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2houses.com : de la gestion de projet pour parents séparés

Des parents séparés avec enfant(s) éprouvent parfois quelques problèmes au niveau de l’organisation. Un contact entre l’un d’eux et un enseignant non transmis à l’autre parent peut parfois avoir des conséquences quelques semaines plus tard. Exemple : une conférence pédagogique est annoncée pour dans quelques semaines par un mot dans le journal de classe. Il faut inscrire son enfant à la garderie avant une certaine date. Si l’information ne passe pas d’un parent à l’autre, le deuxième parent peut arriver le jour de la journée pédagogique et se voir refuser l’accès à la garderie, son enfant n’étant pas inscrit. Lui-même ignorant complètement l’existence de cette journée. Cet exemple n’est qu’un parmi tant d’autres qui peuvent advenir dans l’histoire d’un couplé séparé avec enfant(s). Gill Ruidant s’est, lui aussi, plusieurs fois retrouvé dans le même genre de situation. Il a alors cherché un outil qui lui permettrait de partager un calendrier, les dépenses… Il n’a rien trouvé. Dans un premier temps, il a utilisé Google Calendar, mais il a vite vu les limites du système. Il a donc décidé de créer l’outil lui-même et a, pour cela, lancé une start-up il y a plus ou moins un an. C’est comme cela que le concept de 2houses.com est né. Dans un premier temps, il s’est inscrit au Founder institute (lire notre article) pour développer l’idée. Ce qu’il a fort bien fait puisqu’il a terminé premier avec Twusic (nous en parlions ici). « J’avais déjà une bonne idée de ce que je voulais faire mais je voulais confronter la présenter à des experts et être certain qu’elle pourrait être viable », explique l’entrepreneur. Visiblement les mentors ont trouvé que son idée était bonne puisque la version alpha qu’il a présentée en juin lui a valu de trouver un premier financement auprès de business angels réputés comme José Zurtstrassen (fondateur, entre autres de Skynet et de Keytrade Bank). Avec cet apport d’argent frais, il a pu lancer une version beta fin octobre dernier. Dans cette version, on retrouve un calendrier, un carnet de dépenses, un journal et une banque d’informations. Pour l’avoir testé moi-même, cela répond déjà à pas mal d’attentes pour un parent séparé mais elle manque encore de souplesse et de liens entre les différentes parties du site. Ce que confirme Gill Ruidant. « Oui, c’est clair il manque de l’interactivé mais cela va changer. J’ai reçu énormément de feedback en à peine deux mois de temps et pas juste des « j’aime pas ». Les gens sont très constructifs. » Une bonne partie de ces feedbacks seront, visiblement, intégrés dans la nouvelle version du site qui devrait sortir d’ici la fin du mois de février. Version qui sera payante, à raison de 6 euros par parent, par mois. Les deux premiers mois seront gratuits. « L’interface sera complètement revue, le calendrier aura un rôle central. Il y...

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2e édition du Startup Week-end Brussels les 21, 22 et 23 octobre

Alors que le Founder Institute a pris son envol ce mercredi 12 octobre (j’en parlais ici), nous continuons de vous proposer, sur ce blog, quelques initiatives, publiques ou privées, qui vous permettront de booster votre start-up. Le week-end prochain, les 21, 22 et 23 octobre, s’organise à Bruxelles la deuxième édition du Startup Weekend Brussels (#SWBRU). Le principe est simple : en 54 h, il faut proposer une idée, former une équipe et créer un startup qu’il faudra pouvoir présenter à la fin. Cela peut paraître incongru mais cela fonctionne assez bien. Lors de la première édition du #SWBRU, en janvier dernier, 11 équipes ont été formées le vendredi soir. 7 ont été présentées le dimanche soir. Certaines ont trouvé du financement et sont sur la bonne voie pour se pérenniser. Au final, 4 d’entre elles se portent toujours bien maintenant. A savoir le 1er lauréat : Kodesk. Mais aussi Data.be, Mealqueen.com et Scanadu.com. Si pour certain, l’idée de construire une start-up en 54 heures peut paraître inique, selon Gilbert West – un des trois organisateurs avec Leo Exter (Westartup) et Ramon Suarez (Betagroup Coworking et Founder Institute Brussels) – il en est tout autrement. D’après lui, ce week-end permet d’apprendre beaucoup de choses aux participants. Tout d’abord, il permet de tester une idée qu’on peut avoir depuis longtemps, sans trop savoir comment commencer . « Au Startup Weekend, les gens vont pouvoir confronter cette idée, explique Gilbert West. Avec les autres participants mais aussi avec toute une flopée de mentors qui seront présents tous le week-end pour les épauler. C’est une véritable opportunité, surtout quand on sait que des personnes comme Ash Maurya, qui a écrit Running Lean, seront là. » Par ailleurs, toujours selon l’organisateur, « c’est une formidable opportunité pour tester ses compétences et ses connaissances. Lors d’un week-end aussi intense, il est tout à fait possible de découvrir des qualités qu’on aurait pas imaginé, par la force des choses. «  Pour cette session, s’ils cherchent encore quelques designers, tout est quasi bouclé mais que cela ne vous empêche pas d’aller jeter un coup d’oeil au Betagroup Coworking où se déroulera le Startup Weekend. Personnellement, je suis allé à la première édition et j’ai trouvé l’ambiance extraordinaire. C’était très enthousiasmant et très positif comme atmosphère. Le week-end se termine le dimanche à 18h avec la présentation du travail des équipes au jury et au public N’hésitez pas à venir jeter un coup d’oeil ! Si vous n’êtes pas déjà venu durant le week-end. Et pourquoi par faire les deux ———————– Comme cet événement correspond bien à la philosophie véhiculée par Technofutur Tic (innovation, entrepreunariat…), nous avons décidé d’en devenir partenaires. En espérant que de nombreuses idées sortiront gagnantes du...

