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Avec la Smart Bra, ça va dégrafer !

Soucieux de vous offrir des produits adaptés à votre quotidien, le département R&D de Microsoft ne cesse d’innover. Après les montres High Tech, les lunettes intelligentes et chaussettes pour bébé, le symbole aux quatre carreaux vous propose son quatrième objet connecté, le soutien-gorge Smart Bra. Dans une dimension médicale et éducative, la firme américaine cherche à développer des appareils ayant la capacité de reconnaître, de synthétiser et de modéliser vos émotions. Utile ou inutile ? Evidemment, ce n’est pas LE premier soutien-gorge intelligent puisqu’il y’a celui qui détecte le cancer du sein et celui qui tweet. A son tour, Microsoft a jeté son dévolu sur les deux bonnets.  Souhaitant déterminer et contrôler l’humeur des femmes, surveiller différents paramètres physiques de l’utilisatrice à l’aide des capteurs, cette lingerie féminine représente le vêtement idéal, car il permet de mesurer précisément la fréquence cardiaque.   D’après la directrice de recherche de Microsoft, Mary Czerwinski : « Ce prototype aidera à changer les comportements qui nous semblent automatiques ou hors de contrôle … Le soutien-gorge rendra les personnes conscientes de leurs attitudes mal adaptées ». Ce petit bijou récoltera donc le rythme cardiaque, conductivité de la peau ainsi que ses mouvements.  Ensuite, ces données  seront étudiées avec des informations fournies au préalable, sur une période où le sujet a eu des comportements boulimiques dus au stress, appelés aussi boulimies émotionnelles. Dès que le seuil critique est atteint, le sous-vêtement envoie un signal au Smartphone de l’utilisatrice pour la prévenir d’équilibrer son alimentation. Evidemment, chaque objet connecté est rechargeable, le soutien-gorge a devra être retiré afin d’être rechargé toutes les trois à quatre heures.  Et les hommes ? Certes, le sous-vêtement masculin est trop loin du cœur pour mesurer son rythme et fournir ainsi des données fiables. Le prochain défi lancé par les cherches de Microsoft, est de créer un système confortable, doté d’une batterie qui tiendra plus longtemps et qui sera utilisable à la fois par les femmes et les hommes.  A votre avis, quel vêtement ou objet porté par les deux sexes est assez proche du cœur pour évaluer leurs stress ?...

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Le m-commerce, ce nouvel eldorado des marques

Tous les regards sont rivés sur le troisième écran en matière de shopping en ligne, le mobile. Communément appelé le m-commerce, il séduit les mobinautes autant que les marques. Très tendance, le commerce sur mobile a explosé ces derniers mois avec l’apparition de la 4G, la multiplication du nombre de Smartphones et la démocratisation du commerce digital.   Conscients de l’enjeu majeur qui se cache derrière ce support, les marques ont commencé à décliner leurs offres afin de mieux s’adapter aux attentes de leurs clientèles surconnectées. Bien que le chiffre d’affaire[1] du m-commerce ait augmenté de 120% durant le premier semestre 2013, pourra-t-il trouver une place au côté du e-commerce ? Quelles sont les possibilités de vente sur mobile ? Comment les marques pourront-elles faire face à des shoppers de plus en plus exigeants ? Le m-commerce, une vente à deux voies ! Debout sur le socle du commerce digital, les commerçants  se demandent sur la manière de décliner leurs boutiques sur mobile. Il existe deux voies :   -        Mettre en place des sites mobiles dotés d’une navigation optimisée permettant d’offrir aux mobinautes, une expérience unique et complète ; -        Lancer des applications mobiles à installer sur les Smartphones afin d’interagir en continue avec les mobinautes. M-brands Vs M-shoppers : Pressé et exigeant à la fois, le m-shopper veut commander tout et maintenant. Sur sa tablette ou son Smartphone, il réduit la durée qu’il passe à naviguer sur le site mobile ou l’application, parce que ni sa disponibilité ni le confort visuel ne lui permettent d’optimiser son acte d’achat. Soucieuses de rassurer l’utilisateur, les entreprises comme Mastercard et Visa ont annoncé leurs solutions de paiement sur mobile, afin de répondre aux attentes du mobinaute en matière de sécurité.   Derrière son petit écran, le m-shopper laisse des empreintes digitales (localisation, coordonnés ….) derrière chacune de ses actions. Les marques n’hésitent pas à s’emparer de ses empreintes pour personnaliser d’avantage leurs offres. Elles ont finalement compris qu’il ne s’agissait pas de calquer le modèle du e-commerce sur celui du m-commerce, mais de créer une stratégie adaptée à ce nouveau modèle de commerce digital. Du E- au M- au S-, le commerce digital sur Jackpot Road … L’arrivée des Smartphones et des tablettes a rendu l’utilisation de l’ordinateur complètement désuète.  Comme une évolution de supports ne vient jamais seule, de nouveaux concepts dans le commerce connecté sont apparus. La roue du digital reste infinie, les marques qui n’avaient que pour seul challenge la maitrise du e-commerce, sont à présent amenées à revoir leur stratégie avec l’apparition du multicanal.  Bien installés derrière leurs volants, les marques  s’arrêtent pour profiter des bénéfices qu’engendre le m-commerce.  Selon Mediametrie, le commerce sur mobile représente 10% des achats et concerne 9 commandes effectués en ligne … C’est dans ce sens que 56% des commerçants proposent un site mobile. Ainsi, les marques continuent sur...

