il selon vous le développement de l’Internet mobile sur le long terme ?...

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Malgré la démission de Steve Jobs, le navire Apple maintient le cap.

C’est donc à présent officiel. Steve Jobs quitte ses fonctions de PDG d’Apple Inc. Cette annonce n’est pas une surprise, Steve Jobs ayant depuis longtemps prévenu que sa santé l’empêcherait à terme d’assumer pleinement ses fonctions. Pour autant, il ne quitte pas définitivement « le navire Apple »,  ce dernier étant nommé Président du Conseil d’Administration.   C’est Tim Cook qui occupera désormais le poste de PDG d’Apple, sous les recommandations de Steve Jobs lui-même. À court terme, ces changements ne devraient pas impacter sur la feuille de route établie par Apple. Les sorties du nouvel iPhone et de l’iPad 3 sont les rumeurs les plus insistantes de ces dernières semaines. Le défi qui incombe à Tim Cook sera, à long terme, d’entretenir l’esprit d’inventivité, d’innovation et de créativité, encadrée d’une politique marketing mondialement connue, qu’a inculqué Steve Jobs à la firme de Cupertino. Car c’est bien de cela qu’il s’agit lorsque l’on parle de Steve Jobs. La recherche continue, systématique de la nouveauté, de l’invention, ou de la combinaison de plusieurs d’entre elles. L’iPhone, et avec lui la technologie tactile, auront été les précurseurs de la démocratisation des smartphones. L’iPad, que Steve Jobs considère comme la plus grande invention d’Apple, se démocratise chaque jour un peu plus, et redore le blason de la presse écrite, en pleine phase de mutation. Apple est l’exemple-type d’une entreprise fonctionnant sur un mode de pensée souvent relaté à travers nos billets ; L’innovation et la technologie au service des utilisateurs. Une doctrine qui s’applique également (et surtout), au niveau des softwares Apple. Le succès des OS (Leopard, Snow Leopard etc…) et des iOS (pour iTouch, iPhone et iPad) s’est bâti sur leurs qualités techniques et ergonomiques (« Sur Mac, c’est tellement plus simple »), centrées sur l’expérience utilisateur. Les prochains mois vont être très intéressants. En l’absence de Steve Jobs, comme icône de la marque Apple, animateur de la célèbre Keynote annuelle, comment l’image de la firme va-t-elle évoluer...

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Twitter : Chiffres, usages et tendances.

Alors que certains annonçaient le déclin progressif de Twitter, suite au lancement de Google+ (et la course aux nouvelles fonctionnalités entamée avec Facebook), l’oiseau bleu semble s’en tirer pour le mieux. En effet, Twitter a annoncé un trafic record en Juillet, à hauteur de 32,8 millions de visiteurs uniques aux États-Unis. Un chiffre a contre-courant des tendances annoncées ça et là, et qui mérite donc que l’on s’y attarde le temps d’un billet. L’infographie ci-dessous présente un récent sondage réalisé auprès de 500 utilisateurs de Twitter, à propos de l’usage qu’en font ces derniers. Que retenir de cet état des lieux ? – L’accès à Twitter se fait encore principalement par le Web (64%), loin devant les application mobiles. Le futur iOS 5 d’Apple, synonyme d’intégration native de Twitter sur les iPhone devrait, à terme, équilibrer cette répartition – Les recommandations des amis sont d’une part, la raison de l’inscription sur Twitter de 33% des sondés,  et d’autre part, ce qui amène 69% de ces derniers à suivre une entreprise sur Twitter. La plupart des sondés suivent entre 1 et 5 marques, afin d’otenir des réduction pour 66% d’entre eux. – Notons également le développement fulgurant du compte Twitter @BarackObama, créé dans le cadre de la future campagne présidentielle de 2012. Ce tour d’horizon des dernières tendances d’usage de Twitter ne bouscule pas les constats déjà fait auparavant. En effet, Twitter reste une source puissante d’information, utilisé aujourd’hui à des fins commerciales, dans le cadre d’une campagne de communication, d’une gestion de crise, d’e-RP ou encore d’une campagne présidentielle. Les derniers chiffres records évoqués auparavant confirment l’intérêt des internautes pour les outils sociaux aux fonctions claires et établies. Reste à savoir à présent si Twitter saura s’adapter pleinement à l’avènement annoncé de l’Internet Mobile, vers lequel tous les géants du Web se dirigent petit à...

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Facebook Messenger : nouvelle étape dans la communication mobile.

