titletext

Jweel : Et si vous créiez vos bijoux en ligne ?

Vos bijoux vous accompagnent tous les jours : au travail, en soirée et même le week end, un bracelet pour ajouter une note de couleur à votre tenue, une bague pour affiner votre main … Saviez-vous qu’il est désormais possible de créer ses propres bijoux en ligne sur Jweel. Un site de modélisation 3D précis et facile à manipuler. Détails. Comment ça marche ? La start-up française Skimlab développe des solutions logicielles facilitant l’accès à la création 3D. Elle propose une plate-forme en ligne nommée Jweel qui permet de créé puis d’imprimer vos propres bijoux selon vos goûts. Le principe est simple comme bonjour, vous créez votre bijou, avec le motif de votre choix. Vous y incorporez du texte ou un petit dessin, disponible dans plusieurs finitions : sablé ,mate ou vernis. vous pouvez (tout de même) également choisir d’imprimer votre bijou en or ou en argent. Faîtes à votre guise ! Je n’ai pas d’imprimante 3D Une fois les bijoux personnalisés sur Jweel à l’aide des logiciels Skimlab, vous pouvez passer à la commande pour recevoir ensuite votre bijou 3D unique et fabriquer par vous-même. Pour en savoir plus, nous vous invitons à vous rendre directement sur jweel.com pour tester par vous-même ou de voir cette vidéo : Pour vous faire plaisir ou offrir un cadeau original à une personne que vous appréciez tant, Jweel est un moyen simple et efficace, on vous invite à essayer vous ne serez pas déçue !, ce concept connaît déjà le succès, c’est pourquoi Skimblab décide de proposer d’autres types de bijoux comme des bracelets ou des boucles d’oreilles, on attend toujours...

Lire la suite >

titletext

Conforama : un site internet bien pensé !

Le marché français de l’ameublement et de la décoration semble connaître une mauvaise passe actuellement. Et ce malgré la progression du nombre des ménages et l’intérêt marqué des Français pour l’aménagement et la décoration. Pour cette année, les prévisions pour le marché de l’ameublement sont bonnes. La période morose de 2013 serait dû, selon la FNAEM (La Fédération française du Négoce de l’Ameublement et de l’Équipement de la Maison), au report des achats des ménages sur l’année 2014. Le porte-feuille renfloué l’année suivante, ils prévoyaient de s’équiper. Sans parler de la hausse des taxes déjà mises en place : TVA, impôts sur certains produits d’épargnes … Internet ne résoudra pas les problèmes financiers des français mais peut jouer en faveur de la marque. Conforama se sert de son site internet comme vitrine pour ses produits. Les clients peuvent s’y rendre, consulter la totalité des produits mais surtout leur disponibilité, en temps réel ! « Nous indiquons en ligne si le produit est en stock en point de vente ou pas, mais nous ne disons pas de combien nous disposons d’exemplaires, car nous ne voulons pas que nos concurrents voient notre niveau de stock », précise Arnaud Wielgus, directeur Web. Notons que 40% des visiteurs en magasin préparent leur visite et savent déjà exactement ce qu’ils désirent en arrivant en point de vente. En se connectant sur le site, le client est automatiquement géolocalisé. Conforama peut donc identifier le point de vente le plus proche. Un service une peu intrusif mais, avouons-le, qui reste très pratique. On terminera sur une petite note de Thierry Guilbert, PDG de Conforama : « avec le développement de notre stratégie cross-canal, notre site web marchand représente d’ores et déjà 6% de notre chiffre d’affaires et nous avons de bonnes raisons de penser que sa montée en puissance va s’accélérer....

