Comment je suis devenue millionnaire grâce au net… sans rien y comprendre.
 C’est l’ouvrage que vient de publier Orianne Garcia, co-fondatrice de Caramail. Bien sûr, elle exagère ou alors personne n’y connaissait grand chose… ;-) En moins de 200 pages, elle délivre l’histoire d’une bande de jeunes qui vont créer l’une des start-ups françaises emblématiques des années 2000 : Caramail, le service de web mail gratuit français. Si tout commence par un trio de copains qui ont aimé follement la vague internet et qui ont décidé de surfer dessus, la création d’une entreprise a vite été le lot commun des trois associés. La genèse d’un Lokace ou d’un Caramail nous renvoie à un temps de folie où tout semblait réellement possible. Certes, les arbres ne montent jamais au ciel mais on avait fini par le croire…. Ce fut aussi le temps de la bulle, le temps des business-plans, des business angels, du capital risque, des introductions en bourse… ou de la prise de contrôle des start-ups par de grands groupes. C’est ce qu’il advint à Caramail, ce qui permit aux associés du départ de se sortir de l’éclatement de la bulle internet par le haut ! Et en route pour de nouvelles aventures ! ;-) Le style de la narration est dynamique, avec une pointe d’humour et de malice pour relater une aventure humaine, une saga entrepreneuriale et quelques bons conseils distillés de ci de là avec une discrétion toute féminine ! En fait, toutes les étapes, les joies et difficultés des start-ups se retrouvent dans cet ouvrage : le plaisir de créer entre amis, l’équipe qu’on monte dans l’enthousiasme, le besoin de structuration et de professionnalisation croissante, les besoins de financement et la manière d’y faire face, les relations avec les clients, les partenaires et les concurrents, la recherche permanente de l’innovation, le rachat et l’intégration difficile à un grand groupe et finalement le départ vers d’autres aventures. Cet ouvrage m’a rappelé « Citizen Game », l’histoire de Kalisto dans le jeu vidéo apr son fondateur Nicolas Gaume., une aventure qui s’était terminée bien plus mal. Si vous vous intéressez à la création et à la vie d’entreprise, aux aventures humaines d’aujourd’hui et au secteur de l’internet et des technologies de la communication, ne ratez pas ce livre d’Orianne Garcia, il est fait pour vous… Avec un glossaire du jargon internet bien utile et plein d’humour et avec une chronologie des événements impactant internet de 1957 (si, si…) à 2011 ! Aux éditions Albin Michel en...
Conférence : tout savoir sur la gestion des risques dans le domaine des NTIC !
Le Pôle Régional Numérique vous propose une conférence-débat exceptionnelle sur un sujet rarement traité jusqu’ici : la gestion des risques liés aux nouvelles technologies. Trois professionnels ont répondu à l’appel du PRN pour animer cette conférence : l’assureur britannique HISCOX dont les TIC sont l’une des spécialités le cabinet BRM AVOCATS, spécialiste en droit de la propriété intellectuelle notamment dans le domaine des nouvelles technologies le cabinet de courtage en assurances LA FLANDRE ASSURANCES, spécialiste des PME/PMI Centrée sur des problématiques et des cas concrets, la conférence abordera : phase pré-contractuelle, gestion de projets complexes, rupture de contrats, perte de données, contrefaçon, e-reputation, responsabilité éditeur, hébergeur, assurances,… – 30 juin 2010, 9h00, à Euratechnologies – 165 avenue de Bretagne, Lille Cedex Ne manquez pas cette date ! Nos experts débatteurs seront: Maître Martine RICOUART-MAILLET (Cabinet BRM Avocats) : avocate associée, spécialistes des TIC Jean-François PERROT (HISCOX) : responsable Technologies Médias Télécom Philippe Hervé BLOUIN (LA FLANDRE ASSURANCES) : assureur spécialisé PME/PMI INSCRIVEZ-VOUS GRATUITEMENT A LA CONFÉRENCE SUR LE BLOG DU PRN ! Plus d’informations ? Fabrice GALLOO – Pôle Régional Numérique fabrice.galloo@prn.asso.fr (+33)...
