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Amazon Echo, personne ne semble être dupe !

La sortie d’Amazon Echo, le nouvel objet connecté d’Amazon n’a laissé personne de marbre ! Ce nouveau gadget est disponible en pré-commande sur le site d’amazon, et réalise sa démo avec une parfaite famille américaine ! Echo se transforme en quelque minute en membre à part entière de la famille ! Il anime les repas, a réponse à tout, ambiance la piste de dance et amuse même la galerie ! Un vrai partenaire de vie ! Non ? Echo est un joli objet, enceinte connectée à toute la maison, il peut diffuser dans une qualité irreprochable vos playlists disponibles sur Amazon MP3, vous lire le journal et vous informer en temps réel de l’actualité ! « Mais comment peut il connaître tout ça ? Il est si petit ! » demande la petite dernière de notre Famille ! « Il se met à jour en utilisant le cloud, c’est aussi grâce à cela qu’il connaît les réponses ! » Et c’est cette phrase si anodine qui nous transporte dans le cloud diabolique d’Edward Snowden et dans un remake de Big Brother ! C’est ainsi que la plupart des médias en ligne lèvent leur bouclier contre cet assistant virtuel by Amazon qui nous écoute chaque jour de plus en plus ! Echo fonctionne sans les mains, il suffit de l’appeler par son prénom pour l’activer ! Autant laisser entrer la NSA pour écouter toutes nos conversations ☺ Là où Amazon n’informe pas, c’est sur la confidentialité de ces données et sur leur usage ! Comment Amazon peut-il exploiter ces données ? En prédisant encore plus nos achats ? « Quel est la taille de l’Everest ? » demande le père ? 8 848m nous répond l’assistant ! « Comment se préparer à escalader l’Everest ? » risque d’être le thème de la newsletter reçue par le père ! Des exemples comme celui-ci sont très faciles à imaginer ! Surtout avec le Amazon Dash sorti il y a quelques mois pour la filiale Amazon Fresh. Bref… on ne regardera plus « Data Gueule » avant d’écrire un article sur la dernière nouveauté du géant du E-commerce...

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Tour d’horizon des faits marquants en 2013

Si vous avez ratez quelques articles sur les évènements qui ont mouvementé l’année 2013, pas de panique. La nouvelle année est propice aux longues rétrospectives. L’occasion pour nous de vous dévoiler un extrait concentré des faits marquants, au cours de l’année qui vient de s’écouler. Au menu : fine couche des nouveautés chez les géants d’internet, amplifiée par quelques évolutions croustillantes des réseaux sociaux, accompagnée évidemment par le must de l’actualité web. Apple: -        La marque à la pomme a dépoussiéré ses systèmes d’exploitation, pour lancer iOS 7. Ce dernier intègre de nombreuses nouveautés entièrement gratuites, sur un flat design fonctionnel. -        Avec la montée en puissance de la filière de robotique, Apple en a profité pour investir près de 10,5 milliards de dollars dans des robots industriels, pour robotiser ses lignes d’assemblage. -        Apple a racheté le spécialiste d’analyse de données des réseaux sociaux, Topsy. -        Lancement de l’iPhone 5S et l’iPhone 5C qui ont révolutionné le monde des smartphones. Microsoft : -        Afin d’effacer les bavures de l’OS hybride, Microsoft a opté pour une mise à jour complète du système d’exploitation Windows 8. Malgré une refonte totale du design pour optimiser son utilisation et maximiser la personnalisation, les habitués à Windows 7 ont encore du mal à s’adapter. -        L’emblématique service de messagerie de Microsoft, a cédé sa place à Skype. C’est avec nostalgie que des millions d’internautes ont fait leur adieu à MSN. -        Après avoir raté le virage des Smartphones, Nokia a été rachetée par Microsoft  à 5,4 milliards de dollars. -        Le symbole aux quatre carreaux a innové sur le plan médico-technologique, en lançant un quatrième objet connecté, le soutien-gorge Smart Bra. Google : -       Au grand dam de certains internautes, l’anonymat dans les commentaires sur Youtube n’est plus possible. Sourd à leurs cris, Google a décidé malgré tout d’intègrer les commentaires de Google+ sur Youtube -        Google a investi dans la robotique en rachetant 8 startups dont le géant de la robotique militaire, Boston Dynamics.   -        Le grand vainqueur du tournoi Darpa Robotics Challenge n’est autre que le robot HRP-2 de SCHAFT Inc, racheté aussi par Google. -        Google a entrepris une refonte drastique de l’identité graphique de Google+,  au niveau des profils et des pages. -        Bien que son service  soit utilisé par des professionnels du web, Google a décidé de mettre fin à son agrégateur de flux RSS, Google Reader. -        Bénéficiant d’un co-branding avec le géant Nestlé, Google a lancé Android Kit Kat pour marquer le lancement de son nouveau Smartphone, Nexus 5.    -        Tel un conte de fée dans un cadre idyllique que Google a fini par publier ses résultats, pour l’année 2013. Chevauchant sur une forte hausse, la firme américaine est à présent fière de brandir son chiffre d’affaires de 15 milliards de dollars pour un bénéfice net de 3 milliards. Yahoo :...

