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Le marché du e-commerce depuis 2009 en infographie

Alors que chacun parle de la crise, il est un secteur qui ne semble pas la connaitre : le e-commerce. En constante évolution au fil des ans, le e-commerce devrait représenter 45,2 milliards d’euros en 2012. Cette expansion est notamment due au nombre croissant des e-consommateurs qui représentaient 30 millions de personnes pour 38 millions d’internautes en 2011. Autant dire que l’acte d’achat sur internet tend à se normaliser en France. D’ailleurs, 66,5% des internautes Français disent avoir confiance dans le e-commerce et 51% n’hésitent pas à revenir sur un site lorsque celui-ci leur a donné entière satisfaction. Un marché en pleine croissance qui donne des idées à beaucoup de personnes tentées de créer leur site marchand. Entre 2009 et 2011, nous sommes ainsi passés de 64 100 sites e-commerce à 100 400. Sur ces 100 400 boutiques en ligne, 44% réalisent entre 10 et 100 ventes par mois et 21% enregistrent entre 100 et 1000 commandes mensuelles. Concernant le profil du e-consommateur, nous pouvons noter que le panier moyen est resté stable entre 2009 et 2011 (90€ en moyenne) mais que le nombre d’achats a augmenté : 11 en 2009 contre 14 en 2011. Une augmentation motivée par le gain de temps (74%), les prix intéressants (66%) ou encore la possibilité d’acheter à n’importe quelle heure (45%). Concernant les leviers d’activation de l’achat, les bons de réductions sont de véritables boosters. Ils permettent d’élever le panier moyen à 180€ ! En plus de cet aspect financier, ils améliorent l’image du marchand (dans 80% des cas), ils augmentent la fréquence d’achat (chez 18% des internautes) et offrent une efficacité accrue de 18% par rapport à un bon de réduction « offline ». Un levier très important puisque, en plus d’être avantageux pour le client, ils le sont aussi pour le e-commerçant. A ce jour 60,1% des internautes utilisent des réductions pour acheter sur internet. Découvrez maintenant l’infographie de bons-de-reduction.com sur le e-commerce depuis 2009...

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Facebook, une histoire de famille

Ce qui est paradoxal avec Facebook ? La plupart des utilisateurs acceptent en « amis » des personnes qu’ils connaissent à peine, voire pas du tout. D’un autre côté, lorsqu’un membre de leur famille envoie une demande d’amitié, chacun hésite. Intéressant non ? GMR Marketing s’est intéressé au phénomène et a voulu identifier quelles étaient les relations Facebook entre une mère et son enfant, du point de vue de chacun. Pour résumer tout cela, le groupe a créé une infographie permettant d’identifier, visuellement et donc simplement, les comportements des deux partis suite à une demande en ami. On y apprend que : 46% des enfants déclarent être « amis » avec leur mère. De leur côté, les mères répondent par l’affirmative à 56%. Moins d’un enfant sur 2 (43%) accepteraient la demande en ami Facebook de leur mère. Alors que 76% de ces dernières le feraient. 18% des enfants disent devoir cacher certains contenus avant de pouvoir accepter cette demande. Les mères sont deux fois moins nombreuses à déclarer cela (9%). 26% des enfants n’acceptent pas leur mère sur Facebook, contre 11% des mères (tout de même) qui refusent d’entrer en contact avec leur enfant sur Facebook. Pour contacter leur enfant (éloigné géographiquement), 10% des mères utilisent Facebook pour communiquer (alors que 7% utilisent l’e-mail et 2% le format papier) Pour communiquer avec leur famille, les enfants utilisent les messages privés (39%). Les mères quant à elles utilisent cette méthode à 31% et via messages publics à hauteur de 29% (certainement dû à la non-connaissance du réseau social) Il y a plus de familles comptant 3 générations sur Facebook que de familles n’en comptant qu’une ! Et vous, vous avez votre mère en ami...

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Télévision & Réseaux sociaux : le début d’une histoire d’amour.

