Social Learning : des médias sociaux au social business

Plus que jamais interactif, le web social intéresse les entreprises. Le social commerce ou l’usage les réseaux sociaux pour vendre en ligne est une des grandes problématiques de 2010.



Déjà présent aux États-Unis comme évoqué dans ce livre blanc sur le social commerce, les sociétés européennes et françaises prennent conscience des opportunités du web 2.0 :




Plus qu’un simple média supplémentaire, le web 2.0 investit le champ social du business. Domaine totalement nouveau, les professionnels multiplient les expérimentations sur les réseaux sociaux. Twitter, Facebook, réseaux spécialisés : nombreux sont ceux qui se limitent à la collection de fans ou de followers.

Social business et expérience client

La relation avec les internautes a évolué vers le « few to few », c’est-à-dire que les internautes échangent entre eux, avec leurs amis. Les marques peuvent être le sujet de ces échanges entre membres. Être à l’écoute de cette voix 2.0 se résume en ce terme : social business !

Détecter, interpréter et savoir répondre aux internautes sur ces nouveaux réseaux est un enjeu majeur pour les marques. Les entreprises récolteront le feedback et l’expérience client de ces internautes, ce qui représente
un savoir IN-ES-TI-MA-BLE !

Social Learning ou l’art de gérer l’information

Le savoir réside dans l’interaction et la transparence avec la communauté. Qu’il soit prospect, client ou employé, l’internaute échange des informations que les entreprises peuvent capitaliser :

On parle alors d’apprentissage collaboratif ;-)

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  • 21j

    Malheureusement cela n'est applicable que dans certains cas (les « expériences valorisantes » comme dirait Fred Cavazza), je ne vois pas comment un marchand d'accessoires de voitures par exemple pourrait en avoir l'utilité. Les médias sociaux sont aussi réduits à Facebook et Twitter c'est très réducteur je trouve…

  • miix

    Ce terme de « social business » est déja utilisé et massivement connu depuis l'oeuvre du Prix Nobel de la Paix 2006 Muhammad Yunus : le social business désigne alors une entreprise autosuffisante dont l'activité est voulu directement bénéfique à la société, tel le microcrédit. L'usage que vous en fait est donc porteur de quiproquo. Il serait dès lors bienvenu de trouver un autre terme : social network business ?

  • Il ne faut penser faire des affaires sur les médias sociaux avec la même mentalité que l'on fait des affaires traditionnellement. Un grand marchand de pièces d'auto (je dis grand car il faut un minimum de budget) pourrait créer une page Facebook, n'ont pas pour vendre, mais pour créer une communauté. L'animateur de la communauté pourrait faire connaître les activités que les gens aimant les autos pourraient aimer, il pourrait inciter les gens à envoyer des photos d'eux et de leur accesoire sur leur voiture, il pourrait donner des trucs pour les accessoire, etc.

    On batît surtout une image de marque avec les médias sociaux, si on ne fait que pousser nos produits on passe à côté, il faut échanger avec le client.

  • WeekiMarketing

    Je pense qu'on peut appliquer ce modèle à tous les types de produits même les produits commodités. Bien sûr la portée sera moindre. Mais, même des produits banales comme Skittles (des bonbons) réussissent sur les médias sociaux qui à mon avis ne sont pas réduits à Facebook ou Twitter. Les blogs, Youtube, Linkdlen sont autant de médias sociaux. Même le petit forum local sur le jardinage est un médium social. Peut-être que ce type de communication n'est pas pertinent pour le marchand d'accessoires du coin mais pour cela qui vend à l'échelle nationale, peut-être que oui. Cela dépend moins du type de produit que de la manière dont on le fait.

  • heigilr2010