Lire la suite >

titletext

La Croix Rouge met le football allemand dans des poches de sang

Une nouvelle campagne de communication signée par la Croix Rouge n’est pas passée inaperçue en Allemagne. Elle fait appel aux joueurs de football pour accroître le nombre de dons. La Croix Rouge veut renforcer la mobilisation des allemands pour le don du sang : quelques 17 000 enfants sont en attente de perfusion. Il était temps d’agir. « Give blood, give power » Avec l’agence Jung von Matt/Elbe, l’association décide de frapper fort … Et de frapper juste. Ils touchent la corde sensible du pays : le football. Le principe est simple, mais pas moins efficace : inviter les joueurs, professionnels et amateurs, à travers tout le pays, à donner leur sang. Il est ensuite conservé dans des poches à leur effigie. Ils ont été très nombreux à répondre à l’appel à l’aide de la Croix Rouge. A l’appel à l’aide des hospitalisés. L’opération ne s’arrête pas là. Ils ont ensuite rendu visite à ces enfants, dans les hôpitaux. Une jolie rencontre qui marquera, soyons-en sûrs, l’esprit de ces petits allemands. Ils peuvent désormais clamer à qui voudra bien l’entendre : « Le sang de Julian Draxler qui coule dans mes veines ! » L’Allemagne, enfin sensibilisée La campagne a fonctionné comme la Croix Rouge l’imaginait : grâce aux nombreux relais (TV, Facebook et Twitter), 20 millions de personnes ont été touchées. C’est une jolie campagne, touchante et pleine d’espoir que nous ont concocté La Croix Rouge et l’agence Jung von Matt/Elbe. Pas une première L’organisation n’en est pas à son coup d’essai. Rappelez-vous des ces campagnes plus anciennes. Nous pouvons remonter en 2009, lorsque la fondation fêtait ses 150 ans. Vidéo corporate qui rappelle les champs d’action de l’association. Du secours des réfugiés de guerre, aux hospitalisés en passant par l’aide aux sans abris, tout y est résumé derrière le slogan « L’Homme est fait pour rester debout ». Comprenez que la Croix Rouge est le support de toutes ces personnes. Une autre vidéo circulait sur internet. Le concept : Une pièce pour tout changer. Un effet domino qui explique les projets et dispositifs mis en place grâce aux dons. On se situe ici entre le corporate et la sensibilisation. Voyez par vous-même. Il y a deux ans, l’ONG a lancé une campagne print percutante à la punchline « Son seul espoir c’est vous ». De l’enfant seul dans une chambre taudis à l’homme sans domicile fixe, la Croix Rouge ne met plus en exergue son activité, mais les principaux concernés. Il ne s’agit pas de donner de l’argent à une organisation, mais à des gens qui sont plus que dans le besoin. Rappelez-vous : Cette vague de prints a été accompagnée par une vidéo diffusée sur les réseau sociaux accompagnée du hastag #MasterSurvivor. Un véritable coup de génie. La Croix Rouge a décidé d’imiter les teasers d’émissions de télé réalité et de jouer sur la...

Lire la suite >

titletext

Slingshot vs Snapchat : Facebook serait-il rancunier ?

La nouvelle a été annoncée dans le Financial Times début mai : Facebook va lancer une application de partage de photos et vidéos éphémères, Slingshot. Détails. Slingshot, la nouvelle application en cours de développement pensée par Facebook. Elle permettra à ses utilisateurs de s’envoyer des photos et des vidéos qui disparaîtront au bout de quelques secondes. Oui, une copie conforme de Snapchat. L’application s’est inspiré de Snapchat, évidemment, mais aussi de l’application allemande Taptalk développée par Wit Dot Media. Une question nous taraude quand même : Pourquoi le mastodonte américain se lancerait-il dans le plagia d’une start-up ? De la rancune ? Allez, Mark, avouons-le, c’est un peu agaçant de se faire recaler par plus petit que soi … Vous vous souvenez, Facebook lorgnait sur Snapchat, nouvelle lubie des jeunes qui se désintéressés peu à peu de Facebook, qui reste toutefois le numéro 1 des réseaux sociaux. Slingshot copie le principe de Snapchat, on l’a bien compris. Mais l’application, « pensée » par Mark Zuckerberg a pour objectif de tourner Facebook vers une version plus mobile. Facebook, avec plus d’instantanéité Facebook avait lancé Poke en Décembre 2012 … Cette application a fini dans la corbeille de l’AppStore. Un échec cuisant, pourquoi ? Poke était « d’avantage une blague » déclare Mark à l’époque. L’idée est apparue lord hakathon, réunion de développeurs. Quelques personnes étaient en charge de cette application qui n’a pas été entretenue. Qu’à cela ne tienne. Tiens, Snapchat ! Et si on leur proposait une somme astronomique ? La douche froide. Snapchat refuse immédiatement l’offre de Facebook, soit 3 milliards de dollars, en Novembre 2013. Les effrontés ! Snapchat a eu tort ou raison, chacun son point de vue. Quoiqu’il en soit, c’est chaque jour 400 millions de snaps partagés. Les jeunes, qui deviennent conscients que poster leurs photos sur Facebook par exemple peut être dangereux, sont littéralement séduits par le côté éphémère de Snapchat. L’application surfe sur la mode du selfie, et a compris le besoin de partage instantané de photos et, depuis peu, de vidéos. Facebook essaye de rattraper son retard sur mobile avec Whatsapp et bientôt Slingshot. Un marché qui fonctionne, on ne le sait que trop bien. Snapchat ou Slingshot ? Comment Facebook peut-il récupérer les utilisateurs de Snapchat, déjà habitués à l’application ? Comment va réagir la start-up ? Une campagne de communication offensive à la Burger King ou Pepsi ? Dans quel cas, allons chercher nos pop corn ! Quel avenir pour Slingshot ? Espérons pour le groupe Facebook pas le même que Poke, passée inaperçue … Terminons en admettant que nous sommes curieux de connaître la suite des événements...

