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Twitter, Pinterest, Vine, Snapchat : des réseaux sociaux qui se renouvellent

Facebook nous a habitués à des mises à jour régulières pour rendre le réseau social plus intuitif ou tout simplement plus esthétique. Ces refontes sont nécessaires pour ne pas perdre la communauté avide de nouveautés. Twitter, Pinterest, Vine et Snapchat suivent cette logique et se renouvellent pour compléter leurs services. Tour d’horizon sur les nouveautés proposées par ces réseaux sociaux populaires. VINE La plateforme de partage de vidéos de six secondes met à jour son application : une messagerie instantanée et repense son site internet. Voyons comment cela se traduit. La messagerie instantanée est la mise à jour la plus importante de l’application selon ses fondateurs. Elle permettra à ses utilisateurs de partager les vidéos Vine avec leurs amis inscrits ou alors à un de leurs contacts qui recevra un sms ou un mail avec le lien dirigeant à la vidéo en question. Cette innovation a pour but de faire face à la messagerie de son concurrent Instagram mise en place en décembre dernier : Instragram Direct. Vine revoit le principe et le format de son site internet : il sera possible de consulter les Vines classés par catégories, sans être inscrit. Une impression de déjà vu ? C’est parce que Vine se cale sur le principe d’échange et de partage de vidéos sur Youtube. Vine veut populariser ses vidéos de 6 secondes, les rendre accessibles au grand public. SNAPCHAT Snapchat a réagi aux critiques de ses utilisateurs : l’application manquait de spontanéité. Qu’à cela ne tienne. L’application comprendra bientôt une messagerie et un système d’appels vidéos. La messagerie reprendra le concept des célèbres snaps : une fois fermées, les conversations seront supprimées. Les appels vidéos satisferont les utilisateurs de Snapchat puisque ceux-ci pourront s’appeler spontanément et se voir grâce à un simple geste du doigt. La différence avec facetime ou skype ? La spontanéité, la rapidité et la simplicité de l’émission des appels. En deux gestes nous pouvons discuter avec la personne souhaitée et partager un instant de vie ensemble… A distance. Malin. Le tout résumé en une petite vidéo : Ce n’est pas tout. Snapchat propose d’autres mises à jour telles que le replay : les photos reçues sont visibles entre 1 et 10 secondes, selon le désir de l’émetteur, puis supprimées. Avec le replay, il sera possible de revoir… Une fois. Le flash est une autre nouveauté imaginée par l’application. Les snaps sont plus souvent pris avec la caméra frontale mais les utilisateurs ne peuvent pas bénéficier du flash intégré à leur téléphone. Difficile d’y voir quoique ce soit en soirée ou dans un endroit sombre. L’application a eu l’idée d’y remédier, l’écran devient blanc éclatant pour éclairer la scène et faire un selfie digne de ce nom ! Il est également possible d’appliquer des filtres aux photos pour toujours plus de personnalisation. PINTEREST Epingler n’aura...

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Brands on Vine : 6 secondes pour plaire à ses consommateurs

Depuis un an les vidéos Vine déferlent sur les réseaux sociaux : toutes les secondes, 5 twittos partagent un lien vers une vidéo Vine qu’ils ont créée. Les internautes ne sont pas les seuls à s’emparer de la nouvelle application: les marques y ont vu une opportunité pour faire parler d’elles et de leurs produits. Pour se faire, elles redoublent d’imagination et de créativité. Explorons les possibilités de Vine pour votre marque. 6 secondes pour réaliser un scénario original ou présenter un produit, c’est le challenge que se sont lancées les marques inscrites sur Vine. Il faut certes avoir de l’imagination pour produire du contenu que les internautes partageront, mais il faut aussi savoir limiter ses idées … Vous n’avez que 6 secondes. Deux formes de vidéos s’offrent à vous : le continu ou le fameux stop-motion. Globalement, c’est le stop motion qui l’emporte sur la toile. Effectivement, cette méthode permet aux utilisateurs de l’application de libérer leur imagination et créer des effets visuels non réalisables spontanément, en plus de donner plus de rythme à la vidéo ! Nous avons parcouru la toile à la recherche des Vines les plus efficaces, drôles, ou tout simplement jolis publiés par les marques (décryptage en prime) : Oréo Oréo a cartonné en publiant cette illusion d’optique bluffante. La marque accompagne son Vine avec ce message: « Peu importe le sens dans lequel vous le tournez, ce biscuit vous épatera ». Résultat ? 200 favoris et 70 retweets pour ce Vine mindblowing. Conclusion : twistez, autant de fois que vous le voulez ! La marque a fait l’unanimité en publiant une recette simple mais gourmande à base de son biscuit au chocolat et au lait. Quelques chiffres pour vous prouver que les vidéos courtes sont efficaces : 35 commentaires, 256 retweets et 955 favoris pour celle-ci … Samsung Le 29 avril dernier, Samsung a choisi Vine pour présenter son nouveau téléphone avec zoom optique intégré. Cette présentation de six secondes a conquis près de 1 000 personnes : 781 favoris et 190 retweets. Burberry Dans un autre style, Burberry promeut ses défilés en faisant voyager ses followers de Londres à Shangaï… En six secondes. Les produits ne sont pas à l’honneur dans ces courtes vidéos, c’est l’esprit et la philosophie de la marque qui sont au cÅ“ur des scénarii. C’est sans doute la clé du succès des nombreuses vidéos Vine de la marque so British ! Wheat Thins La marque américaine de biscuits a eu la bonne idée de supporter l’équipe de Baltimore lors du très apprécié Super Bowl 2013. Ce Vine a été retweeté 134 fois. Supporter une équipe sportive populaire, ça aide à le devenir. A bon entendeur… Just 9 hrs left people. 'RT' this tweet until Baltimore is victorious. #BAL #MUSTHAVEWHEATTHINS http://t.co/2cgYPLiY — Wheat Thins (@WheatThins) 27 Janvier 2013 Coca Cola La...