La convergence des médias traditionnels et des médias sociaux est aujourd’hui un vaste sujet d’expérimentation, marketeurs et consorts ayant pris conscience des opportunités que présentent leur combinaison. Il est aujourd’hui normal, notamment aux Etats-Unis, de voir apparaître au détour d’une publicité ou d’un programme télévisé, des icônes faisant référence aux réseaux sociaux (le bouton « J’aime » de Facebook, un QR Code, un #Hashtag Twitter…), afin de prolonger la relation avec le téléspectateur grâce auxdites plateformes. Un récent sondage réalisé par l’entreprise Accenture, aux États-Unis, montre que les efforts fournis en ce sens commencent à porter leurs fruits.   En effet, ce sondage réalisé sur 1000 individus montre que 2/3 des sondés se souviennent avoir aperçu le bouton « J’aime » en regardant la télévision ; un icône parmi plusieurs autres, qui ont incité 1/3 des sondés à effectivement interagir sur les réseaux en question. De surcroît, le sondage montre que les réseaux sociaux se démocratisent chaque jour un peu plus : 42% des sondés connaissaient le bouton « J’aime » de Facebook 28% savaient ce qu’est un QR Code, 18% un Hashtag Twitter (#), et 9% l’icône de Shazam. Les sondage s’attarde ensuite sur les motivations qui ont incité les sondés à interagir sur les réseaux sociaux grâce à l’icône vu à la télévision. On apprend que 20% d’entre eux ont aimé une page Facebook dédiée au programme de télévision concerné, ou encore que 11% d’entre eux ont scanné un QR Code en regardant la télévision. Par ailleurs, la motivation principale des sondés était d’en savoir plus à propos du programme qu’ils étaient en train de regarder, ou encore avoir accès à plus de contenu ou d’autres vidéos (pour 26% d’entre eux). Toutefois, l’étude montre que les promotions ou autres coupons disponibles via les réseaux sociaux, mis en lumière dans un programme télévisé ou une publicité motivaient également les téléspectateurs à se rendre sur ces derniers (pour 32%). L’alliance de la télévision et des réseaux sociaux se développe fortement, et profite notamment de l’engouement des plus jeunes, qui sont, sans grande surprise, les plus réceptifs. Robin Murdoch, directeur de la branche Internet chez Accenture, apporte un éclairage sur l’évolution de cette convergence entre la télévision et les médias sociaux : Le défi pour débloquer [cette énorme croissance] est de convaincre les téléspectateurs de l’intérêt qu’ils ont à interagir avec les programmes télévisés. Vous faites cela en proposant du contenu inédit qui améliore l’expérience du téléspectateur, et des choses qui immiscent le programme télévisés au sein même de leur vie quotidienne.     Notons par ailleurs que la France n’est pas en reste, malgré une législation qui freine le développement de cette fameuse combinaison de médias (La loi de 1992 sur la publicité clandestine interdit toute mention orale ou visuelle du nom d’une marque, entre autres, dans un programme). Toutefois, plusieurs programme télévisés s’y adaptent...

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Twitter (un peu trop) addictif ?

Twitter continue d’attirer un public toujours plus large (attention, je ne dit pas non plus qu’il était populaire. Certains s’y inscrivent parce que le web est leur métier (et s’en servent notamment comme outil d’information). D’autres s’y rendent pour suivre en live la vie de leurs célébrités préférées et beaucoup s’y créent un compte par simple curiosité, parce qu’ils en ont entendu parlé. Cet engouement de plus en plus important pour le petit oiseau bleu (car oui, parmi les 100 millions d’utilisateurs actifs que comptent Twitter, 50% s’y connectent tous les jours !), a amené le site OnlineSchools.com a se pencher sur la question suivante : Existe t-il une addiction à Twitter ? Les recherches nous apprennent que : Chez certaines personnes, résister à Twitter est plus difficile que de résister aux cigarettes, l’alcool, la caféine, le sexe ou encore le sommeil. Suite à une étude menée en 2010, il a été demandé à des étudiant de passer 24h sans réseaux sociaux. Les mots utilisés pour décrire leur expérience ont été : addiction (23%), détresse physique ou mentale (21%), échec (12%), confusion (8%) et isolement (8%). Les stars aussi sont accros aux gazouillis. Ashton Kutcher a résisté à Twitter 1 mois, Alec Baldwin a tenu 1 jour et Chris Brown s’y est absenté pendant 3 mois. (les causes de leur « court silence twitterien » est expliqué dans l’infographie ci-dessous). Les comparaisons données dans cette étude sont extrêmement marquantes. La comparaison faite entre le manque de Twitter et le manque que provoquent les « drogues » est saisissante et presque incroyable. Les sondés éprouvent mêmes des nuisances d’ordre psychologique s’ils en sont privés un peu trop longtemps. L’infographie qui résume l’étude nous donne aussi quelques chiffres forts : Environ 250 millions de Tweets sont publiés chaque jour. Il y a plus de femmes que d’hommes utilisant Twitter. Les 23-35ans sont les plus représentés, suivis de près par les 18-22ans et les 36-49ans (cliquez pour agrandir l’image) Vous aussi vous êtes fortement dépendant des réseaux sociaux ? Vous sauriez vous passer de Twitter ? Et Facebook alors ?    ...

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Les publicités sociales mieux mémorisées que les non-sociales

C’est un fait. L’investissement publicitaire sur les réseaux sociaux ne cesse de s’accroitre. L’avantage du modèle d’ads de Facebook, et qui lui confère un avantage indéniable aux yeux des marques, est la capacité à exploiter la puissance des recommandations des amis lorsqu’il partage une expérience ou un contenu : les « social ads » La question que l’on se pose désormais est la suivante : ces publicités sociales sont-elles plus efficaces que les non-sociales ? Pour répondre à cette question, Nielsen a analysé les résultats de 79 campagnes d’ads Facebook sur une période de six mois. Nielsen a pu ainsi déclarer que les social ads permettent une meilleure mémorisation des individus. Les résultats enregistrés sont d’ailleurs 55% meilleurs ! Ce résultat reste tout a fait logique quand on se souvient que 76% des personnes croient plus en la recommandation de pairs (étude Nielsen effectuée en 2011 sur la population américaine). La publicité sociale est donc un bon moyen d’imprimer sa marque dans l’esprit du consommateur. Vous avez un retour d’expérience sur le sujet ? source :...

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