N’importe quand. C’est en tout cas Melinda Kruger qui l’insinue dans un article paru sur EmailInsider. Son constat, elle le tire de plusieurs années d’expérience dans le marketing relationnel.
Pour autant, elle ne méprise pas la question. Elle affirme juste que la réflexion sur le moment de l’envoi de l’e-mailing, c’est la chose dont on devrait se préoccuper en dernier. En avant, elle place plutôt la pertinence commerciale et la qualité intrinsèque de l’e-mail (créativité, positionnement de liens, détermination des call-to-actions, élaboration de l’objet, …).
Comme nous tous, elle dit avoir lu toutes les démonstrations possibles et imaginables sur la question. De son expérience, elle tire quelques contre-théories : par exemple, on considère que le mois de janvier est un mauvais mois pour envoyer des offres commerciales. Pourtant, tous ses envois à cette période ont été fructueux. Sa conclusion : c’est parce que les boîtes mails sont moins sollicitées en cette période que ses envois étaient plus percutants…
Pour conclure sa rapide analyse, elle en fait appel à notre bon sens et notre expérience utilisateur personnelle. Quel est notre meilleur moment pour lire nos e-mails? Pour la plupart, quand nous en avons le temps… Donc, le secret d’un bon e-mailing, ce serait sa capacité à être conservé par l’utilisateur afin qu’il le lise quand il en aura le temps. A moins que quelqu’un démontre le contraire…