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Facebook at Work

Le Financial Times a récemment rapporté que le géant du réseau social travaillerait secrètement sur un nouveau modèle réservé à une utilisation professionnelle : « Facebook At Work ». 

 Déjà utilisée par les employés de Facebook dans leurs tâches quotidiennes, la version professionnelle serait actuellement testée avec d’autres entreprises. Facebook montrerait clairement sa volonté de créer une interface similaire à celle que l’on connaît déjà pour sa version professionnelle, mais la distinction entre profil privé et profil professionnel permettrait à la firme de s’implanter dans nos bureaux, là où il est actuellement bloqué par certaines entreprises. Ce processus permettrait de récupérer ainsi une part d’audience intéressante pour l’entreprise de Marc Zuckerberg. Facebook at work permettrait également de donner une image plus professionnelle du réseau social, qui est aujourd’hui perçu comme un réseau plutôt pour les jeunes et grandement basé sur le loisir. Malgré cette image, la réalité est un peu différente : les jeunes semblent de plus en plus répondre aux appels des sirènes de Snapchat ou Instagram. La firme californienne espère donc pouvoir, par cette innovation, conserver, voir gagner, de nombreux utilisateurs. 

« Nous allons continuer à nous préparer au futur en investissant agressivement, en connectant tout le monde, en comprenant le monde et en construisant la prochaine génération de plate-forme informatique », Marc Zuckerberg Cette arrivée sur le marché viendrait concurrencer les différents réseaux sociaux spécialisés pour les professionnels tels que Linkedin et Viadeo qui permettent aujourd’hui de se construire et de gérer son réseau professionnel. Autre concurrent dans le viseur de Facebook, les plateformes de partage de fichiers, comme Google Drive, souvent utilisées par les entreprises. Facebook ayant souvent été sous le feu des critiques pour sa gestion des données personnelles une des questions majeures liées à l’utilisation de sa version pro reste la façon dont l’entreprise va stocker les données, voir potentiellement les exploiter. Le développement de « Facebook At Work » passera obligatoirement par une confiance renouvelée des entreprises dans la marque Facebook. 
A noter que Facebook n’a pas encore communiqué sur ce dossier qu’on sait sensible chez les utilisateurs. Selon un sondage publié par le Financial Times, un tiers des sondés pensent utiliser un jour Facebook At Work, et vous, vous laisserez vous tenter par cette version pro ? Pour aller plus loin : Financial Times (Premier article parlant du sujet) –http://goo.gl/DkfKzD Nouvel Observateur – http://goo.gl/889cP4 International Business Times –...

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Qui sont les engagés sur les réseaux sociaux ?

Kantar Média en a identifé 5,7 millions sur le marché français, et elle nous en explique les spécificités avec son étude sur les engagés ! Cette étude nous permet de définir un portrait-robot des « engagés » social média. Ils sont en majorité des femmes, qui passent en moyenne 23h par mois sur les réseaux sociaux et sont deux fois plus que la moyenne à suivre les marques sur Facebook et sur Twitter. Ils se connectent à internet tous les jours, même plusieurs fois par jour pour 70% d’entre eux (vs 52% de la population française) et encore 42% à se connecter au web dès qu’ils le peuvent, et cela sur n’importe quel device (ordinateur pour 98% d’entre eux, mais aussi tablette dans 15% et surtout mobile dans 50% des cas) On peut alors parler d’un profil ATAWAD : any time, anywhere, any device. Ces engagés développent une attente forte vis à vis des marques présentes sur les réseaux sociaux, en particulier dans 3 catégories : 1- La recherche de remises où de bons d’achat : pour 29% des personnes catégorisées comme engagées, elles seront à la recherche du bon plan et de la remise commerciale de la part des marques qu’elles suivent. 2- L’envie de découvrir des informations en avant-première: pour 26% des engagés. Cette attente est d’autant plus forte parmi les utilisateurs les plus actifs sur Twitter (30% d’entre eux). Ces utilisateurs déclarent à plus de 50% être des précurseurs dans leurs achats et souhaitent ainsi se procurer les nouveautés du marché avant leur entourage. Ils sont donc des utilisateurs à cibler pour leurs habitudes commerciales. 3- Recevoir des offres personnalisées: pour 16% des Engagés Réseaux Sociaux, l’ultra personnalisation que Facebook peut apporter ne déclenche pas les passions dans les communautés d’engagés. Cette attitude sur les réseaux sociaux traduit surtout un niveau élevé de maturité dans les comportements en ligne. Ce sont aussi des acheteurs en ligne qui déclarent à 68% avoir réalisé au minimum un achat en ligne dans les 12 derniers mois (vs 55% de l’ensemble des français). Les secteurs qu’ils vont privilégier sont : l’habillement (36%), les produits culturels (36%) et les voyages (32%). Achat en ligne oui, mais de manière sociale, car ils sont plus de 1 sur 3 à donner leur avis sur les produits qu’ils achètent ou sur le marchand en général. Et les autres dans tout ça ? Ils sont bien sûr à ne pas oublier dans vos stratégies digitales car malgré un engagement inférieur, ils demeurent à part entière dans votre communauté. Les statistiques nous montrent que 22% des utilisateurs de Facebook et 25% des utilisateurs de Twitter suivent au minimum une marque en s’abonnant à ses publications. L’étude TGI ClickStream (référence dans les comportements digitaux du consommateur digital) nous montre même que l’engagement avec les marques est proportionnel...

