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Le Web belge auréolé aux Etats-Unis

Au début du mois de mars, les Belges de la Webmission se sont rendus à Austin, Texas. Née en 2009, la Webmission continue à emmener des entrepreneurs web belges à l’étranger afin que ceux-ci puissent se confronter à d’autres startup, trouver des contacts ou encore développer la solidarité entre eux. Nous en parlions sur MOTB en décembre dernier alors qu’ils étaient à LeWeb, à Paris. Share La Webmission belge bien en vue à Le Web 2011 Cet article a été posté par Mateusz Kukulka le 12 décembre 2011 à 12:40 La semaine dernière, Le Web 2011, la conférence organisée par Loï… Marketingonthebeach Au début de ce mois, donc, la Webmission était à South by Southwest, un festival interactif mondialement connu,  le “Woodstock des start-up”, dixit Marie-Catherine Beuth, journaliste pour LeFigaro.fr spécialisée dans l’information participative, télévision 2.0 et musique dématérialisée…  A cette occasion, une vingtaine de Belges étaient sur place avec l’étiquette Webmission. Des Belges venus de Belgique mais aussi venus de San Francisco. Dont Xavier Damman, CEO de Storify – plateforme d’agrégation de contenus issus des réseaux sociaux à destinations de personnes qui veulent raconter l’actualité, des histoires… Associé avec un Américain, il est occupé de réussir un beau coup avec Storify. D’ailleurs, ils ont, comme l’année dernière, remporté un prix lors de ce prestigieux festival. Share Storify, pour la passe de deux à SXSW Storified bymateusz La nuit est noire à Bruxelles. Les rues sont calmes. L’écran de l’ordinateur, lui, frétille : c’est que les Belges de la Webmission fêtent l’award reçu par Storify dans la catégorie Social media. Comme en 2011 mais dans une autre catégorie. Storify, pour la passe de deux à SXSW Mateusz Toujours en ce mois de mars, une autre bonne nouvelle belge nous est parvenue : le jeune Davy Kestens, 23 ans les bras levés, vient de réaliser un tour de table d’un peu plus d’un million de dollars auprès de business angels américains et belges. Pas de quoi en faire un Bill Gates belge mais c’est déjà un bon début pour ce jeune flamand qui a, en quelques mois, créé et imaginé TwitsPark, une solution web qui permet à de grandes entreprises de gérer le support de leur société sur Twitter.  Share Le Belge Davy Kestens lève 1 million $ pour TwitSpark La très jeune startup belge TwitSpark vient d’annoncer officiellement qu’elle venait de lever 1,125 million de dollars auprès de divers b… Ci-dessous, Davy Kestens répond aux questions de Ramon Suarez. Il revient sur le chemin parcouru pour en arriver à sa levée de fonds. Au passage, il souligne l’apport non négligeable de s’être installé dans l’espace de coworking du Betagroup. Share Davy Kestens & TwitSpark: from idea to $1 million in 9 months ramonsuarezv Mon, Mar 26 2012 10:49:51 Jamais deux sans trois, ne dit-on pas. Après Storify et TwitsPark, c’est au tour de CheckThis de faire parler...

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Nouvelle version de CheckThis, plateforme de publication instantanée

Début de l’année dernière, la webosphère voyait arriver un nouveau venu : CheckThis – regarde ça, en anglais. Cette plateforme de publication instantanée est « Ã  mi-chemin entre Twitter, qui est dans l’instantané pur, et le blog qui est plus dans la durée et qui induit toute une démarche », me dit Frédéric della Faille, le fondateur et designer de celle-ci, également cofondateur de Bureau347, une agence de marketing digital. « C’est une page autonome et temporaire – il est possible d’y mettre un date de péremption à laquelle elle disparaîtra. Elle est un peu comme des valves en ligne : sur CheckThis, on affiche aussi mais sur les réseaux. » Cette idée, née il y a trois ans (lisez cet article de Geeko pour avoir la genèse du projet), a bien évolué en un an. Après être resté une bonne partie du temps en version Alpha – mais ayant quand même fait sensation à San Francisco avec la Webmission à Google I/O, conférence annuelle de Google pour les développeurs -, CheckThis s’est ouvert au grand public en octobre dernier. Et lance déjà une nouvelle version la semaine prochaine. Le 24 janvier, si tout va bien. Vous pouvez d’ailleurs ci-dessous avoir un aperçu de ce à quoi CheckThis ressemblera dans le futur. « Si nous, avec Melvyn Hills et Yannick Schutz, avons décidé d’aller si vite c’est que nous avons bien observé les 10.000 pages qui ont été créées depuis trois mois », poursuit le cofondateur de la start-up. Ce sont donc les usages qui les ont guidé vers une nouvelle version. Dans la version actuelle, un bouton vous propose de commencer une page. Apparaît alors un template assez light qui vous permet d’écrire, de mettre de la vidéo… de manière assez simple et rapide. A partir de la semaine prochaine, ce même bouton laissera la place à plusieurs autres, comme on peut le voir sur l’image ci-dessus. « Avec Tell, Sell, Hire, Invite (Dire, Vendre, Embaucher, Inviter), on répond quasi à toutes les utilisations faites depuis le lancement de la plateforme, explicite Fred della Faille. Si on a mis Custom, c’est pour ne frustrer personne mais ce seront les quatre autres qui seront les plus utilisés. » Ce qui change, c’est que en cliquant sur l’un ou l’autre bouton, vous avez à chaque fois un template différent – toujours light – qui correspond à la fonction. Par exemple, pour la vente, vous avez un formulaire PayPal intégré. C’est très simple à l’utilisation. Et devrait intéresser tous ces gens qui n’ont pas de blog mais qui ont des choses à faire passer en ligne. Une question subsiste, celle du financement de la start-up. Si elle vit sur les deniers des trois fondateurs, ceux-ci devraient une première fois lever des fonds d’ici peu, d’abord auprès des proches (famille, amis). « Histoire de bosser dessus à fond pendant quelques mois...

