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Qui sont les professionnels de l’Internet? Une étude de 150 pages fait le point sur la question.

En juin, nous lancions une vaste enquête franco-belge en ligne sur les profils et parcours des professionnels de l’Internet et du Web. Nous vous en livrons les résultats, tout frais, sur plus de 150 pages. Qui sont les professionnels de l’Internet? D’où viennent-ils? Que font-ils? Quelles sont leurs satisfactions? Leurs envies? Où vont-ils? Quel avenir voient-ils? Plus que de grandes révélations, ce sont mille petits détails et tendances qui confirment ce que beaucoup d’observateurs ressentaient ou présumaient. Cette étude est à votre disposition. Elle sera un outil pour faire reconnaître ces métiers, pour permettre à des chercheurs de creuser des pistes ouvertes, un terrain pour dialoguer. Le but de l’étude était de cartographier les profils de l’Internet et de contribuer à la reconnaissance des métiers émergents du Web. Elle comportait une cinquantaine de questions s’articulant autour : Des formations et modes d’acquisition de compétence Des parcours professionnels Des conditions de travail et de rémunération De la mobilité et des perspectives professionnelles Vous avez été plus de 1100 à y répondre. Certes, nous n’avons pas voulu produire une oeuvre scientifique car des problématiques méthodologiques liées à la population de référence y faisaient obstacle, mais la photographie que nous livrons est largement fiable et représentative. Elle est cohérente et proche d’autres études menées dans l’IT. Il vous reste à vous l’approprier, la commenter, l’améliorer. Bonne lecture! Nous aurons l’occasion de revenir et commenter certains résultats en 2013, mais voici quelques-unes des conclusions tirées: Les professionnels qui se reconnaissent dans l’Internet sont relativement éloignés des profils TIC conventionnels. Ce sont des communicants, des pros du marketing, des gestionnaires de contenus, etc., davantage que des techniciens. La formation, initiale et continue, doit approfondir sa mue, intégrer le numérique dans ses cursus existants, en ouvrir de nouveaux, préparer à l’entreprenariat. On arrive encore très (trop) souvent par l’Internet indirectement. Les travailleurs sont largement dispersés dans le tissu économique, leur dénombrement et leur identification soulèvent les questions de toute fonction transversale. Ils sont jeunes, généreux, volontaires, dynamiques, à la recherche de challenges, mobiles dans leurs études et emplois, acceptant un haut niveau de précarité. La rémunération est loin d’être le premier facteur d’engagement : le secteur a une notoriété positive et les travailleurs y recherchent une satisfaction personnelle forte. Mais ils sont hautement volages. Travailleurs autonomes et atypique (CDD, stagiaires, contrats pro) représenteraient près de 30% de l’emploi : une forte variable d’ajustement. Les femmes y sont plus nombreuses (1/3) que dans les TIC, mieux qualifiées que les hommes, y disposent de réelles perspectives d’avenir, mais les discriminations de genre existent toujours. Stages et contrats pro devraient être davantage généralisés comme leviers pour intégrer la filière, qui manque de professionnels spécifiquement formés. Twitter, Linkedin et Viadeo émergent, mais les job boards maintiennent leur part de marché en matière de recrutement. Les possibilités de progression professionnelle y sont...

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Les 6 principes à ne pas manquer pour être une entreprise sociale et collaborative.

