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Mathieu Pesin « Nous pensons que le sport rassemble et que le rassemblement motive ! »

Après un article dédié à Unlish, une application internet ayant les mêmes fonctions qu’un réseau social et qui permet de programmer toute activité sportive. Nous revenons avec une Interview de Mathieu Pesin, co-fondateur de l’application. – Comment vous est venue l’idée de développer cette application ? Après mes études à Marseille, j’ai travaillé pendant plus de 5 ans à Paris. Dès que le temps le permettait, je retrouvais mes anciens collègues pour jouer à la pétanque sur l’île de Puteaux. On s’est vite rendu compte que ces pauses pétanques entre midi et deux devenaient en plus un moyen de développer notre réseau et même de faire du business. C’est alors qu’on a imaginé un service qui permettrait à des groupes de pouvoir pratiquer de manière auto-organisé, sans passer par des envois de mail, de textos, ou par un groupe Facebook. – En quoi l’équipe de startup week end vous a aidé? Lors du startup weekend de Montpellier en 2012, j’ai soumis l’idée de ce service pour faciliter l’organisation des parties de pétanque et faire du réseautage business. On s’est rendu compte que cette problématique d’organisation est assez universelle et que développer un produit qui y répond pouvait avoir du sens pour tous les sports. C’est grâce à l’impulsion donnée pendant ce weekend que l’idée s’est transformée en projet. A l’issu du startup week end, nous avons pu nous mettre en contact avec l’incubateur Via Innova qui nous a aidé à structurer le projet. – Avez vous envisagé un business model, si oui, lequel ? Le modèle d’affaire que nous avons imaginé se place à l’intersection du réseau social et du site de rencontre amicale spécialisé dans le sport. Unlish permet en particulier de toucher les amis d’une personne qui participe à un événement sportif, comme un bouche à oreille numérique en quelque sorte. Il représente donc d’un canal de diffusion inédit pour des professionnels qui souhaitent proposer leurs services. – Comment se sont passées les premières rencontres avec Unlish? La toute première rencontre a eu lieu sur la plage en juin 2013 pour un match de Beach Volley. Il y avait 10 participants, tous des collègues entrepreneurs incubés avec nous à ViaInnova ! L’appropriation de l’application a vraiment débuté en début d’année 2014 avec la sortie de notre version beta sur le web. Nous avons nous même participé au développement d’une communauté de coureurs à Montpellier (NightRun) et collaboré avec eux pour développer le service – Quelles sont les cibles de Unlish ? Nous nous adressons à tous les professionnels du sport qui souhaitent capter, engager et activer leur communauté de sportifs. Principalement donc les organisateurs d’événements, les clubs et association qui proposent une pratique sportive loisir à la carte, les propriétaires d’installations sportives, les coachs, prestataires d’activités sportives de pleine nature, les marques et les équipementiers. – Pouvez-vous...

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Facebook serait-il sourd aux cris des « Haters » ?