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Le Betagroup lance le BetaInvest ce 20 décembre

Ce mardi, le Betagroup, l’association d’entrepreneurs belges dont nous avons déjà maintes fois parlé, se réunit au Knal à Bruxelles pour fêter plusieurs choses. Ce mardi, ce sera tout d’abord la 30e fois que le Betagroup est organisé depuis son lancement il y a 3 ans et demi. « Nous avons voulu marquer le coup, explique Jean Derely fondateur de l’association. Cela commence à être un beau chiffre, l’occasion était belle de faire la fête surtout que nous en profitons aussi pour célébrer le premier anniversaire du Betagroup Coworking. » Mais, ce n’est pas tout. Ce sera aussi l’occasion de présenter le dernier né de l’écosystème Betagroup : le BetaInvest. « C’est un lieu de rencontres entre les start-up et les investisseurs, explique encore celui qui est aussi le fondateur de Woorank. Avec ce nouveau lieu, la boucle est maintenant bouclée. Une start-up pourra pitcher son idée au Betagroup ; emmagasiner des connaissances dans les workshops que nous organisons ; se développer au Betagroup Coworking ; et enfin trouver des fonds au BetaInvest. » En pratique, le BetaInvest devrait être subsidié par les Régions bruxelloise, flamande et wallonne. Les start-up ne devraient rien payer pour venir présenter leur projet. Par contre les investisseurs potentiels devraient donner une forme de cotisation pour accéder aux informations sur ces start-up. C’est Leo Exter – connu en Belgique pour son expertise en conseil aux entreprises – qui chapeautera le BetaInvest. Après le Bizcamp, Westartup et le Startup Weekend, voilà une corde de plus à l’arc de ce ressortissant russe en matière de conseil aux jeunes entreprises. Concernant la soirée en elle-même, elle va se dérouler, à peu de choses près, comme d’habitude. Ouverture des portes à 18h30. Présentation de 7 start-up à 19h (cloudringapp, kollector, tagtagcity, djengo, mobilosoft, paycento et kicktable. Avant de commencer une petite fête avec DJ et rafraîchissements. Si vous êtes intéressés, n’oubliez pas de vous inscrire au plus vite sur l’événement Eventbrite. Pour encore plus d’infos, retrouvez ci-dessous le podcast les Teknophiles présenté par Marc Lescroart sur RTL.be. J’y reviens, entre autres sur cette fête de mardi mais aussi sur la présence de start-up belges à LeWeb11 avec Antoine Perdaens, entre autres, co-organisateur de la...

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2e édition du Startup Week-end Brussels les 21, 22 et 23 octobre

