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Dictionnaire de la publicité 2013

Que vous soyez stagiaire, jeune diplômé ou un simple étranger au domaine, vous vous êtes déjà senti perdu face au jargon publicitaire. Autant d’expressions atypiques qui baignent dans les discussions de marketers. Ce brouhaha linguistique n’est pas sans conséquence sur l’efficacité  de la communication, entre l’agence et les annonceurs. Bien que la majorité du vocabulaire adopté soit compréhensible, il n’est pas sans rappeler qu’un mot peut couvrir mille sens ! Spécialisée dans la veille autour des slogans et signatures publicitaires, Souslelogo a récemment publié pour la quatrième édition de l’observatoire des slogans, sur la base de près de 5200 slogans recensés de 2900 marques (une BDD actualisée en continu), une étude complète sur les mots les plus utilisés dans le monde de la publicité en 2013.  L’optimisme en hausse ! Evidemment,  « est » reste le mot le plus utilisé et ce depuis la première édition. Toutefois, nous remarquons en haut du palmarès, des mots qui ont connu une importante progression comme « retrouvez », « gagner », « amour » et « croire ».  L’année 2013 fut riche en émotions et marquée de succès et de promesses, comme peut en témoigner cette nette amélioration : Afin de relativiser face à la crise, les marketers empruntent à l’anglais quelques termes, ce qui fait balancer l’anglicisme des signatures à 17,83 dans l’étude de Souslelogo.       La 1ère courbe exprime le pourcentage de signatures de marque en anglais créées en 2013 par rapport à l’ensemble des signatures créées en France chaque année depuis 6 ans sur les supports publicitaires et sur les pages d’accueil de site Internet.  La 2ème courbe exprime le même pourcentage que la première courbe mais pour des signatures réalisées uniquement sur les supports publicitaires.  La 3ème courbe exprime le pourcentage de claims créés chaque année à savoir les slogans utilisés pour les produits, les modèles et généralement les marques pour femme.  La 4ème courbe exprime le pourcentage de signatures de marque dans d’autres langues que l’anglais ou le français (Italien, Allemand…) créées en 2013 par rapport à l’ensemble des signatures créées en France chaque année depuis 6 ans sur les supports publicitaires et sur les pages d’accueil de site Internet La vague du digital déferle encore … En 2013, les signatures ont eux aussi été touchées par la tendance 2.0. A la grande joie de la Twittosphère, nous avons remarqué la forte apparition des hashtags dans les signatures comme #bonplan ou encore #cmonyop Ce benchmark nous a permis d’avoir une idée sur les marques qui ont le plus fait parler d’elles, mais aussi les tendances à suivre pour une meilleure visibilité. Selon vous, quelles seront les mots les plus utilisés en...

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Comment améliorer la visibilité des bannières web ?

Si les interstitiels, les habillages, les publicités vidéo envahissent le web, il est temps pour vous de revoir votre publicité. Il ne s’agit pas d’innover ou de révolutionner le branding digital world, mais de réfléchir tout simplement à la meilleure manière de placer votre bannière. Alors, comment positionner votre bannière pour améliorer sa visibilité ? Pourquoi vos publicités web ne sont-elles pas visibles ? Si pour certains d’entre vous, l’optimisation de placement de bannières suffit pour que la publicité soit plus visible, d’autres y donneront une toute autre considération.  Il fut un temps où la création d’une bannière 468×60 et le repérage de sites à trafic élevé suffisaient. Le web a bien évidemment muté depuis ! D’après les dernières données d’Infectious Media, 54% des bannières web ne seraient pas vues alors que les annonceurs ne paient que pour les publicités vues. Parmi les raisons responsables des publicités non vues : -        La bannière est hors du champ de vision et l’internaute ne scrolle pas  -        Les bannières ne se charge pas (problème du navigateur, de connexion) -        Les Plug-Ins ne sont pas pris en charge sur le navigateur de l’internaute -        Les pratiques frauduleuses -        Les systèmes antipub -        Les changements d’onglets de navigation -        Les robots non frauduleux Comment améliorer la visibilité de vos bannières ? Pour y remédier, l’habillage demeure sans surprise le meilleur format en termes de visibilité et de qualité d’exposition publicitaire. Toutefois, vous pouvez vous baser sur les éléments suivants pour choisir le format publicitaire, correspondant le mieux à votre créa et votre objectif : -        Skyscraper : A privilégier pour des messages courts (Bon taux de visibilité pour une durée moyenne) -        Pavé : A privilégier pour les vidéos et messages longs (Taux de visibilité moyen pour une très bonne durée) -        Magazine : A privilégier pour des grandes créa portantes de messages forts (Taux de visibilité moyen pour une bonne durée) -        Habillage : A privilégier pour des opérations spéciales Infectious Media vous propose aussi plusieurs solutions :     Qui dit taux de clics, dit visibilité : NON ! Evidemment, la performance d’une campagne publicitaire ne se mesure pas au nombre de clics cumulé. En effet, les publicités les plus visibles ne sont pas forcément celles les plus cliquées. D’autres paramètres rentrent en jeu comme la durée de visibilité des pages, les jours de semaine où apparait la publicité (Le taux de clics en weekend est plus supérieur que le reste de la semaine), la durée d’exposition de l’internaute à la bannière ou encore la fréquence d’apparition de la publicité.  Après avoir passé en revue le comment du pourquoi autour de la visibilité des bannières web, nous vous proposons de mettre en exergue ces conseils, pour revenir d’ici quelques jours et nous montrer le résultat ! A vos...