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Qui sont les professionnels de l’Internet? Une étude de 150 pages fait le point sur la question.

En juin, nous lancions une vaste enquête franco-belge en ligne sur les profils et parcours des professionnels de l’Internet et du Web. Nous vous en livrons les résultats, tout frais, sur plus de 150 pages. Qui sont les professionnels de l’Internet? D’où viennent-ils? Que font-ils? Quelles sont leurs satisfactions? Leurs envies? Où vont-ils? Quel avenir voient-ils? Plus que de grandes révélations, ce sont mille petits détails et tendances qui confirment ce que beaucoup d’observateurs ressentaient ou présumaient. Cette étude est à votre disposition. Elle sera un outil pour faire reconnaître ces métiers, pour permettre à des chercheurs de creuser des pistes ouvertes, un terrain pour dialoguer. Le but de l’étude était de cartographier les profils de l’Internet et de contribuer à la reconnaissance des métiers émergents du Web. Elle comportait une cinquantaine de questions s’articulant autour : Des formations et modes d’acquisition de compétence Des parcours professionnels Des conditions de travail et de rémunération De la mobilité et des perspectives professionnelles Vous avez été plus de 1100 à y répondre. Certes, nous n’avons pas voulu produire une oeuvre scientifique car des problématiques méthodologiques liées à la population de référence y faisaient obstacle, mais la photographie que nous livrons est largement fiable et représentative. Elle est cohérente et proche d’autres études menées dans l’IT. Il vous reste à vous l’approprier, la commenter, l’améliorer. Bonne lecture! Nous aurons l’occasion de revenir et commenter certains résultats en 2013, mais voici quelques-unes des conclusions tirées: Les professionnels qui se reconnaissent dans l’Internet sont relativement éloignés des profils TIC conventionnels. Ce sont des communicants, des pros du marketing, des gestionnaires de contenus, etc., davantage que des techniciens. La formation, initiale et continue, doit approfondir sa mue, intégrer le numérique dans ses cursus existants, en ouvrir de nouveaux, préparer à l’entreprenariat. On arrive encore très (trop) souvent par l’Internet indirectement. Les travailleurs sont largement dispersés dans le tissu économique, leur dénombrement et leur identification soulèvent les questions de toute fonction transversale. Ils sont jeunes, généreux, volontaires, dynamiques, à la recherche de challenges, mobiles dans leurs études et emplois, acceptant un haut niveau de précarité. La rémunération est loin d’être le premier facteur d’engagement : le secteur a une notoriété positive et les travailleurs y recherchent une satisfaction personnelle forte. Mais ils sont hautement volages. Travailleurs autonomes et atypique (CDD, stagiaires, contrats pro) représenteraient près de 30% de l’emploi : une forte variable d’ajustement. Les femmes y sont plus nombreuses (1/3) que dans les TIC, mieux qualifiées que les hommes, y disposent de réelles perspectives d’avenir, mais les discriminations de genre existent toujours. Stages et contrats pro devraient être davantage généralisés comme leviers pour intégrer la filière, qui manque de professionnels spécifiquement formés. Twitter, Linkedin et Viadeo émergent, mais les job boards maintiennent leur part de marché en matière de recrutement. Les possibilités de progression professionnelle y sont...

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La nouvelle application Facebook Camera : Concurrente d’Instagr.am ou faire-valoir ?

