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Qui sont les engagés sur les réseaux sociaux ?

Kantar Média en a identifé 5,7 millions sur le marché français, et elle nous en explique les spécificités avec son étude sur les engagés ! Cette étude nous permet de définir un portrait-robot des « engagés » social média. Ils sont en majorité des femmes, qui passent en moyenne 23h par mois sur les réseaux sociaux et sont deux fois plus que la moyenne à suivre les marques sur Facebook et sur Twitter. Ils se connectent à internet tous les jours, même plusieurs fois par jour pour 70% d’entre eux (vs 52% de la population française) et encore 42% à se connecter au web dès qu’ils le peuvent, et cela sur n’importe quel device (ordinateur pour 98% d’entre eux, mais aussi tablette dans 15% et surtout mobile dans 50% des cas) On peut alors parler d’un profil ATAWAD : any time, anywhere, any device. Ces engagés développent une attente forte vis à vis des marques présentes sur les réseaux sociaux, en particulier dans 3 catégories : 1- La recherche de remises où de bons d’achat : pour 29% des personnes catégorisées comme engagées, elles seront à la recherche du bon plan et de la remise commerciale de la part des marques qu’elles suivent. 2- L’envie de découvrir des informations en avant-première: pour 26% des engagés. Cette attente est d’autant plus forte parmi les utilisateurs les plus actifs sur Twitter (30% d’entre eux). Ces utilisateurs déclarent à plus de 50% être des précurseurs dans leurs achats et souhaitent ainsi se procurer les nouveautés du marché avant leur entourage. Ils sont donc des utilisateurs à cibler pour leurs habitudes commerciales. 3- Recevoir des offres personnalisées: pour 16% des Engagés Réseaux Sociaux, l’ultra personnalisation que Facebook peut apporter ne déclenche pas les passions dans les communautés d’engagés. Cette attitude sur les réseaux sociaux traduit surtout un niveau élevé de maturité dans les comportements en ligne. Ce sont aussi des acheteurs en ligne qui déclarent à 68% avoir réalisé au minimum un achat en ligne dans les 12 derniers mois (vs 55% de l’ensemble des français). Les secteurs qu’ils vont privilégier sont : l’habillement (36%), les produits culturels (36%) et les voyages (32%). Achat en ligne oui, mais de manière sociale, car ils sont plus de 1 sur 3 à donner leur avis sur les produits qu’ils achètent ou sur le marchand en général. Et les autres dans tout ça ? Ils sont bien sûr à ne pas oublier dans vos stratégies digitales car malgré un engagement inférieur, ils demeurent à part entière dans votre communauté. Les statistiques nous montrent que 22% des utilisateurs de Facebook et 25% des utilisateurs de Twitter suivent au minimum une marque en s’abonnant à ses publications. L’étude TGI ClickStream (référence dans les comportements digitaux du consommateur digital) nous montre même que l’engagement avec les marques est proportionnel...

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Community management en France: un métier 2.0 pur et dur

Les réseaux sociaux, étaient réservés que pour l’usage personnel, mais ça, c’était avant. Aujourd’hui, avec leur développement, le métier de «Community Manager», gestionnaire de communauté en français, prend de l’ampleur. Le Community Management est un nouveau métier du Web 2.0. Blogueur à titre personnel, il a le choix entre occuper ses fonctions soit en entreprise ou en agence. Il vit sa triple casquette d’ambassadeur de la marque, animateur de l’interface et fouineur à la quête de l’information et de la nouveauté. Donc, le community manager, doit être à la page, au sens web du terme. Pour la troisième année consécutive. Une enquête a été menée par RegionsJob et ANOV Agency sur le métier de community manager. Elle a été réalisée auprès d’un panel de 760 personnes qui ont répondu aux questions posées sur leur travail au quotidien, leurs méthodes de travail, leurs outils et leur position dans l’entreprise ou dans l’agence. Le portrait-type du community manager: une femme de 27 ans en région Cette année, le métier de community manager, s’est féminisé, on compte 55% des community managers femmes, contre 51% l’an passé. En moyenne, son âge est de 27 ans en région. La domination de la région parisienne s’est rattrapée après s’être légèrement dégradée l’année passée au profit des autres régions. L’île de France accueille 47% des community managers (contre 44% en 2013). La région Rhône-Alpes accueille 12% de community managers (contre 9% en 2013), Nord-pas-de-calais a connu une légère baisse, 5% (contre 6% en 2013).Aquitaine a peu évolué, 6% (contre 5% en 2013). Le niveau d’études du community manager en France: BAC + 5 Généralement, les community managers sont des professionnels diplômés. 53% des community managers possèdent un BAC+5 dont 87% ont au moins une licence. Pour ce secteur d’activité, le parcours scolaire privilégié est celui de la communication (57%) et du marketing (38%). Le statut actuel du community manager Le CM n’est pas un éternel stagiaire : 59% sont salariés en CDI, 14% en CDD, 13% en freelance, et que 13% des community managers sont stagiaires ou alternants. Quelles différences entre le CM en entreprise et le CM en agence? 54% des community managers travaillent chez l’annonceur, 22% en agence, 15% pour une école ou institution et 7% sont employés par une association. 45% des community managers font partie du département communication. Le community manager n’est plus un professionnel dédié à l’annonceur ou à l’agence de communication, on en trouve dans des secteurs divers: le tourisme (18%), dans le commerce (14%), Médias et presse (13%), Industrie (5%) etc… 73% des community managers déclarent travailler seuls chez l’annonceur, 59% collaborent avec le département communication, 46% avec le marketing et 28% avec la direction. En revanche, le community manager est plus intégré quand il est employé en agence: 40% des community managers travaillent seuls, 16% font partie d’une...