Si le rythme des annonces a sensiblement ralenti durant cette période estivale, celles-ci n’en étaient pas moins de taille ! Hier Facebook n’a pas dérogé à cette règle, en annonçant la sortie de Facebook Messenger, une extension de son service de messagerie instantanée. Tour d’horizon de cette première « extension » de Facebook : Facebook Messenger présente 3 grands atouts. Le premier, c’est que vous aurez accès, à partir de l’application, à tous vos contacts Facebook ET votre carnet d’adresses, si bien que « FB Messenger » se substitue aux applications SMS natives sur vos smartphones. La synchronisation avec tous vos contacts va même plus loin, car vous aurez également accès à tous vos échanges (Chat, Sms, emails et messages). Le deuxième, c’est la possibilité de créer des conversations de groupes, avec partage de fichiers, et géolocalisation. Enfin le troisième atout -et sûrement le meilleur, c’est la gratuité de l’application, et des messages envoyés via cette dernière ! Aucun message ne sera décompté pour les personnes ayant un forfait limité. Arrêtons-nous donc, le temps d’un billet, sur cette troisième grande nouveauté estivale de Facebook (après le VideoChat et l’application fonctionnant sur 2500 téléphones), qui découle directement de l’acquisition de Beluga. Avec Facebook Messenger, la société de Palo Alto va, à n’en pas douter, mettre à mal les opérateurs téléphoniques, du fait des nombreuses fonctionnalités proposées, et de leur gratuité. Plus encore, elle vole la vedette à la future fonctionnalité iMessage d’Apple, basée sur le même concept, mais qui ne synchronisera que les adresses mails (et rares sont les gens qui n’ont qu’une seule adresse mail de nos jours). Enfin, elle s’avère plus complète que les Huddles de Google, qui ne synchronisent pas les contacts Google +. Facebook confirme donc ici le leitmotiv sous-jacent à toutes ses fonctionnalités : Faciliter les échanges entre individus – et pourrait-on rajouter, gratuitement. De plus, cette application, si tant est qu’elle soit adoptée par les mobinautes, sera d’une part, la garantie pour Facebook d’une connexion presque ininterrompue au réseau social, et d’autre part, une solide pierre à l’édifice de l’Internet mobile ; et comme souvent, les plus grands gagnants de cette course à l’inventivité, c’est nous ! Toutes les fonctionnalités seront bientôt disponibles en Europe. D’ici là, vous pouvez déjà avoir un aperçu de l’application sur le blog...

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L’usage d’Internet dans le monde : Qu’en est-il ?

Internet évolue, Internet grandit et avec lui, son usage à travers le monde. Cette infographie, que nous devons à TechKing, nous propose un état des lieux de l’usage d’Internet dans le monde, avec les dernières grands thèmes de recherche des internautes :   Que ressortir de cette infographie ? Si l’on pouvait deviner les tendances de l’évolution d’Internet depuis plusieurs années, le constat est aujourd’hui formel.  Internet n’est plus un luxe Occidental, dont profitaient une minorité de technophiles dans les pays en voie de développement. La sante économique de ces derniers a contribué au développement de leur réseau, favorisant à différentes échelles la démocratisation de son usage. Que ressortir donc, de cette infographie ? – La Chine avec 31,6% de sa population bénéficiant d’Internet, est son premier utilisateur. Près de 400 millions de Chinois bénéficient donc du Web, soit 21,4% des utilisateurs dans le monde ; un chiffre qui toutefois, ne doit pas occulter le fait que seulement 1/3 de la population chinoise est connectée. – Sans surprise, les États-Unis arrivent en deuxième position, où presque 8 personnes sur 10 connectées à Internet, représentant 12,2% de la population. Viennent ensuite le Japon, pays réellement technophile, puis L’inde et le Brésil. La Chine, l’Inde et e Brésil représentent donc à eux seuls près de 30% des utilisateurs d’Internet dans le monde. Attardons-nous à présent sur les tendances de l’usage d’Internet et de la recherche. Deux évidences se confirment, et sont mises en lumière dans cette infographie. La première est qu’Internet reste le vecteur d’information de référence pour les internautes. Les Top Search chinois et américains confirment ce constat : Le tremblement de terre au Japon a affolé le Web en Chine, pendant que les frasques de Charlie Sheen (Alcool, drogue, et $3 millions réclamés par épisode de « Two and a Half Men ») ont animé la Toile aux États-Unis. La deuxième évidence est que les réseaux sociaux occupent la majeure partie du temps des internautes sur la Toile, que ce soit Facebook aux États-Unis, au Japon, en Allemagne, au Royaume-Uni ou en France, QQ en Chine, ou Orkut au Brésil. Que peut-on donc prévoir, dans les grandes lignes, quant aux futures évolutions d’Internet ? En terme de volume d’utilisateurs, celui de la CHine, L’inde et le Brésil devraient de toute évidence augmenter, à mesure du développement des infrastructures. En terme d’usage, l’on a pu constater il y a quelques mois, en Tunisie et en Égypte, que le Web et les réseaux sociaux ont contribué à renverser des régimes politiques. Difficile donc, de se projeter sur l’usage du Web, qui se diversifie chaque jour un peu plus.  ...

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