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Internet marketing 2014 – 2015

L’EBG (Electronic Business Group) a publié en septembre sa 10ème édition d’Internet Marketing. Cet ouvrage qui sort annuellement est une référence du genre et nous permet de retrouver toutes les nouvelles tendances du marketing digital, les chiffres clés, les campagnes les plus innovantes et des conseils d’expert sur des problématiques d’actualité. Pour rappel, l’EBG est le premier club d’affaires de l’économie digitale en France, et fait partie des leaders mondiaux dans son domaine. Il couvre divers événements : 19 commissions mensuelles réunissant 100 à 300 personnes, un dîner trimestriel réservé aux cadres dirigeants ainsi qu’une assemblée qui a lieu tous les ans où se réunissent les adhérents autour de personnalités de haut niveau. Cette 10ème édition d’Internet Marketing reprend donc les différentes actualités de l’année 2013 dans le domaine du marketing digital, et peut se vanter de proposer 200 fiches pratiques ainsi que 60 études de cas. L’ouvrage est divisé en 7 grandes thématiques pour lesquelles un chapitre est dédié à chacune d’entre elle. Un dernier chapitre vient s’ajouter à la fin, il s’agit d’un annuaire dédié aux 20 agences qui ont présenté les études de cas disponibles tout au long de la lecture. Les 7 grandes thématiques présentées sont les suivantes: – Les campagnes digitales. – Le brand. – L’e-commerce. – Le marketing sur le social media. – Le multi-screen. – La diffusion. – Les ressources humaines. Décortiquons chacune d’entre elles… 1 -Les campagnes digitales: Ce chapitre nous présente les principales campagnes marquantes de l’année 2013 en prenant 24 exemples différents. On y retrouvera par exemple la campagne anti-piratage d’Adobe, l’opération Mr Miles d’Air France ou encore la campagne « Partagez un coca-cola ». Chacune de ces campagnes est présentée de la même manière avec 4 points abordés : la problématique business de la marque, la solution stratégique qu’a choisi cette marque, la mise en place opérationnelle de cette stratégie et enfin le résultat obtenu. Il est important de noter que ce schéma sera repris pour chaque étude de cas présente dans l’ouvrage. Illustrée par différentes images et appuyée par de nombreuses statistiques, chaque étude de cas permet de bien comprendre comment les campagnes marquantes de l’année se sont déroulées. Ajoutez à cela des analyses pertinentes et vous obtenez un premier chapitre réussi. 2 – Branding Divisé en 6 grandes parties, ce chapitre est consacré à divers thématiques ayant toutes pour thème central.. la marque, forcément ! Allant du « brand content » à l’e-relation en passant par la stratégie ou encore le content marketing, ce chapitre est un peu différent du premier dans sa forme. Cette fois ci, on ne trouve pas uniquement des études de cas mais également des fiches pratiques sur chaque thématique avec une présentation et une analyse pour chacune d’entre elle. 3 – Social Media: Pour ce chapitre on retrouve le même format que précédemment avec des...

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Qui sont les professionnels de l’Internet? Une étude de 150 pages fait le point sur la question.