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Zoom sur le e-commerce chinois

Avec 297 milliards d’euros, le marché chinois est devenu le mastodonte du e-commerce.  En effet, l’environnement économique et  géo-démographique favorise son expansion via les différents leviers mis en place par les autorités chinoises, dans le but de soutenir la vente en ligne. Evidemment, les acteurs du marché contribuent en déployant des efforts considérables pour s’imposer face aux géants du e-commerce (Ebay, Amazon …).    Quelle est donc la situation actuelle du marché d’e-commerce en Chine ? Quelles sont les meilleures plateformes e-commerce chinoises ? Quelle est la recette du succès des sites e-commerces chinois ? Qui se cache derrière les e-shoppers de l’Empire du Milieu ? Nous aborderons tant de questions et d’autres dans ce décryptage du e-commerce chinois, si par hasard l’envie d’investir en Chine vous prend ! Rétrospective générale sur le marché du e-commerce chinois : Dynamique et prospère, le marché du e-commerce chinois jouit d’un essor fulgurant, lui permettant de détrôner les Etats Unis et de dominer l’Asie, selon le rapport de Bain & Company. Au-delà la créativité dont les plateformes font preuve, la Chine doit son envol aux achats effectués par plus de 300 millions d’e-shoppers, à la forte croissance du taux de pénétration d’internet et à la classe moyenne qui ne cesse d’augmenter. Sur la base de l’infographie réalisée par l’agence I-Click interactive,  les prévisions pour les années à venir sont les suivantes : -          Les ventes en lignes atteindront 297 milliards d’euros d’ici 2020, soit 3 fois plus qu’en 2012 ; -          En 2015, la Chine deviendra le premier marché du e-commerce du globe, dépassant ainsi les Etats Unis, en terme de nombre de plateformes ; -          Actuellement, le taux de pénétration du e-commerce en Chine est supérieur à celui des Etats Unis ; -          En 2020, les dépenses en ligne par habitant en Chine devraient augmenter à 285 euros, soit 5 fois plus qu’en 2012 ; -           Le taux de pénétration de la carte bancaire était de 43,5%  en 2012 et devra augmenter dans les années à venir.  En facilitant le moyen de paiement ainsi l’usage de la carte, la Chine encourage l’achat en ligne ; -          La classe aisée atteindra 280 millions en 2020, soit 20% de la population totale de la Chine, ce qui devrait multiplier les dépenses en ligne ; Si la Chine continue sur cette voie, le pays dépassera en 2020 à lui seul, la France, l’Allemagne, la Grande Bretagne et l’Amérique. Il aura donc autant d’E-shoppers chinois que d’habitants aux Etats Unis fin 2013 ! Toutefois, la Chine ne poursuivra son chemin vers la gloire que si le nombre et le niveau de vie des internautes continuent à leur tour à augmenter. Ajouté à cela, le taux de pénétration de la 3G/4G est à peine de 30% en Chine, face à 68% aux Etats Unis et 81% en Corée. Soucieuse de toucher la population rurale, la Chine fera  en sorte...