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Slingshot vs Snapchat : Facebook serait-il rancunier ?

La nouvelle a été annoncée dans le Financial Times début mai : Facebook va lancer une application de partage de photos et vidéos éphémères, Slingshot. Détails. Slingshot, la nouvelle application en cours de développement pensée par Facebook. Elle permettra à ses utilisateurs de s’envoyer des photos et des vidéos qui disparaîtront au bout de quelques secondes. Oui, une copie conforme de Snapchat. L’application s’est inspiré de Snapchat, évidemment, mais aussi de l’application allemande Taptalk développée par Wit Dot Media. Une question nous taraude quand même : Pourquoi le mastodonte américain se lancerait-il dans le plagia d’une start-up ? De la rancune ? Allez, Mark, avouons-le, c’est un peu agaçant de se faire recaler par plus petit que soi … Vous vous souvenez, Facebook lorgnait sur Snapchat, nouvelle lubie des jeunes qui se désintéressés peu à peu de Facebook, qui reste toutefois le numéro 1 des réseaux sociaux. Slingshot copie le principe de Snapchat, on l’a bien compris. Mais l’application, « pensée » par Mark Zuckerberg a pour objectif de tourner Facebook vers une version plus mobile. Facebook, avec plus d’instantanéité Facebook avait lancé Poke en Décembre 2012 … Cette application a fini dans la corbeille de l’AppStore. Un échec cuisant, pourquoi ? Poke était « d’avantage une blague » déclare Mark à l’époque. L’idée est apparue lord hakathon, réunion de développeurs. Quelques personnes étaient en charge de cette application qui n’a pas été entretenue. Qu’à cela ne tienne. Tiens, Snapchat ! Et si on leur proposait une somme astronomique ? La douche froide. Snapchat refuse immédiatement l’offre de Facebook, soit 3 milliards de dollars, en Novembre 2013. Les effrontés ! Snapchat a eu tort ou raison, chacun son point de vue. Quoiqu’il en soit, c’est chaque jour 400 millions de snaps partagés. Les jeunes, qui deviennent conscients que poster leurs photos sur Facebook par exemple peut être dangereux, sont littéralement séduits par le côté éphémère de Snapchat. L’application surfe sur la mode du selfie, et a compris le besoin de partage instantané de photos et, depuis peu, de vidéos. Facebook essaye de rattraper son retard sur mobile avec Whatsapp et bientôt Slingshot. Un marché qui fonctionne, on ne le sait que trop bien. Snapchat ou Slingshot ? Comment Facebook peut-il récupérer les utilisateurs de Snapchat, déjà habitués à l’application ? Comment va réagir la start-up ? Une campagne de communication offensive à la Burger King ou Pepsi ? Dans quel cas, allons chercher nos pop corn ! Quel avenir pour Slingshot ? Espérons pour le groupe Facebook pas le même que Poke, passée inaperçue … Terminons en admettant que nous sommes curieux de connaître la suite des événements...

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Erodr, le réseau social qui veut concurrencer Facebook !