E-commerce : e-commerçants et cyberacheteurs en 2009
Pour le 4ème trimestre 2009, la FEVAD a publié récemment un communiqué de presse sur le marché du e-commerce en France en 2009. Cette étude aborde aussi le profil des e-commerçants et des cyberacheteurs français. Le marché français du e-commerce s’élève à 25 milliards d’euros dépensés avec une croissance de +26 % par rapport à 2008. Plus de 24 millions de français ont déjà acheté sur internet chez 64 000 sites marchands. Quel est le profil de ces e-commerçants et de ces cyberacheteurs français en 2009 ? En partenariat avec Médiamétrie et Oxatis, voici la typologie de ces acteurs du web français proposée par la FEVAD : Le profil génétique des e-commerçants, par Oxatis Leader européen de plateformes e-commerce, Oxatis définit les grandes tendances et la carte génétique des e-commerçants en 2009. Qui est e-commerçant en 2009 ? L’étude Oxatis montre que le profil des e-commerçants est très hétérogène et que de plus en plus de néophytes se lancent dans le commerce en ligne. Cette tendance est facilitée par le statut d’autoentrepreneur et les solutions e-commerce « clé en main » qui facilitent le montage d’une plateforme de vente en ligne. Les e-commerçants sont souvent des commerçants traditionnels exploitant les opportunités du web pour élargir leur marché sur un nouveau canal de distribution. A contrario, 18,9 % des purs e-commerçants aimeraient ouvrir leur boutique traditionnelle en complément de leur site e-commerce. Quelle est la population des e-commerçants français ? Deux grands profils de e-commerçants sont révélés par l’étude Oxatis : 39,5% des entrepreneurs e-commerce sont des femmes la population de jeunes progresse de 8 points dans l’entrepreneuriat e-commerce Avec les personnes âgées, ce sont les populations qui ont été le plus touchées par la crise qui ont donc été les plus entreprenantes sur internet en 2009. Cela peut aussi s’expliquer par la capacité à travailler de chez soi, à son domicile : Marc Schillaci, président fondateur d’Oxatis : le E-commerce présente l’avantage pour les seniors et les femmes de pouvoir mener leur affaire directement de son domicile. Ainsi, Internet permet de concilier vie professionnelle et préservation de la santé, pour les seniors dont les capacités de travail ne sont pas à remettre en cause. Les femmes, quant à elles, peuvent désormais concilier ambition professionnelle, sans délaisser leur vie de famille, qu’elles gèrent simultanément. En cela, nous pouvons considérer que le E-commerce, levier de développement économique et levier d’emplois, est également un nouveau levier de justice sociale Quelles sont les motivations des e-commerçants français ? Augmentation du chiffre d’affaires, extension de l’offre traditionnelle 24 heures sur 24, fidélisation … ces grands classiques de la motivation de création de boutique en ligne sont complétés et précisés par : 44.1% des entrepreneurs souhaitent accroître leur visibilité, 22% des e-commerçants souhaitent développer leur entreprise 41,6% souhaitent accroître leur flexibilité du temps de travail entre lieu...
E-commerce : 53% des achats influencés par le web en 2014 ?
Le e-commerce est toujours en plein essor mais les années de croissance effrénée semblent arriver à leur terme aux États-Unis. Malgré la crise de 2009, le e-commerce tire la distribution vers le haut grâce à une progression de +11 %. Le marché américain atteint ainsi 155,2 milliards US$ en 2009. La croissance e-commerce se stabilise et les habitudes d’achat ont évolué : 52% de tout le matériel informatique américain (logiciels et périphériques) sont d’ores et déjà achetés en ligne : Le cabinet d’étude Forrester présage toutefois que cette croissance décélérera, tout en restant supérieure à la croissance globale des USA. En 2010, la part des achats en ligne représentera 7% de l’ensemble de la consommation, à l’exception des voyages et du secteur de la médecine. Selon Sucharita Mulpuru, vice président de Forrester et consultante e-business, cette part pourrait atteindre 20% avec la consommation de la génération Y. Dans l’immédiat, l’e-commerce sera dopé par les secteurs de l’électronique et du vestimentaire. L’avènement du e-commerce mobile ? Le mobile influencera de plus en plus les achats et cela, même en point de vente. 42% des achats en détail serait déjà influencé, d’une manière ou d’une autre, par le web en 2009. D’ici 2014, le cabinet d’étude prédit que ce chiffre pourrait atteindre 53%, soit plus d’un achat sur deux influencé par internet ! La frontière entre achat online et offline sera de plus en plus mince. Les commerçants doivent donc réfléchir à la manière d’exploiter l’influence du web en point de vente, selon Sucharita Mulpuru. Cette étude rejoint donc celle de l’agence Nurun qui nous apprenait qu’internet arrive n°1 des médias d’influence dans la décision d’achat en France en 2009. Source : WJS...Auteur
Jean-Luc Synave, Directeur de SimaWay, conseille et accompagne les entreprises dans leur développement en ligne.
Sa qualité d’entrepreneur l’amène également à assister tant des créateurs d’entreprise web dans leur lancement et le montage de leur business plan que des agences web ou de communication dans leur développement.
Il est également chargé de cours dans de nombreuses universités et écoles de commerce en France.