Alors que le Founder Institute a pris son envol ce mercredi 12 octobre (j’en parlais ici), nous continuons de vous proposer, sur ce blog, quelques initiatives, publiques ou privées, qui vous permettront de booster votre start-up. Le week-end prochain, les 21, 22 et 23 octobre, s’organise à Bruxelles la deuxième édition du Startup Weekend Brussels (#SWBRU). Le principe est simple : en 54 h, il faut proposer une idée, former une équipe et créer un startup qu’il faudra pouvoir présenter à la fin. Cela peut paraître incongru mais cela fonctionne assez bien. Lors de la première édition du #SWBRU, en janvier dernier, 11 équipes ont été formées le vendredi soir. 7 ont été présentées le dimanche soir. Certaines ont trouvé du financement et sont sur la bonne voie pour se pérenniser. Au final, 4 d’entre elles se portent toujours bien maintenant. A savoir le 1er lauréat : Kodesk. Mais aussi Data.be, Mealqueen.com et Scanadu.com. Si pour certain, l’idée de construire une start-up en 54 heures peut paraître inique, selon Gilbert West – un des trois organisateurs avec Leo Exter (Westartup) et Ramon Suarez (Betagroup Coworking et Founder Institute Brussels) – il en est tout autrement. D’après lui, ce week-end permet d’apprendre beaucoup de choses aux participants. Tout d’abord, il permet de tester une idée qu’on peut avoir depuis longtemps, sans trop savoir comment commencer . « Au Startup Weekend, les gens vont pouvoir confronter cette idée, explique Gilbert West. Avec les autres participants mais aussi avec toute une flopée de mentors qui seront présents tous le week-end pour les épauler. C’est une véritable opportunité, surtout quand on sait que des personnes comme Ash Maurya, qui a écrit Running Lean, seront là. » Par ailleurs, toujours selon l’organisateur, « c’est une formidable opportunité pour tester ses compétences et ses connaissances. Lors d’un week-end aussi intense, il est tout à fait possible de découvrir des qualités qu’on aurait pas imaginé, par la force des choses. «  Pour cette session, s’ils cherchent encore quelques designers, tout est quasi bouclé mais que cela ne vous empêche pas d’aller jeter un coup d’oeil au Betagroup Coworking où se déroulera le Startup Weekend. Personnellement, je suis allé à la première édition et j’ai trouvé l’ambiance extraordinaire. C’était très enthousiasmant et très positif comme atmosphère. Le week-end se termine le dimanche à 18h avec la présentation du travail des équipes au jury et au public N’hésitez pas à venir jeter un coup d’oeil ! Si vous n’êtes pas déjà venu durant le week-end. Et pourquoi par faire les deux ———————– Comme cet événement correspond bien à la philosophie véhiculée par Technofutur Tic (innovation, entrepreunariat…), nous avons décidé d’en devenir partenaires. En espérant que de nombreuses idées sortiront gagnantes du...

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Start-up : prendre un coup d’accélérateur avec le Founder Institute

Avoir une idée de start-up, ce n’est peut-être pas donné à tout le monde mais nombreux sont celles et ceux qui en ont une. Par contre, combien arrivent à mettre leur idée en place. Beaucoup trop peu. Et ce, pour de multiples raisons. Idée pas aboutie, problème d’organisation, manque de fonds, dossier à présenter aux investisseurs mal ficelé, business modèle incomplet voire inexistant, manque de focus… S’il est des start-up dont l’avenir devait être funeste, quel que soit l’encadrement, l’organisation… il en est bien d’autres qui auraient certainement pu se faire au moins une place au soleil si elles avaient, elles, bénéficié d’un bon encadrement et de quelques bons conseils. Il est possible de les trouver, tant en France qu’en Belgique. Nous allons vous proposer, sur ce blog, dans une série, quelques initiatives, publiques ou privées, qui vous permettront de booster votre start-up. Je vais commencer cette série par le Founder Institute, un programme qui est un véritable accélérateur de start-ups qui ont un projet d’entreprise technologique (Internet, software, hardware…). Technofutur Tic a d’ailleurs une bourse pour la prochaine session du Founder Institute Brussels (BRFI) à vous faire gagner. Ramon Suarez, directeur exécutif du BRFI, :« notre programme veut aider à la création des entreprises soutenables, en quatre mois. Avec création de l’entreprise au troisième mois. Les participants à nos sessions sont pendant 14 séances confrontés perpétuellement à la réalité, à la création communautaire et ils doivent lancer un site. » ATTENTION : les inscriptions sont clôturées le 2 octobre. Les founders (« On les appelle comme cela car ils sont occupés de fonder leur entreprise », précise Ramon Suarez) rencontrent, à chaque séance, trois mentors. Ceux-ci sont des CEO, des directeurs ou d’autres postes encore. Ils ont comme point commun d’avoir tous créé leur propre boîte. Ils viennent principalement d’Europe comme le Belge Sébastien de Halleux qui a revendu sa société Playfish pour 400 millions de dollars à Electronic Arts en 2009 (voir son interview, en anglais, réalisée par Entreprise Globale) Les participations au BRFI doivent, à chaque fois et depuis le premier jour, exposer leur idée, le confronter et aussi se faire évaluer, tant par les mentors que par les autre founders… A côté de cela, de nombreux devoirs sont demandés aux participants, mais dans l’optique Construction de ma boîte. Genre : quel est ton marché ? Quelle partie du monde dois-je cibler ? Quelles sont les 20 choses à faire indispensablement avant de lancer mon entreprise ? Confrontation, notation, devoir… le rythme est intense. Surtout que les mentors mettent la pression sur des participants ne tiennent pas toujours le coup. « Mais si tu travailles assez et si tu es motivé, tu as beaucoup de chance de terminer le programme, veut dire le directeur du BRFI à chaque participant. La session commence avec 30 à 40 personnes. Elles sont encore une...

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