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Founder Institute : les résultats…

En septembre dernier, dans un billet intitulé Start-up : prendre un coup d’accélérateur avec le Founder Institute, nous vous invitions à participer à la prochaine session du Founder Institute Brussels (#BRFI) afin de booster votre start-up. Nous avions même une bourse de 900 euros à faire gagner à l’un d’entre vous. Il suffisait pour cela de passer quelques tests sur le site du Founder, celui qui aurait eu le meilleur résultat aurait été admis gratuitement. Depuis lors, nous avions même ajouté – l’info étant arrivée tardivement que l’IBPT – l’organisme officiel régulateur des services postaux et des télécommunications en Belgique – offrait 50.000 euros aux deux start-ups qui termineraient les mieux classées de la session du #BRFI qui commence dans 5 jours… Et bien, nous avons la déception de vous annoncer qu’il n’y a aucun vainqueur à ce concours. Pas du fait de la faiblesse des résultats ou pour tout autre raison fallacieuse. Non. Juste parce qu’il n’y a pas eu le moindre participant. Et c’est bien dommage. C’est dommage car cette session de quatre mois aurait pu être un énorme coup de boost pour un jeune entreprise. Cela étant dit, notre volonté est pouvoir réitérer ce genre d’expérience, avec le #BRFI mais aussi avec d’autres. Avec l’objectif avoué de pousser l’une ou l’autre start-up dans le dos. Une dernière chose. A ceux qui ont lu les papiers concernant le Founder Institute et qui aurait pu participer au concours, pourquoi ne l’avez-vous pas fait ? Quels ont été les freins ? Que vous a-t-il manqué ? Vous pouvez répondre dans les commentaires de ce post mais aussi par mail mateusz.kukulka at...

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La start-up Twusic fait sortir la musique de Twitter

