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Chiffres du e-commerce et e-tourisme en 2009

Le e-commerce en 2009, c’est : 25 milliards d’euros dépensés (+26 %) 24 millions d’acheteurs sur internet 64 000 sites marchands (+35 %) La Fevad vient de publier le bilan du e-commerce pour 2009. Réalisée auprès de 37 sites du commerce en ligne et et de plateformes de paiement totalisant 64 100 sites de commerce électronique, cette étude fournit de nombreux chiffres sur le e-commerce et le e-tourisme en 2009 qui prouvent le potentiel et la bonne santé du marché malgré la crise : Le e-commerce en 2009 ne connaît pas la crise En 2009, les sites e-commerce interrogés par la Fevad ont vu leur chiffre d’affaires augmenter de 8% représentant 8,9 milliards de chiffre d’affaires. Le marché du e-commerce s’élève au total à hauteur de 25 milliards d’euros. Les acteurs du e-commerce participent à une croissance globale de +26% en 2009. Internet vient relever le bilan de certains secteurs comme le textile et la mode : Le marché est en croissance négative de -3,4% en 2009 Les ventes e-commerce du secteur ont croît de +13% en 2009 Les transactions se multiplient mais le panier moyen diminue légèrement : +31 % de transactions bancaires sur les plateformes de paiement en ligne. Le nombre total de transactions sur internet en 2009 est estimé à 277,8 millions. Toutefois, le panier moyen baisse à 90 € (-2% par rapport à 2008) pour des sites marchands toujours plus nombreux : 64 100 sites marchands actifs en 2009 (+35 %). Enfin, le secteur de l’e-commerce BtoB (de professionnel à professionnel) en 2009 a gagné 5% de croissance. Croissance e-tourisme : +7 % en 2009 Dans un secteur en perturbation, le tourisme en ligne continue sa croissance avec +7% en 2009 et +12% pour le dernier trimestre de l’année. Les internautes préparent de plus en plus leur voyages sur internet et plus de 10 millions d’internautes ont consulté mensuellement au moins un des 5 sites leaders des agences de voyage soit près de 3 internautes sur 10 (28,6%) : Retrouvez l’étude « bilan du e-commerce 2009 » sur le site de la Fevad et le communiqué de presse à télécharger sur mediametrie.fr...

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L’e-commerce belge a résisté au fêtes de fin d’année

Selon une étude d’InternetVista, les sites de commerce électronique ont bien supporté l’afflux de visiteurs qui venaient y faire leurs courses de fin d’année. Certaines enseignes virtuelles ont toutefois accusé des défaillances au moment crucial. Parmi la vingtaine de sites d’e-commerce audités par InternetVista entre le 15 décembre 2009 et le 3 janvier 2010, les meilleures performances reviennent à Delhaize Wine World, eBay, Free Record Shop, La Redoute, Les 3 Suisses et Neckermann qui affichent tous un taux de disponibilité de 100%. Derrière, on trouve notamment la Fnac, Mediadis ou Proxis avec un score de 99,9%. En revanche, le site des bons-cadeaux Bongo a connu une indisponibilité cumulée d’une heure et 37 minutes durant la période auditée, tandis que le temps de réponse s’est fortement dégradé entre le 26 et le 29 décembre. La consultation des sites ralentie… “Globalement, les sites d’e-commerce ont réalisé un meilleur score que l’an dernier, explique Cédric Braem, Managing Director d’InternetVista. Il y a eu moins de pannes rendant le site inaccessible. En revanche, le temps de réponse a grimpé sur la quasi totalité des sites, ce qui signifie que la consultation des pages était plus lente et donc moins aisée pour le visiteur. Or, cette faiblesse peut dissuader l’acheteur d’aller jusqu’au bout de la transaction et de payer sa commande.” Et Cédric Braem de conclure : “Cette étude montre à nouveau que l’accessibilité d’un site n’est pas une question uniquement technique. Ce paramètre influence directement l’expérience de l’utilisateur sur un site et donc la probabilité de l’acte d’achat.” Ci-dessous le tableau de synthèse. L’étude complète sera bientôt disponible sur le site...

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Microblogging, internautes et twitter : étude Ifop

L’Ifop a publié les résultats d’une étude sur le microblogging et twitter. Bilan : la connaissance du microblogging est intimement liée à Twitter, seule plateforme jouissant d’une notoriété forte et exponentielle auprès des internautes. Réalisée auprès d’un échantillon de 1052 personnes, cette étude ifop nous fournit des premiers renseignements chiffrés sur l’utilisation et la perception du microblogging par le internautes : Notoriété des plateformes de microblogging Évolution de la notoriété de twitter Source de publication des tweets Utilisation du microblogging par les utilisateurs utilité perçue par les non-inscrits En France, le microblogging est connu à travers sa plateforme la plus célèbre : twitter . Ifop : les internautes et Twitter – 2009 View more documents from Nellio. 60% des internautes connaissent twitter, contre 4% connaissant friendfeed et 1% du panel pour Yammer. Twitter connaît d’ailleurs une croissance exponentielle entre 2007 et Novembre 2009, passant de 2% de notoriété à 60% auprès des internautes. Les applications de microblogging type tweetdeck ou Seesmic arrivent à hauteur du site web twitter.com pour la publication des tweets : 22% pour chaque canal de diffusion. Les applications sur smartphone font une percée avec 3% des publications. L’utilité perçue et l’utilisation des plateformes de microblogging Intéressants à observer, ce sont les écarts sur l’utilité des plateformes de microblogging entre inscrits et non-inscrits. Les utilisateurs de twitter perçoivent davantage l’utilité de la plateforme pour créer et entretenir un réseau (77%) que les non-inscrits (65%). De la même manière, les inscrits diffusent de l’information exclusive pour 74% d’entre eux et utilisent twitter comme source de trafic 71% contre 57% et 60% pour les non utilisateurs. Enfin, l’ensemble des internautes juge que les plateformes de microblogging sont très utiles à hauteur de 5% et plutôt utiles à 58% alors que les utilisateurs de ces plateformes les perçoivent comme très utile à 20% et plutôt utile à 53%. Utiliser twitter, c’est l’adopter ? Téléchargez l’étude ifop sur les internautes, le microblogging et twitter...