En juin, nous lancions une vaste enquête franco-belge en ligne sur les profils et parcours des professionnels de l’Internet et du Web. Nous vous en livrons les résultats, tout frais, sur plus de 150 pages. Qui sont les professionnels de l’Internet? D’où viennent-ils? Que font-ils? Quelles sont leurs satisfactions? Leurs envies? Où vont-ils? Quel avenir voient-ils? Plus que de grandes révélations, ce sont mille petits détails et tendances qui confirment ce que beaucoup d’observateurs ressentaient ou présumaient. Cette étude est à votre disposition. Elle sera un outil pour faire reconnaître ces métiers, pour permettre à des chercheurs de creuser des pistes ouvertes, un terrain pour dialoguer. Le but de l’étude était de cartographier les profils de l’Internet et de contribuer à la reconnaissance des métiers émergents du Web. Elle comportait une cinquantaine de questions s’articulant autour : Des formations et modes d’acquisition de compétence Des parcours professionnels Des conditions de travail et de rémunération De la mobilité et des perspectives professionnelles Vous avez été plus de 1100 à y répondre. Certes, nous n’avons pas voulu produire une oeuvre scientifique car des problématiques méthodologiques liées à la population de référence y faisaient obstacle, mais la photographie que nous livrons est largement fiable et représentative. Elle est cohérente et proche d’autres études menées dans l’IT. Il vous reste à vous l’approprier, la commenter, l’améliorer. Bonne lecture! Nous aurons l’occasion de revenir et commenter certains résultats en 2013, mais voici quelques-unes des conclusions tirées: Les professionnels qui se reconnaissent dans l’Internet sont relativement éloignés des profils TIC conventionnels. Ce sont des communicants, des pros du marketing, des gestionnaires de contenus, etc., davantage que des techniciens. La formation, initiale et continue, doit approfondir sa mue, intégrer le numérique dans ses cursus existants, en ouvrir de nouveaux, préparer à l’entreprenariat. On arrive encore très (trop) souvent par l’Internet indirectement. Les travailleurs sont largement dispersés dans le tissu économique, leur dénombrement et leur identification soulèvent les questions de toute fonction transversale. Ils sont jeunes, généreux, volontaires, dynamiques, à la recherche de challenges, mobiles dans leurs études et emplois, acceptant un haut niveau de précarité. La rémunération est loin d’être le premier facteur d’engagement : le secteur a une notoriété positive et les travailleurs y recherchent une satisfaction personnelle forte. Mais ils sont hautement volages. Travailleurs autonomes et atypique (CDD, stagiaires, contrats pro) représenteraient près de 30% de l’emploi : une forte variable d’ajustement. Les femmes y sont plus nombreuses (1/3) que dans les TIC, mieux qualifiées que les hommes, y disposent de réelles perspectives d’avenir, mais les discriminations de genre existent toujours. Stages et contrats pro devraient être davantage généralisés comme leviers pour intégrer la filière, qui manque de professionnels spécifiquement formés. Twitter, Linkedin et Viadeo émergent, mais les job boards maintiennent leur part de marché en matière de recrutement. Les possibilités de progression professionnelle y sont...

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Le Digital Commerce Stars 2012

L’activité de la région du Nord Pas de Calais et de la Wallonie dans l’e-commerce et le digital est aujourd’hui reconnue à l’échelle nationale, voire internationale. Le développement de pôles d’activité régionaux comme celui-ci s’accompagne bien souvent, et nécessairement, de concours qui récompensent les projets les plus prometteurs, ou les plus aboutis. C’est dans ce cadre qu’au mois d’Octobre se déroulera le Digital Commerce Stars 2012, un concours qui récompense chaque année, depuis 4 ans, les meilleurs sites e-commerce et applications mobiles de la région Nord Pas-de-Calais et de la Wallonie. Des TPE aux grandes entreprises de plus de 500 salariés, toutes peuvent s’inscrire à ce concours ouvert à une multitude de secteurs d’activités (Alimentation, Mode, Maison/Auto/High Tech, m-Commerce, ou encore B to B…). Le jury, composé d’acteurs du e-commerce des régions du Nord Pas-de-Calais et la Wallonie (CCI Grand Lille, CCI Nord de France, CCI Côte d’Opale, Agence Wallone des Télécommunications…), aura à charge de se glisser dans la peau d’un acheteur en ligne et de désigner les lauréats 2012 selon de nombreux critères, tels que, entre bien d’autres, la compréhension du positionnement du marchand et l’e-merchandising pour les sites e-Commerce, l’utilité et la récurrence pour les applications mobiles.   Pour participer au Digital Commerce Stars 2012, vous avez jusqu’au Mardi 02 0ctobre pour déposer votre candidature. Les lauréats  et la remise des prix se dérouleront à l’occasion du salon VAD e-Commerce (Lille Grand Palais) le Mardi 23 Octobre. D’ici là, vous pouvez vous attarder sur les lauréats de l’édition 2011...

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Que serait le monde sans Internet ?