Lire la suite >

titletext

ProtoPitch, le concours des projets innovants est ouvert

Votre projet innove dans les industries créatives ? Plus particulièrement dans les secteur du jeu vidéo, serious gaming, transmedia, de l’audiovisuel ou plus largement, de la créativité technologique ? Ce concours, ouvert au Nord-Pas-De-Calais – Wallonie & Flandre, devrait vous intéresser ! Quelles catégories pour ProtoPitch? Jeux vidéo et Serious Game Audiovisuel et Transmedia Créativité Technologique Pourquoi participer ? Pour… Profiter d’une visibilité exceptionnelle et nouer de nouveaux contacts Convaincre des investisseurs et trouver du financement Confronter votre projet à l’oeil aguerri des experts et recevoir des conseils Gagner une multitude de prix si vous avez la chance d’être dans les 8 finalistes. Vous pouvez participer jusqu’au 4 juillet 2014 >>...

Lire la suite >

titletext

Alerte innovation : parfumez vos textos avec l’Ophone

L’oPhone, le boîtier cylindrique qui donnera de la saveur à vos textos puisqu’il retranscrira des odeurs que votre contact vous aura envoyées. Concept futuriste ? Pas tant que ça puisqu’il sera commercialisé début 2015. Explications. Imaginez, votre téléphone vibre. C’est un texto de votre ami(e), le contenu ? L’odeur d’un kawa ou d’un fondant au chocolat. Une prouesse technologique que l’on doit aux universitaires de Harvard, cofondateurs d’une start up Vapor Communication basée, vous l’imaginez bien, dans la Silicon Valley. oPhone, la genèse Des enseignants de la brillante université américaine Harvard, dont David Edwards, professeur en génie biomédical, sont à l’origine de ce projet. Inspirés par les contenus de leurs cours, ils se sont réunis pour cofonder Vapor Communication. « Un grand intérêt de la part de la Silicon Valley, car il s’agit concrètement de pouvoir changer la communication globale d’aujourd’hui » sont ici les mots de David Edwards à l’AFP. Il est vrai que la composante olfactive va révolutionner nos habitudes. Nous pourrons accompagner nos petits messages de parfums qui adoucissent notre quotidien. Comment ça marche ? Pour les petits génies de la physique/chimie ou simplement pour les curieux, voilà le process : Le boîtier oPhone génère des signaux aromatiques complexes pour libérer successivement et très rapidement des petites émissions de vapeur. C’est un mécanisme semblable à celui qui compose un téléphone standard avec les émission audio. Grâce aux 3 000 combinaisons, une trentaine de saveurs seront reproduites fidèlement, à en croire les petits chanceux qui l’ont déjà testé. JE LE VEUX ! Le concept vous a séduits ? Vous voulez ce petit bijou technologique ? C’est très simple. Il sera d’abord accessible aux détenteurs d’iPhone (désolés, Android et Windows Phone…). Les utilisateurs devront télécharger gratuitement l’application oSnap qui sera disponible le 17 juin prochain. Et oui, déjà ! Une fois oSnap installée et l’oPhone acheté (son prix initial sera fixé à 199€), il vous restera à connecter votre iPhone et … A vous régaler. (Vous la sentez venir l’exploitation marketing …?) iTélé en parle : Recevoir des odeurs par SMS sera bientôt possible – Le 20/05/2014 à 11h30 Wait a minute … On me signale à l’oreillette qu’un entrepreneur chinois -tiens donc- avait lancé en 2013 un prototype similaire. Un petit objet nommé Scentee. Il ressemblait à cela : ChatPerf a imaginé un boîtier compact directement branché à l’iPhone qui libérerait les senteurs expédiées par l’émetteur. La révolution technologique était lancée. Une idée originale qui a eu le temps de faire son chemin et de se développer. A commencer par son design : Joli, non ? Quelles options ? Le fondateur de ChatPerf explique qu’il est possible de libérer une essence dans différentes situations : – Pour rendre l’atmosphère plus agréable, plus zen. Il servirait de diffuseur parfum d’ambiance que l’on réglerait pour avoir une vaporisation toutes les 30...