Depuis un peu plus d’un mois, et notamment depuis vendredi dernier, Facebook est au cÅ“ur de l’actualité du Web. Rachat d’Instagram, entrée au Nasdaq, nouvelle application mobile pour les Community Managers… et de confirmer ce constat hier en dévoilant Facebook Camera, une application entièrement dédiée à la photo ! L’application, pour le moment uniquement disponible sur le sol américain, semble simplifier la gestion des photos, de leur prise jusqu’à leur partage sur le réseau social. Proposant également un système de filtre, ou de directement tagger vos amis, l’application se voulait, peu ou prou, une concurrente à Instagr.am, avant que celle-ci ne fut rachetée, en l’occurrence, par Facebook. Justement, parlons-en ! Au-delà de nous habituer à vivre des mois de Mai et Juin animés (souvenez-vous l’année dernière, du lancement du chat vidéo, ou de la nouvelle gestion des listes d’amis, pour contrer Google +), cette nouvelle annonce apporte des premiers éclairages sur la raison du rachat d’Instagr.am à plus d’1 milliard de $. Le premier est que Facebook ne s’y trompe pas. Le contenu généré par les utilisateurs est chaque jour plus riche et varié. Les publications de quelques lignes sont aujourd’hui noyées dans une multitude de contenus, et surtout des photos et des vidéos. Le défi qui incombe à Facebook est donc de proposer une ou des plateforme(s), notamment mobile(s), à l’ergonomie irréprochable, pour un partage quasi instantané, ludique ou encore interactif. C’est le point sur lequel l’application Facebook Camera peut sans doute grandement concurrencer Instagr.am, en cela qu’elle élimine un intermédiaire entre la prise de photo et son partage. Ce n’est toutefois pas gagné d’avance… Car d’après les premiers tests effectués ça et là aux États-Unis, l’application FaceBook Camera, bien qu’elle soit intéressante, ne peut concurrencer Instagr.am, notamment à cause de filtres photo pas suffisamment prononcés, ainsi que la qualité inférieure des photos. Pour qui souhaite simplement partager ses photos plus simplement, l’application Facebook Camera s’avèrera idéale. Pour qui souhaite proposer un contenu plus personnalisé et de meilleure qualité, fort à parier que cette dernière ne fera pas l’affaire. Le deuxième éclairage, largement véhiculé dans l’univers des médias sociaux et des technologies, et que Facebook doit se doter d’une solide équipe concentrée sur le développement de l’application mobile. Le futur du Web est dans le mobile. Qui de mieux, dans la situation de Facebook, que les créateurs d’Instagr.am, pour prendre en partie les rennes de ce développement ? Enfin, notons la volonté de Facebook de maintenir sa ligne directrice, qui consiste à décentraliser de plus en plus ses fonctionnalités. Si l’idée ici est certainement de chercher une efficacité optimale de ses services en créant des applications spécialisées (pensons à Facebook Messenger), cette stratégie peut, inconsciemment, atténuer l’idée d’être constamment connecté à Facebook dans l’esprit de l’utilisateur. Une subtile façon pour Facebook, paradoxalement, d’être toujours un peu plus présent...

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L’année 2011 du web en chiffres

Le temps du bas débit et des 250 millions d’internautes en 2000 est désormais bien loin. Les chiffres d’Internet pour l’année 2011 sont parus ( et sont impressionnants. Une vidéo signée Novius : On compte à l’heure actuelle plus de 2 milliards d’internautes à travers le monde dont plus d’un milliard qui utilise les réseaux sociaux avec plus de 800 millions d’utilisateurs rien que pour Facebook ! Twitter a maintenant passé la barre des 200 millions d’utilisateurs, LinkedIn le réseau social des professionnels atteint quant à lui le nombre de 147 millions d’utilisateurs fin 2011 ! D’autres réseaux sociaux sont apparus récemment, ils font le buzz et sont de plus en plus utilisés. C’est par exemple de cas de Google + qui a atteint il y a peu les 90 millions d’utilisateurs, le réseau qui se veut être le concurrent de Facebook possède malgré tout un retard très important. Ces nouveaux réseaux sociaux sont par exemple Instagram, le réseau axé sur la photo enregistre près de 15 millions d’utilisateurs et près de 150 millions de photos publiées ! Youtube, le site d’hébergement de vidéos enregistre des chiffres ahurissants avec plus de 800 millions de visiteurs pour l’année 2011 avec 1 milliard de pages vues par mois. La vidéo la plus vue sur le site a été visionnée plus de 167 millions de fois, il s’agit de Friday de Rebecca Black Du côté Français, on apprend que 91% des français utilisent Google comme moteur de recherche ! Le monopole du moteur de recherche est donc solidement établi. Le E-commerce poursuit son expansion avec une hausse de 20% du chiffre d’affaire et plus de 37 milliards de revenus générés. 75% des français reconnaissent avoir acheté au moins une fois en ligne et 50% d’entre eux sont simultanément sur Facebook. Le smartphone s’est démocratisé en France, on en compte 15 millions dont plus de 10 millions connectés à Internet. En conséquence, 1 publication sur 3 est effectuée à partir d’un smartphone. Les QR codes sont relativement populaires dans notre pays, plus de 7 millions d’entre nous en ont déjà scanné un. L’année 2011 a accru l’importance du smartphone à l’échelle mondial, les chiffres parlent d’eux mêmes : 500 millions de téléphones dans le monde, 29 milliards d’applications téléchargées. Les entreprises ont bien compris l’importance du marché et 48% des enseignes auront leur site de E-commerce sur mobile avant fin 2012. La SNCF a fortement profité de ce marché et a vendu plus de 2 millions de billets en ligne dont 15% sur Ipad. Les tablettes quant à elles se sont vendues a plus de 73 millions d’exemplaires avec une hausse de 300% par rapport à l’année précédente ! La petite anecdote ? Le mot Facebook est présent dans 33% des divorces en 2011 ce qui montre bien l’importance prépondérante d’Internet et du réseau social en...

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