Si le bouton « Dislike » reste le plus demandé par les utilisateurs, il ne sera pas aussitôt créé. Jugé trop négatif, il ne représente pas pour l’instant un objectif en tête de mirs selon les ingénieurs de Facebook. Toutefois, le leader des réseaux sociaux planche sur un nouveau bouton qui va surprendre plus d’un. Lequel ? Un peu de paix dans ce monde de brutes ! Avec les derniers évènements tragiques (Mort de Nelson Mandela, de Paul Walker ou encore l’Ouragan Haiyan), aimer une photo, un statut ou un lien mettant en scène le malheur des autres, serait un signe de mépris. Ainsi, une nouvelle alternative au «Dislike », plus adéquate aux statuts tristes ou embarrassants sur Facebook verra bientôt le jour. La firme au pouce bleu envisagerait d’introduire un nouveau bouton, « Je compatis ». Soit tu aimes, soit tu compatis ! Telle une boite à idées géante, la firme de Palo Alto a réfléchi à organiser un hackathon qui lui permettra d’insuffler un vent de créativité et aboutir à des futures applications plus innovantes. C’est suite à ce type d’évènement que le nouveau bouton a été créé. Dans le monde de Bisounours, tous les boutons sont en adéquations avec vos sentiments, il ne suffit que de cliquer. Ce n’est pas le cas sur Facebook. Le mode opératoire des boutons sur le réseau social est bien simple : « Si une personne publie sur son profil Facebook, un statut EN PRECISANT qu’elle est de mauvaise humeur ou triste, le bouton «Like» disparaît au profil de « Je compatis ». La politique de l’autruche adoptée jusqu’à maintenant, pour éviter d’intégrer le bouton «Dislike», montre un certain manque d’honnêteté de la part de Facebook. Afin d’éviter tout hécatombe, vos propos sont analysés mot à mot jusqu’au point de supprimer les commentaires à caractère raciale ou injurieux. Mais est-ce une raison pour vous empêcher de vous exprimer et de clamer haut et fort  votre désarroi ?...

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Pinterest : l’explosion du réseau social

Le réseau social lancé en 2010 n’a pas connu des débuts florissants avec des taux de fréquentations et d’inscriptions très faibles. Seulement depuis 6 mois, le réseau connaît une croissance de près de 4000% avec une durée d’utilisation moyenne de 90 minutes ! Des chiffres que jalouse Google, qui avec Google+ connaît quelques difficultés au lancement. Alors comment expliquer de tels chiffres et cet intérêt soudain pour Pinterest ? Pinterest, son concept, son utilisation Pinterest c’est avant tout un concept assez simple, qui comme son nom l’indique, vise à « épingler » (« pin » étant la punaise en Anglais) ses intérêts. Quoi de plus que les réseaux sociaux classiques me direz-vous ? Et bien avec Pinterest vous permet d’épingler tout ce que vous trouvez sur le net, de le mettre sur un tableau de bord et de le partager. Ainsi il vous est possible de créer plusieurs tableaux de bords en fonction de vos centres d’intérêts. Si vous êtes passionné de musique, quoi de plus normal pour vous de partager les pages web,  ou les vidéos qui vous ont marquées. En un clic vous pouvez épingler vos coups de cœurs à votre tableau de bord en cliquant sur « pin it » présent sur Firefox et Chrome une fois inscrit. Le site est avant tout réservé aux amateurs de photographie, de vidéos qui sont sensibles à une certaine qualité esthétique. Là encore Pinterest se démarque car il ne s’adresse pas au plus grand public mais cible une certaine catégorie d’internautes. Contrairement a Facebook où vous êtes dans l’obligation de partager vos liens via votre barre de statut, Pinterest permet de garder un trace de tout ce que vous publiez de façon classifiée et organisée. La curiosité des internautes comme publicité Encore en version beta à l’heure actuelle, le site a trouvé un moyen d’attirer les internautes. En effet il vous est impossible de vous inscrire sans avoir obtenu au préalable une invitation de la part d’un membre de Pinterest. Simplement cette contrainte à l’inscription génère une curiosité chez les internautes qui sont attirés par ce mystère autour du site, ce qui booste littéralement les inscriptions. Pinterest assure son avenir avec un nouveau modèle économique, aubaine des E-commerçants. Là où les réseaux sociaux classiques se sont concentrés a augmenté leur nombre d’utilisateurs avant de s’assurer une rentabilité économique, Pinterest innove. En postant un pin qui mène à un site de e-commerce, Pinterest modifie automatiquement (et à votre insu) l’URL et ajoute son propre tracking. Concrètement si quelqu’un clique sur l’image et achète un produit, Pinterest est rémunéré. Le site pourrait donc voir affluer un nombre grandissant d’entreprises voulant faire de la pub, d’autant plus que le trafic du site est en constante augmentation. Le site est donc a surveillé très attentivement aux vues de son récent succès et constituera surement un nouveau site incontournable dans peu de...