Lire la suite >

titletext

Ere numérique : les français se sentent dépassés

On ne vous apprend rien en vous disant que notre époque est au numérique : au bureau, à la maison, en déplacement, et parfois même en vacances nous sommes connectés sur nos smartphones, ordinateurs et depuis quelques années, sur nos tablettes. Les applications et innovations se sont multipliées depuis l’essor du digital et c’est là que le malaise se fait sentir : les français se sentent dépassés par ces avancées technologiques. Analyse. Des chiffres révélateurs Accros aux smartphones … Les français consultent leur smartphone en moyenne une fois toutes les 10 minutes pour lire leurs mails, checker leur profil facebook, tweeter … Tout ce qu’on peut accomplir avec son téléphone aujourd’hui. Le taux de consultation du smartphone, surtout chez les jeunes et CSP+ est incroyablement élevé. On pourrait parler de dépendance… … Frileux devant les nouveautés Selon un sondage Opinion­Way pour Grenade & Sparks (mai 2013), les personnes de 50 ans et plus, les femmes et les CSP- se sentent complètement dépassées par la multiplication des innovations numériques. Néanmoins si on se penche un peu plus sur la question, nous découvrons que c’est en réalité 80% qui se sentent de moins en moins à l’aise sur les supports numériques. Un chiffre impressionnant qui révèle, selon le sociologue et maître de conférence à l’IEP de Paris, une réaction très française : les français ont pour réflexe de se méfier voire refuser le changement et le flux constant de nouvelles données. Ne pas pouvoir maîtriser ces flux de données, ne pas pouvoir les stopper ou les ralentir dérange la population de l’hexagone. Ils se sentent pris au piège. On constate également de grands écarts entre les différentes CSP mais aussi classes d’âges… Comme vous le savez, les générations issues des années 2000, les digital natives appréhendent les technologies avec beaucoup moins d’anxiété que les générations antérieures, les digital immigrants … De quoi renforcer le malaise chez les personne de la deuxième catégorie. Et au travail ? « Oh tu sais moi, je n’y connais rien … » Disent-ils avec un sourire crispé. 15% des interrogés déclarent être dépassés dans le cadre de leur travail. 15% … Un chiffre étonnamment bas. Il y a une explication toute simple : comment avouer que nous ne savons pas maîtriser les outils digitaux dans le seul environnement où nous sommes censés le connaître le mieux ? Le numérique au travail est un sujet tabou puisqu’ils ne veulent pas passer pour des has been … Un malaise qui mériterait d’être traité. Quelles solutions ? Les résultats de toutes les enquêtes sont sans appel : les français manquent d’accompagnement dans la maîtrise des innovation digitales. Beaucoup réclament une mise à niveau, c’est dire. Les formations dans le numérique ne sont pas assez complètes et adaptées aux niveaux et attentes de français. Il faudrait repenser les programme pour amener la population...

Lire la suite >

titletext

Envie de monter votre start up ? Quelques conseils pour vous lancer

Encore étudiant, jeune diplômé ou bien en réorientation professionnelle et vous voulez inscrire ‘fondateur’ sur votre carte de visite ? Qu’à cela ne tienne. Sachez toutefois qu’il ne suffit pas d’avoir LA bonne idée pour lancer sa start-up et la voir grandir. Il est fortement conseillé de mener certaines démarches et réflexions pour éviter le mur. Point sur ces étapes pré-lancement. Every business needs money On retrouve deux types de financement de start up : les investisseurs ou les fonds propres du/des fondateur(s). Dans le premier cas, vous devez démarcher les porteurs de gros capitaux et exposer votre projet de façon la plus claire possible. Pas toujours évident lorsqu’il s’agit d’une entreprise innovante… Si par chance vous mobilisez assez de fonds, gardez en tête que vous n’êtes plus le seul détenteur des parts de votre entreprise… Et qu’il faudra rentabiliser votre activité le plus vite possible pour ne pas faire fuir vos soutiens financiers. Le financement externe permet de lancer peut-être plus facilement votre business mais il vous laisse moins de marge de manÅ“uvre. Le bootstrapping Le bootstrapping est une alternative au financement externe : VOUS financez seul votre start up. Nous sentons votre inquiétude … « Est-ce que je vais pouvoir tenir seul financièrement ? », et nous comprenons. Laissez-nous vous rassurer. L’auto-financement peut faire peur mais il offre ensuite bien des avantages : une indépendance que vous n’avez pas lorsque vous avez recours au financement externe. Les investisseurs regardent constamment par dessus votre épaule … Eh oui, c’est leur argent quand même ! Vous pouvez donc vous penchez sur la qualité et le développement de vos services ainsi que sur les relations avec vos clients. Quali plutôt que quanti, telle est la devise des fondateurs pro-bootstrapping ! Ensuite, plus petite, votre entreprise souffrira moins des restructurations de la hiérarchie. Ce n’est pas nous qui le disons, c’est Naxi Liu, fondateur d’Enplug : « Dans une opération de petite taille, les coûts d’un changement de direction sont mineurs, alors que le procédé peut être angoissant dans une société qui dispose de capitaux importants » Quelques exemples : Nous vous sentons encore un peu perplexes, laissez-nous vous donner quelques exemples plutôt concluants : GoPro, Dell ou encore Rovio (développeur d’Angry Birds) ont eu recours à l’auto-financement… Alors, convaincus ? Conclusion : Le bootstrapping a de beaux jours devant lui. A bon entendeur… Bootstrapping 101: how to found your startup and survive the first year? from France Digitale Trouver ses clients … C’est bon, vous avez vos fonds, un petit coin de bureau pour travailler et des produits/services opérationnels ? Vous pouvez partir à la conquête de vos clients ! C’est une étape cruciale parsemée d’embûches mais n’ayez crainte, une autre start-up made in France a pensé à vous ! Vous pouvez adopter le logiciel GeniusContact qui simplifiera votre recrutement. Il répondra...