 » What happens in Campus, stays in Campus  » ! Erodr est un réseau social Made in USA lancé il y a presque deux ans.   Erodr a emprunté le meilleur des applications existantes sur les différents réseaux sociaux à savoir Facebook, Instagram et Snapchat.. c’est une formule magique mais actuellement disponible seulement dans les campus de quelques universités Américaines ! L’histoire d’Erodr a commencé en août 2012 lorsque Drew Halliday, étudiant à l’université du Missouri a bel et bien remarqué que ses collègues surfent tout le temps sur les réseaux sociaux au sein de l’université. Il a donc eu l’idée d’Erodr pour les connecter entre eux, ça nous rappelle un peu les débuts de Facebook, mais est-ce que vraiment Erodr aura une fin glorieuse semblable à celle de Facebook, pourquoi pas ?! Certes, son créateur garde toujours un esprit universitaire et préfère qu’Erodr soit juste au sein des universités.. Un réseau social avec un esprit local et éphémère surtout, ça existe ! Errodr fait la synthèse de ce que les jeunes utilisateurs attendent vraiment d’un réseau social et réunit que les plus grands fans des applications existants sur les différents réseaux sociaux. Actuellement, ce n’est plus Facebook qui passionne les jeunes américains mais c’est plutôt Errodr. Plusieurs jeunes quittent effectivement Facebook aux USA pour migrer vers d’autres réseaux sociaux plus intimistes et ce pour des raisons de confidentialité. Erodr fonctionne grâce à un système de géolocalisation sur lequel l’utilisateur dépend pour retrouver ces amis sur le campus, au bout de 24 heures les messages, photos et vidéos partagés sur cette application s’effacent ce principe a été adopté par Snapchat. Les membres de l’application sont appelés Roodies, le contenu d’actualité peut être filtré selon l’âge et le sexe des Roodies, le bouton ‘dislike’ existe sur cette application ! Cela fait une décennie que l’on attend que Facebook le mette, mais maintenant il semble que tout est possible avec Erodr ! Sur le site web http://www.erodr.com/ on nous invite gentiment a rejoindre l’application par une phrase  » si vous n’arrivez pas à vous faire au moins un ami sur Erodr, alors là vous utiliser mal cette application  » Cette phrase qui va certainement devenir culte dans le futur nous pousse vraiment à penser de rejoindre les Roodies américains ! PS : Si vous êtes un étudiant résidant aux Usa, téléchargez l’application et profitez d’avantage !...

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Les investissements en marketing : quelles tendances pour l’année 2014 ?

L’étude «State Marketing» d’ExactTarget, fournisseur de solutions marketing digital cross canal, sortie dernièrement à souligné la hausse signifiante en matière de budgets alloués aux investissements dans les datas et analytics, le marketing automation et l’emailing. Le sondage a été effectué en ligne du 24 octobre au 1er novembre 2013. Ce dernier a été envoyé à 48 000 professionnels du marketing ce qui a généré plus de 2500 répondants avec un taux de complétion de 74%. Cette étude démontre que 98% des marketeurs interrogés comptent augmenter ou maintenir leur budget en marketing digital en 2014 tant dis que 66% se projettent en 2015. Le rapport émis par Sales Forces permet de ressortir les données démographiques liées aux répondants et de dégager un certain nombre de learnings que nous allons étaler ci-après : Les grandes tendances en 2014 :  Les nouvelles priorités en 2014 :  Les investissements prioritaires dans le digital : Les budgets marketing en hausse : La répartition des budgets par type de canal : Les metrics prioritaires en 2014  Les priorités liées au cycle de vie du consommateur :  Les campagnes marketing liées au cycle de vie du consommateur : Quid de l’emailing ? 
L’étude démontre que 98% ont un retour sur investissement positif sur leurs campagnes d’e-mailing et 70% en font une priorité dans leur investissement digital et ce pour 3 principales raisons à savoir : 
- La contribution de l’emailing dans le chiffre d’affaire même de manière indirecte. 
- L’usage de l’emailing comme outil de commercialisation – La source primaire du revenu de certaines entreprises pourrait être lié aux campagnes d’emailing. Par ailleurs, moins de marketeurs utilisent la technique de responsive design dans leurs campagnes.
Il en ressort :
Les campagnes d’emailing les plus ROIstes : Et les réseaux sociaux ?
 Tout comme l’e-mailing, les réseaux sociaux détiennent une grande importance dans les campagnes digitales. 41% des personnes interrogées appuient leur business par des campagnes social media et y consacrent à peu près le même budget que pour l’emailing. 57% des marketeurs ont des équipes dédiées à la gestion des réseaux sociaux dont 85% composés d’au moins 3 personnes. Le classement par usage des réseaux sociaux  Qu’en est-il de la place occupée par le mobile ?
 Les répondants sont de moins en moins à l’affut d’envoi d’smsing en 2014 malgré son bon ROI. Concernant les marketeurs ayant lancé des campagnes mobiles, 80% sont convaincus par le niveau de retour sur investissement. L’usage du mobile :
 Les campagnes mobiles les plus ROIstes...

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