Alors qu’il y a quelques jours disparaissait le minitel de manière officielle et irrévocable, intéressons nous aujourd’hui à l’Internet. Imaginez un monde sans toile, un monde où le « WWW » ne serait qu’une succession de consonnes sans signification et sans saveur, un monde où Wikipédia ne nous éclairerait pas sur les hauts personnages de ce monde ou sur les espèces d’animaux éteintes depuis des lustres, un monde sans « amis », sans « followers » et sans poke… Bref, vous l’aurez compris, un monde que nous avons du mal à imaginer aujourd’hui, tant Internet est partout dans notre vie de tous les jours ! Découvrons ensemble, cette infographie basée sur une étude d’Education Database Online nommée – tenez vous bien – « World Without Internet » ! Avant de vous laisser analyser cette infographie sous toutes ses coutures, parlons un peu des chiffres/faits à retenir, vous voulez bien ? Nous parlions de Wikipédia, l’encyclopédie qui aide bon nombre d’étudiants (dont certains se font même piéger par leur prof) et même les hommes et femmes actifs que nous sommes ! Saviez-vous que, si Wikipédia (entre autre) n’avait pas ouvert la culture gratuite au monde entier, il faudrait débourser la coquette somme de 1 200$ pour en savoir presqu’autant ! (Je ne vous raconte pas les milliers d’arbres tués pour imprimer de telles encyclopédies !) D’accord, vous me dites « Oui enfin, l’encyclopédie et moi, ça fait 2,4 hein ! » Alors prenons un un autre exemple qui vous parlera à coup sûr ! Aujourd’hui, si vous ne faites pas partie de la génération X ou que vous n’avez pas 78 ans, vous n’envoyez plus (ou très peu) de cartes postales (ou lettres d’amour). Hé oui, les emails sont tellement plus rapides, intuitifs et… GRATUITS ! Cette étude nous apprend que nous économisons 6 000 milliards de $ par an ! (Rien que ça !!) Autre point qui me semble important de souligner, sans Internet, vous ne liriez pas ces quelques mots et vous feriez peut être partie des 1,2 millions de personnes qui se retrouveraient sans emploi… (Vous bossez dans le Web ? Hé bien ceci est pour vous ! Niark Niark !) Bref, assez parlé, découvrez les autres chiffres et faits intéressants que nous offre cette infographie ! Et vous, vous feriez quoi de votre vie quotidienne si l’Internet mondial n’existait pas ? :-) Via :...

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La nouvelle application Facebook Camera : Concurrente d’Instagr.am ou faire-valoir ?

Depuis un peu plus d’un mois, et notamment depuis vendredi dernier, Facebook est au cÅ“ur de l’actualité du Web. Rachat d’Instagram, entrée au Nasdaq, nouvelle application mobile pour les Community Managers… et de confirmer ce constat hier en dévoilant Facebook Camera, une application entièrement dédiée à la photo ! L’application, pour le moment uniquement disponible sur le sol américain, semble simplifier la gestion des photos, de leur prise jusqu’à leur partage sur le réseau social. Proposant également un système de filtre, ou de directement tagger vos amis, l’application se voulait, peu ou prou, une concurrente à Instagr.am, avant que celle-ci ne fut rachetée, en l’occurrence, par Facebook. Justement, parlons-en ! Au-delà de nous habituer à vivre des mois de Mai et Juin animés (souvenez-vous l’année dernière, du lancement du chat vidéo, ou de la nouvelle gestion des listes d’amis, pour contrer Google +), cette nouvelle annonce apporte des premiers éclairages sur la raison du rachat d’Instagr.am à plus d’1 milliard de $. Le premier est que Facebook ne s’y trompe pas. Le contenu généré par les utilisateurs est chaque jour plus riche et varié. Les publications de quelques lignes sont aujourd’hui noyées dans une multitude de contenus, et surtout des photos et des vidéos. Le défi qui incombe à Facebook est donc de proposer une ou des plateforme(s), notamment mobile(s), à l’ergonomie irréprochable, pour un partage quasi instantané, ludique ou encore interactif. C’est le point sur lequel l’application Facebook Camera peut sans doute grandement concurrencer Instagr.am, en cela qu’elle élimine un intermédiaire entre la prise de photo et son partage. Ce n’est toutefois pas gagné d’avance… Car d’après les premiers tests effectués ça et là aux États-Unis, l’application FaceBook Camera, bien qu’elle soit intéressante, ne peut concurrencer Instagr.am, notamment à cause de filtres photo pas suffisamment prononcés, ainsi que la qualité inférieure des photos. Pour qui souhaite simplement partager ses photos plus simplement, l’application Facebook Camera s’avèrera idéale. Pour qui souhaite proposer un contenu plus personnalisé et de meilleure qualité, fort à parier que cette dernière ne fera pas l’affaire. Le deuxième éclairage, largement véhiculé dans l’univers des médias sociaux et des technologies, et que Facebook doit se doter d’une solide équipe concentrée sur le développement de l’application mobile. Le futur du Web est dans le mobile. Qui de mieux, dans la situation de Facebook, que les créateurs d’Instagr.am, pour prendre en partie les rennes de ce développement ? Enfin, notons la volonté de Facebook de maintenir sa ligne directrice, qui consiste à décentraliser de plus en plus ses fonctionnalités. Si l’idée ici est certainement de chercher une efficacité optimale de ses services en créant des applications spécialisées (pensons à Facebook Messenger), cette stratégie peut, inconsciemment, atténuer l’idée d’être constamment connecté à Facebook dans l’esprit de l’utilisateur. Une subtile façon pour Facebook, paradoxalement, d’être toujours un peu plus présent...

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