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Balumpa : retours chiffrés des facebook ads sur mobile

Balumpa (http://balumpa.com/), la première application de sorties en France, a récemment fait un test de publicité Facebook sur mobile. Effectuée du 7 au 25 novembre 2012, cette campagne publicitaire ciblée s’affichait dans le flux d’activité Facebook des prospects et proposait le téléchargement de l’application Balumpa (en étant redirigé sur l’App Store ou Google Play, en fonction du terminal mobile utilisé). Le constat de Balumpa sur les résultats de cet investissement est simple : pour 1000 impressions, 10 utilisateurs cliquent sur la publicité et 1 personne télécharge l’application. Un rapport de 1 pour mille donc qui aura couté à Balumpa entre 1,30€ et 1,60€ par installation. Pour ceux qui ont l’habitude de côtoyer les campagnes publicitaires Facebook, ce coût leur semblera peut-être important (comparativement au recrutement d’un fan sur sa page Facebook). Cependant l’action d’installer une application sur son smartphone n’est elle pas beaucoup plus engageante qu’un simple « j’aime » sur une page Facebook ? Un prix de recrutement relativement faible selon nous donc, tant cette action est importante pour l’entreprise. Vous trouverez le Communiqué de Presse en téléchargement ici et l’infographie ci-dessous...

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Publicité Facebook : efficacité mondiale, audience française et belge

Alors que certains se posent la question de l’efficacité des Facebook Ads, le réseau social de Mark Zuckerberg a décidé de rassembler les résultats de différentes études (effectuées en interne ou en externe) en une infographie pour prouver le contraire.   Les trois points forts du réseau social sont l’audience, les formats de publicités et la consommation du média. En effet, avec ses 955 millions d’utilisateurs actifs par mois (dont 58% s’y connectent chaque jour), Facebook se targue de pouvoir toucher un maximum de monde. D’autant plus que ces internautes y passent en moyenne 6h35 par mois (depuis la version « bureau ») ce qui place le plus gros réseau social du monde loin devant tous les autres en terme de consommation (pour comparaison, les internautes passent 3h20 sur Google, soit pratiquement deux fois moins de temps !). Et quand on se penche sur les chiffres, on s’aperçoit que les campagnes de publicités Facebook sont bien plus efficaces qu’ailleurs. Rien d’étonnant ici puisque Facebook, contrairement à la concurrence, base ses publicités sur ce que sont les utilisateurs (intérêts déclarés) et non pas sur ce qu’ils recherchent. De cette manière, il est possible de créer des publicités très précises (grâce aux données démographiques, données sociales et données personnelles renseignées par les utilisateurs) et donc de toucher le bon public. Efficacité accrue par le fait que la publicité peut-être affichée au cÅ“ur du site, sur le fil d’actualités des membres que l’on navigue sur Facebook depuis un ordinateur ou un mobile. Une excellente visibilité couplée à la bonne cible, voilà le parfait cocktail pour transformer. Bien sûr, les chiffres ci-dessus ne sont pas représentatifs de nos pays (France et Belgique). Pour remédier à cela, je vous propose maintenant quelques chiffres sur l’audience, la consommation et les interactions propres à notre marché. Marché Français : Marché Belge : Alors, toujours sceptiques quant à l’efficacité des Facebook Ads...

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E-publicité vidéo : croissance en 2010 !

Alors que la publicité sur les réseaux sociaux explose, Facebook voyant ses revenus publicitaires doubler de 665 millions US Dollars à 1,28 milliards en 2010, un autre format d’e-publicité connaît une croissance importante en 2010 : la e-publicité vidéo ! Attendue depuis plusieurs années, la publicité vidéo en ligne décolle enfin en France. Le Syndicat des Régies Internet (SRI) et Capgemini ont en effet annoncé que le secteur a connu une croissance multipliée par trois entre les premiers semestres 2009 et 2010 : Après un ralentissement important en 2009, l’epublicité sur vidéo est à la relance en 2010 ! Les dépenses publicitaires devraient progresser de 5 à 10% sur les bannières et exploser sur les vidéos, explique Cyril Zimmerman, P-DG de Hi-Media lors d’une interview pour Capital.fr Pour Zimmerman, la vidéo sera le format roi d’internet. Le PDG expliquait que le marché de la pub sur la vidéo en ligne ne représente que 10% des dépenses publicitaires réalisées sur le net en Europe, soit 300 à 400 millions d’euros en 2009. D’ici 2 à 3 ans, ce chiffre devrait croître jusque 20%, toujours selon le président de Hi-Média, tablant sur une croissance des dépenses en e-publicité vidéo de 50 à 60 % par an au cours des prochains exercices. Le groupe de média online diffuse déjà près de 100 millions de vidéos par mois. L’attractivité de ce support s’explique par la possibilité de : qualifier l’audience segmenter ce public monétiser beaucoup plus facilement Grâce aux techniques permettant d’analyser et de tracker le comportement des internautes, les annonceurs peuvent adapter efficacement la publicité afin d’obtenir un très bon taux de conversion : cliquer sur une pub va devenir aussi naturel que cliquer sur un lien sponsorisé. Le marché de l’epublicité vidéo atteinds ainsi entre 30 et 40 millions d’euros en France en 2010. Pour comparaison, la publicité vidéo en ligne représentera 15% des investissements publicitaires américains, selon l’Interactive Advertising Bureau. eMarketer annonce un chiffre d’affaires mondial de 4 milliards de dollars pour la publicité sur vidéo en 2011. Ces chiffres confirment la reprise d’e-publicité, tout comme l’annonçait l’observatoire de la publicité en ligne ou encore l’Adex Report de Kantar Média Source :...

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