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Les jeunes offline et la fracture numérique en Belgique

La Fondation Travail-Université (FTU) vient de publier une étude sur jeunes qui n’utilisent pas internet ou qui n’en ont qu’un usage treÌ€s occasionnel ou treÌ€s limité : les jeunes dits “off-line”. D’après Périne Brotcorne, Luc Mertens et Gérard Valenduc, les jeunes sont de plus en plus exposés à cette fracture numérique car de plus en plus isolés et minoritaires. 4 questions clés orientent cette étude : Qui sont les jeunes off- line ? De quelle manieÌ€re et pourquoi sont-ils off-line ? Quelles en sont les conséquences pour eux? Quelles sont les mesures nécessaires et comment les envisager ? En ciblant son étude sur la tranche d’âge 16-25 ans, la FTU a montré que : 10% de cette population n’utilise que très périodiquement un ordinateur 4% n’utilisent jamais d’ordinateur Pour chacun de ces chiffres, Bruxelles et la Wallonie sont les régions les plus touchées par cette fracture numérique chez les jeunes. Concernant l’accès à internet, Eurostat/Statbel évalue que parmi la population des jeunes 16-24 ans : 75% d’utilisateurs assidus d’internet 16% d’utilisateurs non assidus 9% d’utilisateurs épisodiques ou non utilisateurs C’est avant tout au domicile que cette fracture numérique se créée chez les jeunes car 92% des jeunes ont accès à internet à partir de chez eux. Parmi les jeunes qui ont acceÌ€s aÌ€ internet aÌ€ domicile, 61% des 18-21 ans et 68% des 22-25 ans ont un acceÌ€s dans leur chambre : on parle alors de la « culture de la chambre« . L’étude FTU sur les jeunes offline et la fracture numérique en Belgique conclue par le fait que les jeunes étant censés appartenir à la génération “natifs numériques”, cette population est très hétérogène dans son accessibilité à l’informatique et à internet. L’organisme propose une liste de recommandations : Les pouvoirs publics doivent intégrer cette problématique comme prioritaire dans leur démarche et proposer, par exemple, des accès internet avec « forfaits jeunes » moins onéreux Dans les campagnes de sensibilisation à internet, éviter de mettre trop fortement l’accent sur les risques et présenter aussi les opportunités d’internet Les institutions d’enseignement et de formation devraient incorporer une formation aÌ€ l’usage des nouveaux médias numériques interactifs Les concepteurs de plateformes internet doivent prévoir des liens pour accéder facilement aux plateformes de réseaux sociaux Les journalistes et les médias sont invités aÌ€ adopter une attitude critique vis-aÌ€-vis du mythe de la génération des natifs numériques, mythe créant des stéréotypes défavorables aux jeunes et risquant d’accroître un sentiment de marginalisation et pouvant provoquer l’illettrisme. Téléchargez l’étude FTU sur les jeunes offline et la fracture numérique en Belgique Source :...

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Exclu Altics : 1 semaine pour télécharger l’étude e-pub et presse

Altics édite une nouvelle étude sur l’e-publicité, intitulé : E-pub & presse : ce que regardent vraiment les lecteurs La publicité sur Internet a – malgré la crise – un véritable potentiel de croissance. Altics a choisi d’analyser 9 sites de presse à forte audience versus leurs supports papier. 50 tests Eye tracking d’environ 45 min ont été réalisés, complétés par un questionnaire à 150 personnes Altics propose l’étude en téléchargement gratuit pour une seule semaine ! Ne loupez pas le coche : 100 pages d’étude Eye tracking Voici un petit extrait des 99 slides de l’étude Altics sur la e-pub, téléchargeable ici. Au programme : Presse online vs offline : des usages différents Un mode de lecture actif vs posé Eye tracking : ce que regardent les lecteurs Pub & Presse : ce que pensent les lecteurs Presse online : une publicité qui dérange fortement Presse écrite : une publicité mieux perçue E-pub & Presse : ce que regardent les lecteurs (Eye tracking) Banner Blindness : des encarts publicitaires peu regardés La bannieÌ€re (728*90) : un emplacement déterminant sous l’onglet de navigation L’encart rectangulaire (300*250) : un emplacement davantage repére Cet été, Altics avait déjà édité une étude sur la thématique des best pratices pour les newsletters. Vous avez donc une semaine pour télécharger la nouvelle étude e-pub...

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