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Profils des utilisateurs : Etes-vous plutôt Macintosh ou Microsoft ?

Nous avons déniché pour vous une illustration qui représente les profils des utilisateurs Mac et PC, dans l’idée de comparer leurs esprits, leurs comportements et mode de vie et de faire ressortir les différences entre les deux mondes qui co-existent depuis plus de 25ans. Une étude réalisée par Hunch se base sur les données des 700 000 visiteurs de son site web. Les résultats soulignent les différences qui existent entre un utilisateur Mac et PC. Tout d’abord, les utilisateurs de Mac sont plus jeunes. Cela pourrait s’expliquer avec le fait que les lecteurs MP3 puis les iPhones ont envahi notre quotidien. Etant satisfait, il est presque logique qu’il continue à acheter la gamme Apple (même si les équipements coûtent relativement chers). Faits intéressants, les utilisateurs MAC sont majoritairement concentré au centre ville contrairement aux PCs qui sont plus en retrait. Les utilisateurs Mac achète des produits de la firme de Cupertino car ils pensent être différents et uniques. Le sentiment donc de se différencier des autres et d’avoir ses propres équipements. Ils pensent aussi être chics et aiment l’art moderne. D’ailleurs, il n’est pas rare de voir aussi comme l’un des argument principal que le design des appareils est jugé comme top et ultra joli, contrairement aux PC qui sont pour eux gros et très laid! Toujours d’après l’infographie, les profils Mac pense être plus à la pointe de la technologie et être des early adopters. C’est à dire qu’ils se tiennent au courant des dernières avancées/services et n’hésitent pas à s’inscrire/les acheter. C’est assez limité comme argument je trouve car les équipements d’Apple de base, n’amène pas forcément de grandes révolutions (enfin depuis les dernières générations). Voilà donc les grandes lignes des profils des deux utilisateurs emblématiques. A vous de voir dans quelle « catégorie » votre profil s’inscrit, cela vous aidera à savoir quel type d’ordinateur choisir (même si, bien évidement, cela sera aussi dicté par votre budget). Intéressant, en tout cas...

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Les dessous du CRM en France