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Réseaux sociaux, à qui le tour ? Microsoft lance sa béta de socl.com

En juillet, une multitude de rumeurs apparaissaient : « Microsoft, en route pour le social ? » Microsoft semblait alors travailler sur un projet de réseau social baptisé « Tulalip« . Après plusieurs mois, c’est le magazine « The Verge » qui revient à la charge en affirmant, preuves à l’appui, que le réseau social vu par Microsoft semble être en phase de béta ! Son nom ? Socl.com Voici donc la « bête » ! Socl.com est un réseau social mèlant certaines fonctionnalités de ces 2 grands frères, Facebook et Google+ comme son interface (très inspirée de Facebook) par exemple ou encore la fonction « video party » (à la Google+). Les grandes différences : La première réside dans le fait que SOCL est entièrement développé en HTML5 ! SOCL ne vous demande pas ce que vous faites actuellement mais plutôt « qu’est ce que vous cherchez ? » De quoi pousser les internautes à la recommandation sociale et non plus seulement aux relations sociales ! Alors, est-ce vraiment une nouveauté ou encore un réseau social de plus qui, comme certains auparavant, tombera dans l’oubli peu de temps après sa sortie ? Les internautes vont-ils délaisser Facebook au profit de tous ces petits nouveaux ? Outre les geeks ou autre « early adopter », les internautes lambdas vont-ils s’inscrire sur une multitude de plateforme proposant, au final, le même type de service ? Affaire à suivre… À noter tout de même que SOCL est actuellement en version béta fermée à une poignée d’utilisateurs ! Attendons patiemment pour pouvoir tester ce dernier et dire si, oui ou non, Microsoft arrivera à jouer dans la cour des grands ! Source :...

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Bientôt un nouveau réseau social, celui de Zynga !

Le groupe Zynga (l’éditeur numéro 1 des jeux Facebook), bien connu pour ses jeux disponibles sur le réseau social numéro 1 dans le monde Facebook, prépare à lancer son propre réseau social qui aura pour but de réunir sa communauté de joueurs. Appelé « Projet Z », ce site communautaire regroupera les jeux Zynga sur lequel il sera possible de jouer sans passer par Facebook. « Depuis deux ans, nous construisons des produits qui, nous l’espérons, vont permettre la mise en place d’une plate-forme de relations directes entre les consommateurs », explique Mark Pincus, le patron fondateur de Zynga  » On pourra commencer un jeu sur Facebook et le continuer sur Projet Z, ou vice versa », continue le directeur d’exploitation John Schappert. A terme, Zynga souhaiterait donc devenir complètement indépendant de Facebook. Car en plus de lancer sa plateforme de jeux, l’éditeur propose maintenant sa propre monnaie virtuelle : les « zCoins ». Cette monnaie permettra de fidéliser les joueurs en leur proposant d’acheter des bonus pour améliorer leur ferme Farmville par exemple. Plus on joue, plus on gagne de zCoins, réutilisables parmi les principaux titres Zynga. Et pour réussir à convaincre les joueurs de Facebook de venir sur le site communautaire, l’entreprise a présenté une série de nouveaux jeux tels que Mafia Wars 2 et CastleVille. Ces présentation a eu lieu le 11 octobre alors que Zynga a déposé en juillet un dossier d’entrée en Bourse, une transaction qui valoriserait Zynga à 20 milliards de dollars (14,7 milliards d’euros). A l’époque, Zynga avait reconnu qu’elle réalisait pratiquement toutes ses recettes sur Facebook. Un beau pari donc ! Pour informations, Zynga est forte de plus de 263 millions d’utilisateurs actifs mensuels sur Facebook (loin devant Electronic Arts avec un peu plus de 100 millions d’utilisateurs). De quoi réussir un lancement avec un beau bagage utilisateurs. Pour en savoir un peu plus sur le projet Z, lisez le blog...

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