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E-commerce : 53% des achats influencés par le web en 2014 ?

Le e-commerce est toujours en plein essor mais les années de croissance effrénée semblent arriver à leur terme aux États-Unis. Malgré la crise de 2009, le e-commerce tire la distribution vers le haut grâce à une progression de +11 %. Le marché américain atteint ainsi 155,2 milliards US$ en 2009. La croissance e-commerce se stabilise et les habitudes d’achat ont évolué : 52% de tout le matériel informatique américain (logiciels et périphériques) sont d’ores et déjà achetés en ligne : Le cabinet d’étude Forrester présage toutefois que cette croissance décélérera, tout en restant supérieure à la croissance globale des USA. En 2010, la part des achats en ligne représentera 7% de l’ensemble de la consommation, à l’exception des voyages et du secteur de la médecine. Selon Sucharita Mulpuru, vice président de Forrester et consultante e-business, cette part pourrait atteindre 20% avec la consommation de la génération Y. Dans l’immédiat, l’e-commerce sera dopé par les secteurs de l’électronique et du vestimentaire. L’avènement du e-commerce mobile ? Le mobile influencera de plus en plus les achats et cela, même en point de vente. 42% des achats en détail serait déjà influencé, d’une manière ou d’une autre, par le web en 2009. D’ici 2014, le cabinet d’étude prédit que ce chiffre pourrait atteindre 53%, soit plus d’un achat sur deux influencé par internet ! La frontière entre achat online et offline sera de plus en plus mince. Les commerçants doivent donc réfléchir à la manière d’exploiter l’influence du web en point de vente, selon Sucharita Mulpuru. Cette étude rejoint donc celle de l’agence Nurun qui nous apprenait qu’internet arrive n°1 des médias d’influence dans la décision d’achat en France en 2009. Source : WJS...

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L’écosystème des médias sociaux en 2010

Consultant en communication, Dave Fleet propose une schématisation de l’écosystème des social media marketing dans un article intitulé : The 2010 social media marketing ecosystem. En voici une traduction : Sean Corcoran, consultant chez le célèbre cabinet d’étude Forrester, a récemment publié une étude perspicace sur les différences entre ces médias : Owned media : les médias contrôlés par l’entreprise Paid media : les médias payants Earned media : les médias viraux controlés par l’utilisateur Cette réflexion autour de la convergence entre les différentes disciplines de la communication m’a conduit finalement à esquisser mon propre écosystème du social media marketing. Ceci est l’environnement dans lequel vont devoir évoluer les nouvelles agences marketing comme la nôtre : Assez complexe, j’ai décomposé ce schéma en plusieurs parties : L’écosystème des médias sociaux en entreprise Voici les éléments clés de cet écosystème des médias sociaux maîtrisés par l’entreprise : Hub and spoke : Adopter une stratégie organisée autour des médias sociaux, dont la forme dépend de l’entreprise. Tiered hub and spoke : A chaque plateforme ses outils. Par exemple, vous pouvez avoir une fan page facebook soutenue par plusieurs applications autour de l’entreprise. Integrated : Ces hubs doivent être interconnectés avec le site web d’entreprise autant que possible. Fewer Microsites : Todd defren et Maggie Fox conseillent aux entreprises de bien réfléchir avant d’investir dans des microsites. Je suis d’accord. Ils peuvent avoir leur place dans cet écosystème mais bâtir un réseau social autour de votre site et de vos médias sociaux a souvent plus de sens. Mobile is ubiquitous : J’ai envisagé d’inclure le mobile comme un élément distinct dans l’écosystème, mais il en a été autrement. Le Web devient un périphérique agnostique : les entreprises doivent considérer le contenu mobile et les applications comme partie intégrante de leur présence sur le web. Inter-linking : Interconnectez vos médias sociaux à toutes les plateformes de l’entreprise et à tous vos profils en ligne SEO-powered : Search Engine Optimization permet de générer du trafic vers le site institutionnel, les hubs sociaux et les profils d’entreprise. Cela est valable à la fois pour le site de l’entreprise et les autres plateformes. La SEO n’entrerait dans aucune des catégories et pour des raisons de simplicité, je l’ai positionné à part. Two-way flow : Le flux d’information autour des médias sociaux est (selon le contexte organisationnel, bien sûr) bilatéral. L’écosystème des Mainstream média On and offline : ces médias existent à la fois en ligne et hors ligne (les deux pour beaucoup). Dans tous les cas, ils générent du trafic dans votre écosystème social media marketing. Two-way : Idéalement, le flux d’information avec les médias grand public est bilatéral pour deux raisons : Vous drainez et récupérez du trafic qualifié vers vos plateformes, ce trafic devient alors à lui seul un outil de diffusion et d’expérience...

