DataSafer : protéger vos bases de données emails, c’est possible !

Linkedin, Twitter, SNCB.. Ces sociétés populaires ont toutes au moins un point en commun, celui d’avoir subi dernièrement un piratage informatique libérant aux yeux de tous des miliers de données personnelles d’utilisateurs. À l’heure où la protection des données personnelles est souvent pointée du doigt, ça provoque un véritable tollé envers les entreprises concernées !

datasafer

Protéger ses données efficacement est un vaste combat mais, malheureusement, les failles existent ! À défaut de pouvoir toutes les colmater, DataSafer propose une solution permettant de piéger les spammeurs qui tenteraient de les utiliser !

« Amis » Spammeurs, tremblez maintenant, DataSafer arrive !

L’idée d’Alain Mbange, serial entrepreneur à succès, est de proposer aux entreprises d’injecter dans leur bases de données emails une série d’adresses emails pièges.

Ce système permettrait de détecter instantanément une éventuelle violation, de la pister et de prévenir l’entreprise automatiquement pour qu’elle puisse prendre des mesures rapides à l’encontre du hacker.

DataSafer, comment ça fonctionne ?

20, 50, 80 adresses emails, ou plus selon la formule, sont générées à partir d’une centaine de noms de domaine différents appartenant à DataSafer afin de garantir la fiabilité du service. Celles-ci sont connues uniquement des deux acteurs : DataSafer et le client.

Donc, si une de ces adresses reçoit un message provenant d’un autre expéditeur que l’entreprise (qui, pour rappel, l’a injectée dans sa base de données), cela signifie qu’une brèche de sécurité s’est produite !

L’entreprise est alors prévenue automatiquement et reçoit simultanément les éléments juridiques qui lui permettront de poursuivre les personnes qui ont exploité illégalement sa base de données.

Prenez les devant, la législation européenne va se renforcer !

Actuellement, en Belgique, la loi oblige les propriétaires de base de données à protéger les informations confidentielles en sa possession mais elle tend à se durcir bientôt par :

1) Une obligation de documentation : le gestionnaire devra implémenter les techniques les plus récentes en matière de protection afin de garantir un niveau de sécurité adapté aux risques et aux données traitées

2) Une obligation de notification en cas de brèche de sécurité : Lorsqu’une violation sera constatée, en plus de constituer un dossier à remettre aux autorités, il faudra notifier les personnes concernées par cette faille.

3) Une Obligation de contrôle interne  afin d’évaluer et de modifier les procédures mises en place au besoin.

La 1ère offre démarre à 39€/mois pour 20 adresses emails pièges, un coût relativement raisonnable comparé à la valeur de sa propre base de données. L’avantage de cette solution réside aussi dans le fait que le processus est extrêmement simple à mettre en place et qu’il ne nécessite aucune aide extérieure.

On nous souffle à l’oreillette que Bosch-Siemens et Snapstore auraient déjà signé chez DataSafer ! Et vous, comptez-vous vous y mettre ?

  • Cela ne protège pas les adresses mais sert uniquement à détecter lorsqu’elles sont compromises. Un peu trop tard quoi…