Dans le cadre de la série sur les initiatives privées ou publiques qui aident à booster les start-ups, nous avions commencé par le Founder Institute, véritable accélérateur de start-ups qui ont un projet d’entreprise technologique (Internet, software, hardware…). L’année passée, c’est la toute jeune entreprise bruxelloise Twusic qui a remporté les lauriers dans la finale conjointe Paris-Bruxelles. Nous avions annoncé leur interview. Tout d’abord, petit rappel : Technofutur Tic a une bourse de 900 euros à faire gagner pour la session qui commence le 12 octobre : Il faut s’inscrire via le lien suivant, toujours avant le 2 octobre. Il faut passer des tests de logique et de personnalité, en ligne. Celui qui aura obtenu le meilleur résultat aux tests se verra offrir la bourse de 900 euros. Le nom du gagnant sera donné sur ce blog le 3 octobre prochain. ———————————————————————————————- Il y a plus ou moins un an, Amaury Lesplingart et Alexis Lecomte se demandaient comment ils pourraient utiliser les nombreux messages qui parlent de musique sur Twitter. Il est une coutume sur ce réseau social qui est de partager avec sa communauté un titre que l’on est occupé d’écouter. Par exemple : « Vanderlyle Crybaby Geeks, @The_National #nowplaying » veut dire qu’on écoute un morceau du groupe new-yorkais The National, intitulé Vanderlyle Crybaby Geeks. Depuis lors, de l’eau a coulé sous les ponts. Nos deux compères ont passé beaucoup de temps pour l’analyse et ont aussi, on le rappelle, été boostés par le Founder Institute pour lancer la formule Twitter + Music = Twusic en juin dernier. « On est partis du constat que tous les jours quelque 5.000 personnes dans le monde partagent de la musique sur Twitter, explique Amaury Lesplingart. Nous avons donc créé un algorithme qui nous permet de prendre les tweets avec le hashtag #nowplaying, de les les convertir en morceau Last.fm pour enfin aller chercher la vidéo YouTube correspondante, si elle existe. » Comme on peut le voir dans la vidéo, Twusic est assez simple à l’utilisation. Il suffit d’avoir un compte Twitter (« C’est fou, il y a des gens qui créent un compte juste pour utiliser Twusic », précise Alexis Lecomte), de twitter un morceau de musique, d’y ajouter le #nowplaying, puis d’aller sur le site et d’y créer sa radio. Sur celles-ci, on retrouvera tous ses tweets qui comportent ledit hashtag. Plus ceux des ces amis, enfin si on le veut. C’est un moyen très pratique pour écouter de la musique… et légal de surcroît. « Nous sommes blindés de ce côté-là, ajoute Alexis Lecomte. Tout est légal. Nous ne gérons à aucun moment le moindre droit. Tout se fait chez YouTube. » Si cela a l’air très sympa, le business model ne saute pas aux yeux. « Non, en effet, dit en souriant Amaury Lesplingart. Grâce à notre algorithme, nous pouvons donner des chiffres réels d’écoute...

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Start-up : prendre un coup d’accélérateur avec le Founder Institute

Avoir une idée de start-up, ce n’est peut-être pas donné à tout le monde mais nombreux sont celles et ceux qui en ont une. Par contre, combien arrivent à mettre leur idée en place. Beaucoup trop peu. Et ce, pour de multiples raisons. Idée pas aboutie, problème d’organisation, manque de fonds, dossier à présenter aux investisseurs mal ficelé, business modèle incomplet voire inexistant, manque de focus… S’il est des start-up dont l’avenir devait être funeste, quel que soit l’encadrement, l’organisation… il en est bien d’autres qui auraient certainement pu se faire au moins une place au soleil si elles avaient, elles, bénéficié d’un bon encadrement et de quelques bons conseils. Il est possible de les trouver, tant en France qu’en Belgique. Nous allons vous proposer, sur ce blog, dans une série, quelques initiatives, publiques ou privées, qui vous permettront de booster votre start-up. Je vais commencer cette série par le Founder Institute, un programme qui est un véritable accélérateur de start-ups qui ont un projet d’entreprise technologique (Internet, software, hardware…). Technofutur Tic a d’ailleurs une bourse pour la prochaine session du Founder Institute Brussels (BRFI) à vous faire gagner. Ramon Suarez, directeur exécutif du BRFI, :« notre programme veut aider à la création des entreprises soutenables, en quatre mois. Avec création de l’entreprise au troisième mois. Les participants à nos sessions sont pendant 14 séances confrontés perpétuellement à la réalité, à la création communautaire et ils doivent lancer un site. » ATTENTION : les inscriptions sont clôturées le 2 octobre. Les founders (« On les appelle comme cela car ils sont occupés de fonder leur entreprise », précise Ramon Suarez) rencontrent, à chaque séance, trois mentors. Ceux-ci sont des CEO, des directeurs ou d’autres postes encore. Ils ont comme point commun d’avoir tous créé leur propre boîte. Ils viennent principalement d’Europe comme le Belge Sébastien de Halleux qui a revendu sa société Playfish pour 400 millions de dollars à Electronic Arts en 2009 (voir son interview, en anglais, réalisée par Entreprise Globale) Les participations au BRFI doivent, à chaque fois et depuis le premier jour, exposer leur idée, le confronter et aussi se faire évaluer, tant par les mentors que par les autre founders… A côté de cela, de nombreux devoirs sont demandés aux participants, mais dans l’optique Construction de ma boîte. Genre : quel est ton marché ? Quelle partie du monde dois-je cibler ? Quelles sont les 20 choses à faire indispensablement avant de lancer mon entreprise ? Confrontation, notation, devoir… le rythme est intense. Surtout que les mentors mettent la pression sur des participants ne tiennent pas toujours le coup. « Mais si tu travailles assez et si tu es motivé, tu as beaucoup de chance de terminer le programme, veut dire le directeur du BRFI à chaque participant. La session commence avec 30 à 40 personnes. Elles sont encore une...

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