On l’a déjà vu, on l’a déjà démontré, on l’a déjà expliqué… les TPE et PME aiment les réseaux sociaux. En effet, 90% de ces entreprises font du réseautage en ligne et cela leur a permis, pour 78% d’entre elles, de gagner au moins un quart de clients supplémentaire alors… Pourquoi devraient-elles s’en priver ? SalesForce a sorti récemment une infographie montrant les 6 principes de l’entreprise sociale et collaborative. Découvrons donc, ensemble, ce qui en ressort. Car oui, avant de se lancer dans la jungle des réseaux sociaux, il est primordial d’étudier les codes, les « us et coutumes », les communautés qui sont propres à chaque réseau. Avant de vous lancer, il vous faudra « Ã©couter » ! Alors c’est le moment de nettoyer ses oreilles, sortir ses plus beaux outils de veille et suivez les conversations autour de votre marché, de vos produits, votre société et même vos concurrents ! Ensuite, comme dans une phase de drague, il vous faudra séduire vos clients et vos prospects ! Pour cela, montrez leur que vous les avez entendu, un like, une réponse, un retweet… Tout est permis tant que vous respectez les codes ! Maintenant que vous avez écouté, que vous avez séduit vos clients et prospects, sortez le carnet de notes et mesurez tout ce contenu lié à votre marque, vos produits ! Et comme le dit Adam Brown, Executive Director, Social Media de chez Dell : Grâce aux données et aux informations obtenues sur les réseaux sociaux, nous avons les moyens de changer nos processus d’entreprise ! Et maintenant, c’est à vous de jouer ! Quoi de mieux que de surveiller sa e-réputation qu’en « contrôlant » directement vos espaces conversationnels ? Créez vous des comptes sur les réseaux sociaux, invitez vos clients/prospects à venir partager, avec vous, leurs bonnes et mauvaises expériences avec votre marque, vos produits ! Il est toujours plus facile de gérer un problème sur vos espaces que perdus dans les méandres des Internets ! (Encore faut-il que vous ayez su trouver le contenu, d’ailleurs.) Montrez tout de même un certain pragmatisme envers vos communautés. Aidez-les à trouver des solutions à leur(s) problème(s), soyez transparents avec eux (Si votre Community Manager se prénomme Jean, qu’il utilise son prénom pour répondre aux fans/followers – On notera toutefois que ce conseil est donné aux TPE-PME n’ayant qu’une seule personne animant les communautés -), faites intervenir vos employés dans les réponses apportées aux clients, cela appuiera votre expertise ! Et surtout, SURTOUT, n’allez pas sur les réseaux sociaux dans une optique de vente ! Les personnes qui vous suivront seront là pour découvrir une autre facette de votre société, découvrir le côté humain, être animées ! N’oubliez pas que les personnes se connectant sur Facebook (par exemple), le font, pour la plupart en dehors de leur temps de travail, elles s’y...

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Collectivités territoriales françaises et réseaux sociaux

Facebook est un moyen de communication devenu incontournable pour les marques, qu’elles soient internationales ou locales d’ailleurs. Mais il existe aussi des acteurs dont on parle beaucoup moins : les institutions. L’institut Edgar Quinet, qui propose des formations aux élus (maires, conseillers généraux et régionaux, fonctionnaires territoriaux), a mis en ligne le résultat d’une enquête concernant la présence des collectivités territoriales françaises sur les réseaux sociaux ainsi que l’utilisation qu’elles peuvent en faire. En juin 2012, 4 régions sur 5 communiquent sur Facebook. Ces pages Facebook regroupent en moyenne 3918 fans et continuent de croître. 45% des pages sont d’ailleurs alimentées régulièrement et interagissent avec leurs communautés Facebook. A contrario, 30% sont des pages inanimées et les 25% restants sont utilisées pour du relai automatique d’informations  (flux RSS). Le top 3 des régions sur Facebook est : Picardie (20 376 fans), Auvergne (11 501 fans) et Poitou-Charentes (7 584 fans). Pour les départements, la moyenne de fans est un peu moins élevée (3202 fans). Le Var regroupe tout de même plus de 26 000 fans. 34% des départements et 62% des régions possèdent un compte Twitter. La Bretagne est la région la plus suivie avec plus de 7 700 followers. Des chiffres qui paraissent bas face à ceux des grandes marques mais qui peuvent prétendre à beaucoup mieux. En plus d’animer leurs habitants, le développement de véritables stratégies social media pourraient intéresser d’éventuels touristes et les inciter à visiter la région en...

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Que serait le monde sans Internet ?