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Tendance: La portabilité des profils sociaux (Facebook connect et autres)

Avez-vous remarqué cette tendance qui pointe son nez … L’utilisation des profils sociaux (comme votre profil Facebook) pour personnaliser certains sites web. Prototype-experience.com, sorti récemment par l’agence 1MD, intègre très bien cette composante. Dès l’arrivée sur le site, on vous propose de vous authentifier avec votre profil Facebook. Une fois identifié, le site va récupérer des informations de votre profil Facebook pour les intégrer dans la vidéo de présentation…franchement c’est bluffant! La technique utilisée pour effectuer la connexion entre le site Internet et le profil Facebook est «Facebook Connect ». Facebook Connect est une API qui permet la portabilité des données Facebook sur d’autres sites, les utilisateurs peuvent donc utiliser leur identifiant Facebook pour se connecter sur des sites partenaires. Grâce à Facebook Connect, les Internautes peuvent utiliser leur profil social à travers le web. Facebook Connect offre de multiples opportunités : Personnaliser le site en fonction des données contenues dans le profil utilisateur. (ex :Prototype-experience.com) Afficher automatiquement des informations liées au site visité sur le mur Facebook du visiteur (viralité). Permettre à l’utilisateur de voir ce que ses amis Facebook on fait sur le site (concours Tomtom) Proposer à l’utilisateur d’inviter des amis Facebook (Digg) Petit schéma de synthèse: Comme le souligne Forrester research dans son étude « The Future Of The Social Web », cette tendance est générale et ne va faire que s’amplifier. Dans le même esprit, une autre réalisation récente de VW l’application Facebook « Meet the volkswagen » , vous propose d’analyser votre profil Facebook et de vous suggérer le type de VW qui vous convient le mieux (test moyennement concluant dans mon cas :-[ Et la version Twitter existe aussi … Les apports sont clairs : Des sites plus engageants par l’intégration d’informations utilisateur Un taux de conversion amélioré par la personnalisation de l’information (à moyen terme) Une viralité accrue par le lien bidirectionnel Facebook – site web Des informations utilisateur beaucoup plus riches Quelques remarques sur l’utilisation des profils sociaux : Actuellement, les informations contenues dans les profils sociaux sont limitées, leur utilisation ne permet pas encore une personnalisation approfondie. Les profils sociaux sont en cours de consolidation. A terme, les profils LinkedIn, Facebook et autres ne devraient plus faire qu’un, avec probablement un acteur de type OpenID dans le coup. L’utilisation des données « privées » reste un sujet très sensible, ce sera sans conteste un des principaux freins. L’utilité (une fois de plus) fera la différence et c’est d’autant plus vrai lorsque l’on demande à un utilisateur de donner accès à ses informations...

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Forte croissance prévisionnelle pour le social marketing

Marketing PilGrim nous fait partager les chiffres prévisionnels US liés au e-marketing. Édités par Forrester Research, cet organisme de recherche évalue à 17% le taux de croissance annuel moyen de la publicité en ligne entre 2008 et 2014. Le marketing sur téléphonie mobile et la stratégie autour des médias sociaux connaîtront la plus forte croissance, avec +27% et +34% respectivement. Tous les secteurs bénéficieront de cet engouement autour du...

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Qui sont les utilisateurs des médias sociaux ?

Forrester Research vient de mettre à jour son outil de segmentation comportementale. « The  Technographics »est un outil de segmentation des utilisateurs de medias sociaux en fonction de leurs comportement en ligne. Cet outil est particulièrement utile pour avoir une idée des types d’acteurs présents dans une  communauté en ligne ou un réseau social.  En ligne depuis 2 ans, il vient d’être actualisé avec les données  2008. Concrètement l’outil se base sur des profils types découpés en fonction de leur degré d’implication et  d’interaction avec les médias sociaux.  Les plus actifs sont les « creators » qui publient, mettent en ligne tout types de supports et les moins actifs les « spectators » qui viennent pour consommer les médias (Lire, écouter et regarder) L’échelle ci-dessous  présente les différents types d’utilisateurs ainsi que leur répartition moyenne L’outil de profiling qui est lié à cette échelle de participation permet en quelques clics de découvrir des tendances de répartition des différents groupes en fonction de la localisation, de l’âge et de du sexe. Il s’agit ici d’une idée globale présentée sous forme de pourcentage moyen.  Il est clair que selon  le contexte (secteur d’activité, concentration de l’audience,…) les chiffres auront plus ou moins de pertinence. Quels sont les éléments intéressants à retenir: 1.  La mise en évidence que sur un media social faire un raccourci entre le nombre d’utilisateurs potentiels  et nombre de contributeurs amène de très mauvaises surprises. L’animation du media est capitale, surtout dans un premier temps, avant que le media n’atteigne la masse critique d’utilisateurs. Pour l’avoir fréquemment constaté, les ressources allouées à l’animation de ce genre de sites sont souvent insuffisantes. 2. La notion de degré d’implication dont il est question ici est cruciale à maitriser. Comme le montre l’échelle de participation, certains utilisateurs ont une propension à être plus actifs que d’autres. Il est donc vital de proposer différents types d’actions .L’exemple avec Youtube Très peu d’implication: Je regarde des vidéos Peu d’implication : Je donne une cotation aux vidéos, je les mets en favoris Implication élevée : Je commente des vidéos et j’interagi avec d’autres utilisateurs Implication maximale : Je publie des vidéos et crée des playlist thématiques On retrouve bien cette granulosité d’actions proposées aux utilisateurs 3.  Tenter de faire passer l’utilisateur d’une catégorie vers l’autre. Un des objectifs dans l’animation d’une communauté est  de susciter l’envie des utilisateurs à s’impliquer de plus en plus. Il s’agit ici de laisser du temps aux utilisateurs pour  « s’approprier » le media et d’avoir un bon « community manager ». PR: wait… I: wait… L: wait… LD: wait… I: wait… wait… Rank: wait… Traffic: wait… Price: wait… C:...

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