Lire la suite >

titletext

Grand Prix Wallon de l’entrepreneuriat 2014

Si vous êtes une entrepreneur belge et plus particulièrement de Wallonie, cet évènement propulsé par l’Agence de Stimulation Économique devrait vous intéresser. Participez à la 7ème édition du Grand Prix Wallon de l’entrepreneuriat et tentez de remporter 10.000€ L’idée est de mettre en valeur une entreprise à travers 3 profils d’entrepreneurs : L’entrepreneur « Starter« Â  L’entrepreneur en « Croissance » dirigeant une PME en plein essor souhaitant conquérir de nouveaux marchés. L’entrepreneur en « Reprise » qui a repris une entreprise, l’a pérennisée et souhaite continuer à y investir. 2 profils complémentaires pourront gagner un prix : La femme entrepreneur L’entrepreneur en développement durable L’appel à candidature s’est ouvert le 2 mai et se clôture le 30 mai à 12h Tentez votre chance maintenant...

Lire la suite >

titletext

#SUPDEWEB : Une école du Web ouvre ses portes en Belgique !

C’est une excellente nouvelle pour le monde digital belge : Nous allons enfin avoir une école du web à Bruxelles grâce à #SUPDEWEB, l’école supérieure des métiers du web bien connue des français ! Supdeweb a été lancée à Paris, il y a 2 ans, pour répondre à une demande grandissante du marché dans les métiers du web en formant des étudiants immédiatement opérationnels à la sortie de leurs études.  A l’heure actuelle, en Belgique,  l’offre des formations autour des métiers du web est limitée tout autant que les baccalauréats. Les étudiants, CESS en poche (équivalent du BAC), doivent se diriger vers un bachelier en Ecriture Multimédia, Communication ou eBusiness pour toucher un peu à l’aspect web communication ou e-marketing. Le stage étant un élément déterminant pour la suite.. Pour ceux qui étant en quête d’un emploi et qui souhaitant se reconvertir dans les métiers du web, quelques formations ont vu le jour ces dernières années. Notamment à Technofutur TIC où une série de formations qualifiantes se sont déjà succédées en « E-marketing », « Gestionnaire de projet Web » et « Communicant Web ». D’ailleurs, vous pouvez participer à la prochaine séance d’info en « communication web » le 17 juin, le prochain parcours démarrant début juillet. Il était grand temps qu’un vrai parcours Web arrive en Belgique pour palier au manque du secteur ! Supdeweb, proposera un parcours en  Communication Digitale dès octobre 2014. L’école promet d’axer sa pédagogie sur le savoir-faire pratique et proposera dès la 1ère année, 2 mois de stage en entreprise. L’admission se fera sur dossier et examen d’entrée. Pour les personnes étant déjà détentrices d’un baccalauréat, un master en communication digitale est déjà effectif depuis 3 ans sous forme d’un an en alternance : le lundi à l’école et les 4 autres jours en entreprise ! Les prochaines portes ouvertes se déroulent ce 23 & 24 mai de 11h à 16h à ECS-SupDeWeb – Chaussée de Waterloo, 935- B – 1180...

Lire la suite >