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Zoom sur le e-commerce chinois

Avec 297 milliards d’euros, le marché chinois est devenu le mastodonte du e-commerce.  En effet, l’environnement économique et  géo-démographique favorise son expansion via les différents leviers mis en place par les autorités chinoises, dans le but de soutenir la vente en ligne. Evidemment, les acteurs du marché contribuent en déployant des efforts considérables pour s’imposer face aux géants du e-commerce (Ebay, Amazon …).    Quelle est donc la situation actuelle du marché d’e-commerce en Chine ? Quelles sont les meilleures plateformes e-commerce chinoises ? Quelle est la recette du succès des sites e-commerces chinois ? Qui se cache derrière les e-shoppers de l’Empire du Milieu ? Nous aborderons tant de questions et d’autres dans ce décryptage du e-commerce chinois, si par hasard l’envie d’investir en Chine vous prend ! Rétrospective générale sur le marché du e-commerce chinois : Dynamique et prospère, le marché du e-commerce chinois jouit d’un essor fulgurant, lui permettant de détrôner les Etats Unis et de dominer l’Asie, selon le rapport de Bain & Company. Au-delà la créativité dont les plateformes font preuve, la Chine doit son envol aux achats effectués par plus de 300 millions d’e-shoppers, à la forte croissance du taux de pénétration d’internet et à la classe moyenne qui ne cesse d’augmenter. Sur la base de l’infographie réalisée par l’agence I-Click interactive,  les prévisions pour les années à venir sont les suivantes : -          Les ventes en lignes atteindront 297 milliards d’euros d’ici 2020, soit 3 fois plus qu’en 2012 ; -          En 2015, la Chine deviendra le premier marché du e-commerce du globe, dépassant ainsi les Etats Unis, en terme de nombre de plateformes ; -          Actuellement, le taux de pénétration du e-commerce en Chine est supérieur à celui des Etats Unis ; -          En 2020, les dépenses en ligne par habitant en Chine devraient augmenter à 285 euros, soit 5 fois plus qu’en 2012 ; -           Le taux de pénétration de la carte bancaire était de 43,5%  en 2012 et devra augmenter dans les années à venir.  En facilitant le moyen de paiement ainsi l’usage de la carte, la Chine encourage l’achat en ligne ; -          La classe aisée atteindra 280 millions en 2020, soit 20% de la population totale de la Chine, ce qui devrait multiplier les dépenses en ligne ; Si la Chine continue sur cette voie, le pays dépassera en 2020 à lui seul, la France, l’Allemagne, la Grande Bretagne et l’Amérique. Il aura donc autant d’E-shoppers chinois que d’habitants aux Etats Unis fin 2013 ! Toutefois, la Chine ne poursuivra son chemin vers la gloire que si le nombre et le niveau de vie des internautes continuent à leur tour à augmenter. Ajouté à cela, le taux de pénétration de la 3G/4G est à peine de 30% en Chine, face à 68% aux Etats Unis et 81% en Corée. Soucieuse de toucher la population rurale, la Chine fera  en sorte...