Que vous soyez startuper, salarié, cadre ou chef d’entreprise, vous devez absolument avoir une vision large en ce qui concerne vos prospects. Pour mettre vos clients et votre chiffre d’affaire sur la même ligne de mire, faites appel aux outils CRM ! Avant de vous livrer une retranscription détaillée sur les chiffres clés du CRM en France, rappelez-vous que le CRM, communément appelé « Gestion de la Relation Client »  consiste à mettre en place un ensemble de techniques permettant d’attirer, de gérer et d’analyser les données relatives à vos prospects, dans le but de les fidéliser et d’améliorer l’offre proposée. Qui tient les règnes du CRM en entreprise ? Le premier observatoire de marketing client UDA/Médiapost Publicité/Ginger a réalisé une étude sur la base de 151 directeurs, responsables CRM ou eCRM dans tous secteurs d’activités confondus, allant du B2B au B2C. Selon les résultats présentés, plus de 60%  des interviewés sont chargés de définir et de mettre en œuvre une stratégie CRM. Relativement, ce pourcentage rassure quant à l’importance octroyée par les entreprises à la gestion de la BDD client.  L’écart entre les différentes fonctions qui réalisent les missions CRM, montre du doigt la décentralisation de cette pratique au sein des entreprises, ce qui n’est pas sans conséquence. En effet, si une base de données unique est présentée comme inutile, pour accompagner les activités menées par l’ensemble des départements concernés (marketing, digital et CRM), elle devra toutefois être issue d’une réflexion en amont et en aval, afin d’emboiter le pas à la concurrence grâce à une boite à outils complète.  Avec la montée du digital, l’outil CRM recherché est censé intégrer les données des clients recueillis depuis les réseaux sociaux et depuis la BDD classique (vente, emailing, sms, appels …), dans le but de décupler les points de contacts.  Evidemment, nous remarquons un vif intérêt de la part des annonceurs B2C, puisqu’ils sont en constante relation avec le moteur central de leur survie, leurs clientèles CRM, le revers du décor : A regarder de plus près, nous remarquons  que plus de 90% des annonceurs interrogés rencontrent des difficultés au niveau de l’organisation et l’efficience. Ceci est essentiellement dû au manque de temps, au personnel non qualifié ou encore à une absence de feedback de la part des clients, ce qui ne permet aucune amélioration. Le manque de qualifications est fortement dû au double profil exigé dans cette fonction (décalage entre l’offre et la demande) mais aussi à la multitude de tâches assignées aux fonctions précédemment cités … À vouloir trop faire, on finit par mal faire !   On voit nettement au fil de l’enquête,  que la gestion de la base de données est devenue un enjeu critique pour les entreprises.  Si vous souhaitiez filer le parfait idylle avec vos clients, nous vous conseillons vivement de prendre en considération les chiffres...

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Startuper, plus qu’un simple statut !

Avec la montée en puissance des entreprises, plusieurs jeunes diplômés et salariés songent sérieusement à changer de casquettes. Gloire, reconnaissance, richesse, autonomie … chacun d’eux a une raison particulière, qui le motive à avancer sur le terrain fertile de l’entreprenariat. Avant de se lancer dans l’aventure, il est important de savoir en quoi réside le statut du jeune créateur d’entreprise ! Startuper, qui es tu ? Créatif, ambitieux, audacieux … Le startuper se trouve entre ceux qui font des plans sur la comète et ceux qui montent des châteaux de cartes. Au début, il multiplie les gourdes et tire des leçons de ses échecs. Ensuite, il essaye tant bien que mal d’assurer les fondements de son entreprise. Enfin, il commence à relever des challenges, qui sont au niveau de ses capacités. Telle est la courbe de vie évolutive d’un dirigeant de startup.     Afin d’établir le profil du startuper, l’Atelier BNP Paribas en partenariat avec TNS Sofres a réalisé une étude auprès de 200 fondateurs français de start-up et d’un échantillon représentatif de la population. Cette enquête révèle que 84% des interrogés sont motivés par un fort penchant pour l’entreprenariat et une réelle envie de relever des défis. Le gap entre les sexes ne cesse de se creuser dans ce domaine aussi, puisque 89% des startupers sont des hommes. En moyenne, ils créent leurs entreprises à l’âge de 35 ans, le temps qu’ils acquissent le minimum de savoir-faire.    Avec 98% d’entrepreneurs diplômés contre 7% d’autodidactes, l’évolution du monde des business a changé la donne. L’éducation formelle vous rendra maintenant riche alors que l’auto-éduction vous placera au rang des salariés. En effet, la tendance entrepreneuriale est menée par l’élite aux toges.  L’entreprenariat, drogue du 21ème siècle !   Selon l’étude, 83% des interrogés se disent passionnés, 75% créatifs et 60% visionnaires (Grande pensée à Steve Jobs). Ces traits de personnalité sont très significatifs vu que 35% d’entre eux sont des entrepreneurs récidivistes. Arrêtées pour des raisons économiques, leurs entreprises ont été soit revendues (23 %), soit cédées aux co-fondateurs (21 %).    Jamais l’entreprenariat n’a rendu aussi heureux et épanoui, à en croire ces chiffres : – 92% sont satisfaits par leur business et par leur aptitude à innover (81 %), particulièrement dans les produits/services développés (83 %). – 78% se disent tenter de revivre l’expérience et ce malgré toutes les contraintes financières et les longues procédures administratives  D’après-vous, pour réussir ce parcours de combattant, faut-il être créatif, autodidacte ou diplômé ? A vos...

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