Alors qu’il y a quelques jours disparaissait le minitel de manière officielle et irrévocable, intéressons nous aujourd’hui à l’Internet. Imaginez un monde sans toile, un monde où le « WWW » ne serait qu’une succession de consonnes sans signification et sans saveur, un monde où Wikipédia ne nous éclairerait pas sur les hauts personnages de ce monde ou sur les espèces d’animaux éteintes depuis des lustres, un monde sans « amis », sans « followers » et sans poke… Bref, vous l’aurez compris, un monde que nous avons du mal à imaginer aujourd’hui, tant Internet est partout dans notre vie de tous les jours ! Découvrons ensemble, cette infographie basée sur une étude d’Education Database Online nommée – tenez vous bien – « World Without Internet » ! Avant de vous laisser analyser cette infographie sous toutes ses coutures, parlons un peu des chiffres/faits à retenir, vous voulez bien ? Nous parlions de Wikipédia, l’encyclopédie qui aide bon nombre d’étudiants (dont certains se font même piéger par leur prof) et même les hommes et femmes actifs que nous sommes ! Saviez-vous que, si Wikipédia (entre autre) n’avait pas ouvert la culture gratuite au monde entier, il faudrait débourser la coquette somme de 1 200$ pour en savoir presqu’autant ! (Je ne vous raconte pas les milliers d’arbres tués pour imprimer de telles encyclopédies !) D’accord, vous me dites « Oui enfin, l’encyclopédie et moi, ça fait 2,4 hein ! » Alors prenons un un autre exemple qui vous parlera à coup sûr ! Aujourd’hui, si vous ne faites pas partie de la génération X ou que vous n’avez pas 78 ans, vous n’envoyez plus (ou très peu) de cartes postales (ou lettres d’amour). Hé oui, les emails sont tellement plus rapides, intuitifs et… GRATUITS ! Cette étude nous apprend que nous économisons 6 000 milliards de $ par an ! (Rien que ça !!) Autre point qui me semble important de souligner, sans Internet, vous ne liriez pas ces quelques mots et vous feriez peut être partie des 1,2 millions de personnes qui se retrouveraient sans emploi… (Vous bossez dans le Web ? Hé bien ceci est pour vous ! Niark Niark !) Bref, assez parlé, découvrez les autres chiffres et faits intéressants que nous offre cette infographie ! Et vous, vous feriez quoi de votre vie quotidienne si l’Internet mondial n’existait pas ? :-) Via :...

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Le marché du e-commerce depuis 2009 en infographie

Alors que chacun parle de la crise, il est un secteur qui ne semble pas la connaitre : le e-commerce. En constante évolution au fil des ans, le e-commerce devrait représenter 45,2 milliards d’euros en 2012. Cette expansion est notamment due au nombre croissant des e-consommateurs qui représentaient 30 millions de personnes pour 38 millions d’internautes en 2011. Autant dire que l’acte d’achat sur internet tend à se normaliser en France. D’ailleurs, 66,5% des internautes Français disent avoir confiance dans le e-commerce et 51% n’hésitent pas à revenir sur un site lorsque celui-ci leur a donné entière satisfaction. Un marché en pleine croissance qui donne des idées à beaucoup de personnes tentées de créer leur site marchand. Entre 2009 et 2011, nous sommes ainsi passés de 64 100 sites e-commerce à 100 400. Sur ces 100 400 boutiques en ligne, 44% réalisent entre 10 et 100 ventes par mois et 21% enregistrent entre 100 et 1000 commandes mensuelles. Concernant le profil du e-consommateur, nous pouvons noter que le panier moyen est resté stable entre 2009 et 2011 (90€ en moyenne) mais que le nombre d’achats a augmenté : 11 en 2009 contre 14 en 2011. Une augmentation motivée par le gain de temps (74%), les prix intéressants (66%) ou encore la possibilité d’acheter à n’importe quelle heure (45%). Concernant les leviers d’activation de l’achat, les bons de réductions sont de véritables boosters. Ils permettent d’élever le panier moyen à 180€ ! En plus de cet aspect financier, ils améliorent l’image du marchand (dans 80% des cas), ils augmentent la fréquence d’achat (chez 18% des internautes) et offrent une efficacité accrue de 18% par rapport à un bon de réduction « offline ». Un levier très important puisque, en plus d’être avantageux pour le client, ils le sont aussi pour le e-commerçant. A ce jour 60,1% des internautes utilisent des réductions pour acheter sur internet. Découvrez maintenant l’infographie de bons-de-reduction.com sur le e-commerce depuis 2009...

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