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Condé Nast & E-commerce, l’union de l’année !

Avec la montée fulgurante de l’e-presse, la presse traditionnelle elle aussi a fini par se mettre au e-commerce. Loin d’être précurseur dans la vente de presse en ligne, Condé Nast Publications qui détient des magazines comme GQ, Vanity Fair,The New Yorker, Vogue ou encore Wired, nagera bientôt sur les vagues du digital.  Mais est-ce que Presse et E-commerce font bon ménage ? Après avoir recruté l’As du E-commerce de chez Galeries Lafayette, le géant  américain de l’édition a préféré internaliser la vente en ligne de ses magazines, en créant sa propre branche. Cette initiative porte un nouveau souffle à l’approche traditionnelle de la presse et secoue la concurrence. En effet, cette décision s’inscrit dans un business modèle déjà adopté par de grands journaux tels que le Monde, Le Figaro et Libération. Toutefois, ces derniers ont choisi de décliner leur offre en ligne que sur certaines publications (les hors-série, les éditions spéciales à titre d’exemple), afin d’éviter la vulgarisation de la presse papier.  A son tour, le e-commerce ne reste pas indifférent à la presse, comme vous avez sans doute pu le constater, avec le rachat d’Amazon du Washington Post. Avec un chiffre d’affaires qui frôle les 3 millions d’euros,  l’union de la presse avec le e-commerce a encore de beau jour devant elle...

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La règle de 3 en Webdesign

Une lame à double tranchant, le design permet d’attirer les internautes en masse sur votre site, mais risque aussi les faire fuir.  Quelques secondes suffisent à l’internaute,  pour se faire une idée, se créer une première impression de votre site. C’est tout comme une rencontre In Real Life ! Le webdesign valorise le travail et l’effort effectués dans la création d’un site web ou d’une application mobile. Design attrayant, style simple et beau, pages épurées, navigation fluide… Plusieurs éléments font la différence entre LE site et celui d’un amateur ! Nous sommes en 2014 et il est temps de prendre de nouvelles résolutions ! Afin de vous aider à améliorer l’apparence et l’ergonomie de votre site web,  nous vous avons concocté la nouvelle règle de trois en matière de webdesign : Contenu synthétisé et laconique : Votre site doit contenir des pages aérées, avec des informations utiles et brèves accompagnées d’un média approprié.  Evidemment, vous devez penser à l’optimisation de l’expérience de l’utilisateur avant tout. Pour permettre une lisibilité et un scan à la verticale de votre page, adoptez une structure simple de votre contenu (Grand titre, un à trois sous-titres). Une navigation claire et facile : Tout en surfant sur la vague de l’originalité, il est important de standardiser certains éléments  sur votre site (barre de navigation en haut au milieu, peu de sous-rubriques,  une case recherche, des icônes intuitives connues…) afin d’éviter de perturber l’internaute. En effet,  votre site doit permettre de lier l’utile à l’agréable dès les premiers clics Un design singulier : De la police en passant par le choix des couleurs jusqu’à la disposition des visuels, rien ne doit être laissé au hasard dans l’élaboration de votre charte graphique. Tout d’abord, vous devez étudier la signification de chacune des couleurs que vous employez : des couleurs dans les mêmes tons que la couleur principale, que vous aurez préalablement choisi.  Ensuite, pour un minimum de contraste, choisissez un background neutre (évitez les arrières plans à motifs), dans le but d’émerger les éléments du premier plan.  Il est possible d’utiliser la même police présente dans le logo, avec deux à trois déclinaisons pour le reste du site (texte, rubrique, titre …).  Bien qu’il existe des templates prêts à l’emploi, leur utilisation dénotera de l’image que vous souhaitez donner à votre site.  Au final, votre design doit être un ensemble cohérent avec le contenu proposé! Comme vous avez pu le constater : le webdesign a bousculé les normes en création de site.  Pour résumer,  si la règle de trois est une opération impliquant trois produits donnés … Un webdesign bien ficelé représente le résultat de la rencontre des trois critères sus-données, à vous de bien...

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