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Condé Nast & E-commerce, l’union de l’année !

Avec la montée fulgurante de l’e-presse, la presse traditionnelle elle aussi a fini par se mettre au e-commerce. Loin d’être précurseur dans la vente de presse en ligne, Condé Nast Publications qui détient des magazines comme GQ, Vanity Fair,The New Yorker, Vogue ou encore Wired, nagera bientôt sur les vagues du digital.  Mais est-ce que Presse et E-commerce font bon ménage ? Après avoir recruté l’As du E-commerce de chez Galeries Lafayette, le géant  américain de l’édition a préféré internaliser la vente en ligne de ses magazines, en créant sa propre branche. Cette initiative porte un nouveau souffle à l’approche traditionnelle de la presse et secoue la concurrence. En effet, cette décision s’inscrit dans un business modèle déjà adopté par de grands journaux tels que le Monde, Le Figaro et Libération. Toutefois, ces derniers ont choisi de décliner leur offre en ligne que sur certaines publications (les hors-série, les éditions spéciales à titre d’exemple), afin d’éviter la vulgarisation de la presse papier.  A son tour, le e-commerce ne reste pas indifférent à la presse, comme vous avez sans doute pu le constater, avec le rachat d’Amazon du Washington Post. Avec un chiffre d’affaires qui frôle les 3 millions d’euros,  l’union de la presse avec le e-commerce a encore de beau jour devant elle...

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Walmart sur les pas d’Amazon

Il est clair qu’en termes de taille comme de recette, Walmart est LE leader de distribution au Monde sauf qu’il a quand même raté son envole sur le web. Surfant sur la vague du e-commerce, Walmart reste à la traine par rapport à Amazon puisque ce dernier a un chiffre d’affaire en e-commerce 7 fois plus grand que celui de Walmart ! Ainsi,  Walmart a mobilisé 1500 personnes regroupées sur deux projets (Walmart Labs & Walmart Global E-commerce) telle une startup dans le but de battre le géant mondial d’e-commerce sur son propre terrain et se réorienter vers un nouveau réseau de distribution. Même si les objectifs des deux géants de distribution paraissent semblables, chacun a son propre créneau d’attaque : Amazon se focalise sur la satisfaction client alors que Walmart a pour but de devancer Amazon en lançant son site d’e-commerce (accompagné d’une bonne gestion de sa e-réputation sur les réseaux sociaux) avec un objectif d’ici la fin de l’année : réaliser une recette de 9 milliards de dollars qui est équivaut à 2% de ses ventes totales. La concurrence entre ces deux titans se fait en on-line au niveau des produits alimentaires avec Amazon Fresh pour Amazon et Brick&Mortar ou encore Walmart To Go pour Walmart. En off-line, avec la décision qu’a pris le géant américain de grande distribution en arrêtant la commercialisation de la tablette Kindle. Cette dernière représente une plateforme d’achat intégrée au magasin en ligne d’Amazon et ceci afin d’éviter de contribuer indirectement à la croissance de son rival. C’est donc dans une optique de success story que la division chargée de la digitalisation de Walmart a commencé à réécrire son histoire en rachetant d’autres startups innovantes telles que Torbit ou OneOps qui lui permettront de développer sa capacité à archiver les données et à maximiser la vitesse du site. Après la livraison rapide suite à une commande en ligne et la mutation virtuelle des supermarchés, un des leviers de l’enseigne est d’introduire le concept « Click and Pick Up » ou « research online, purchase off line » (existant déjà chez Tesco) qui comme son nom l’indique, consiste à réserver en ligne ses produits avant de les récupérer sur place. Plus du quart des clients de Walmart ne possèdent par de carte bancaire pour payer en ligne et doivent donc payer en espèces au magasin. Compte tenu de la taille de Walmart, il est délicat d’imaginer quel sera le résultat car il repose essentiellement sur les défis à réaliser par les 1500 personnes réunies sur le projet...

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